Les autorisations délivrées à des chauffeurs de taxi « ALLO DAKAR » risquent de perturber dangereusement les mesures en vigueur. Il faut annuler toutes les décisions sans délai et demander aux forces de sécurité d’arrêter ces travailleurs pour débusquer le décideur et le sanctionner sévèrement.
La chercheuse Kaoutar Harchi, professeure à Science-Po, déplore sur Twitter une terrible “réduction”: “Les corps féminins, pauvres, racisés, sont plus que jamais ramenés à leur fonction de cobaye, de doublure, d’essai, sans valeur”.
La réalisatrice Amandine Gay, dénonce également une intervention “raciste”, “putophobe” et “sérophobe” et invitent notamment à saisir le CSA. De Rokhaya Diallo à Yassine Bellatar en passant par Olivier Dacourt ou Christine Kelly, d’autres personnalités connues des médias ont fait part de leur indignation. Coronavirus: cette séquence de LCI sur un test de vaccin en Afrique fait bondir les internautes Cet échange entre un directeur de recherche à l’Inserm et un chef de service de l’hôpital Cochin sur un vaccin contre le coronavirus a suscité un véritable tollé. • • • • •
CORONAVIRUS – “Si je peux être provocateur”. La séquence diffusée sur LCI suscite de nombreuses indignations. En plateau, Jean-Paul Mira, chef de la réanimation à l’hôpital Cochin de Paris et Camille Locht, directeur de recherche à l’Inserm évoquent les études sur un vaccin contre le coronavirus et notamment celles qui se concentrent autour du vaccin BCG. Jean-Paul Mira suggère alors de réaliser ces études en Afrique. “Si je peux être provocateur, est-ce qu’on ne devrait pas faire cette étude en Afrique, où il n’y a pas de masques, pas de traitements, pas de réanimation? Un peu comme c’est fait d’ailleurs pour certaines études sur le Sida. Chez les prostituées, on essaye des choses parce qu’on sait qu’elles sont hautement exposées et qu’elles ne se protègent pas”, propose le médecin. En face, Camille Locht acquiesce à la proposition: “Vous avez raison, on est d’ailleurs en train de réfléchir à une étude en parallèle en Afrique”. La séquence a notamment été repérée par le rappeur Dosseh, avant d’être plus largement reprise et critiquée.
Les autorisations délivrées à des chauffeurs de taxi « ALLO DAKAR » risquent de perturber dangereusement les mesures en vigueur. Il faut annuler toutes les décisions sans délai et demander aux forces de sécurité d’arrêter ces travailleurs pour débusquer le décideur et le sanctionner sévèrement.
La chercheuse Kaoutar Harchi, professeure à Science-Po, déplore sur Twitter une terrible “réduction”: “Les corps féminins, pauvres, racisés, sont plus que jamais ramenés à leur fonction de cobaye, de doublure, d’essai, sans valeur”.
La réalisatrice Amandine Gay, dénonce également une intervention “raciste”, “putophobe” et “sérophobe” et invitent notamment à saisir le CSA. De Rokhaya Diallo à Yassine Bellatar en passant par Olivier Dacourt ou Christine Kelly, d’autres personnalités connues des médias ont fait part de leur indignation.
Coronavirus: cette séquence de LCI sur un test de vaccin en Afrique fait bondir les internautes
Cet échange entre un directeur de recherche à l’Inserm et un chef de service de l’hôpital Cochin sur un vaccin contre le coronavirus a suscité un véritable tollé.
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CORONAVIRUS – “Si je peux être provocateur”. La séquence diffusée sur LCI suscite de nombreuses indignations. En plateau, Jean-Paul Mira, chef de la réanimation à l’hôpital Cochin de Paris et Camille Locht, directeur de recherche à l’Inserm évoquent les études sur un vaccin contre le coronavirus et notamment celles qui se concentrent autour du vaccin BCG.
Jean-Paul Mira suggère alors de réaliser ces études en Afrique. “Si je peux être provocateur, est-ce qu’on ne devrait pas faire cette étude en Afrique, où il n’y a pas de masques, pas de traitements, pas de réanimation? Un peu comme c’est fait d’ailleurs pour certaines études sur le Sida. Chez les prostituées, on essaye des choses parce qu’on sait qu’elles sont hautement exposées et qu’elles ne se protègent pas”, propose le médecin.
En face, Camille Locht acquiesce à la proposition: “Vous avez raison, on est d’ailleurs en train de réfléchir à une étude en parallèle en Afrique”. La séquence a notamment été repérée par le rappeur Dosseh, avant d’être plus largement reprise et critiquée.