XALIMANEWS- La décision a été prise par le Chef de l’Etat en réunion du Conseil des ministres de ce mercredi. En effet, Macky Sall a instruit les membres du gouvernement concernés de payer les indemnités des « personnes impactées » par le port minéralier de Bargny-Sendou et d’accélérer la réparation » des forages en panne.
Il a demandé notamment au ministre des Finances et du Budget de procéder au paiement des indemnités des personnes impactées par la réalisation en cours du port minéralier et vraquier de Bargny-Sendou.
Le port de Bargny-Sendou deviendra le premier port industriel du Sénégal et constituera un terminal de vrac multi-produits conçu pour répondre aux besoins actuels et futurs des parties prenantes. L’installation est également conçue pour accueillir les produits futurs attendus, tels que le minerai de fer, la bauxite, l’alumine et les produits en vrac liquides.
Le port est en cours de construction sur un site vierge qui ne possédait aucune infrastructure de base et cet important projet est exécuté par TSO / NGE Contracting.
Construction du Port de Sendou : L’Etat prévoit d’indemniser les riverains
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Mais, le problème, ce n’est pas une question d’indemnisation, mais d’une superficie qui était de 600 hectares au départ pour être 1300 hectares aujourd’hui ! Pour les populations, il faut se limiter à ces 600 hectares du départ que les populations avaient actés. Le président Sall est hors sujet, peut-être par ignorance du vrai problème soulevé par les populations de N’dayanne qui attendaient ce port.
Les populations de Sendou, de N’dayanne ont contesté la superficie de 1300 hectares, actuellement, alors qu’au départ ils avaient acté pour 600 hectares. Soit le président Sall a été induit en erreur, soit il serait d’accord pour que des personnes tapis dans l’ombre veuillent s’accaparer des 700 hectares en sus pour d’autres objectifs.
Mais, le problème, ce n’est pas une question d’indemnisation, mais d’une superficie qui était de 600 hectares au départ pour être 1300 hectares aujourd’hui ! Pour les populations, il faut se limiter à ces 600 hectares du départ que les populations avaient actés. Le président Sall est hors sujet, peut-être par ignorance du vrai problème soulevé par les populations de N’dayanne qui attendaient ce port.