L’Etat du Sénégal utiliserait des manœuvres peu orthodoxes pour convaincre certains acteurs sociaux. Objectif, obtenir leur feu vert dans sa volonté de restaurer la taxe sur les appels entrants. C’est Le magazine ‘’La Gazette’’ dans sa dernière livraison qui donne l’information. Il annonce que le président de la République a reçu des leaders syndicaux, notamment Mademba Sock de l’Union nationale des syndicats autonomes du Sénégal (Unsas) et Mody Guiro de la Confédération nationale des travailleurs du Sénégal (Cnts) et leur aurait fait des « promesses suspectes ».
Au premier dont la centrale syndicale est arrivée deuxième à l’issue des élections de représentativité, le chef de l’Etat aurait promis un milliard de Fcfa, si toutefois il acceptait de « soutenir sa volonté de réintroduire la surtaxe sur les appels entrants ».
Le second qui a vu sa centrale syndicale arrivée en tête de ces mêmes élections de représentativité, se serait vu promette 5 milliards de Fcfa, s’il entrait dans la même logique que la première centrale citée. Les 5 milliards ainsi promis, permettraient ainsi à la Cnts de se construire une bourse du travail.
nettali.net, titre xalimasn.com
et momar ndao ascosen ,combien il a deja percu ???
on va les chasser tous cest la jeunesse qui doit prendre ses responsabilites
La diaspora dit non a globale voice non a lauguemantention des appele entrent on Sen fou de ascosen ou momar Ndao yen a mare lagnou wakhh