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Covid-19- 66 nouvelles contaminations, 01 décès et 181 patients sous traitement

Date:

XALIMANEWS- Le ministère de la santé et de l’action sociale a fait le point du jour de la pandémie de Covid-19 au Sénégal de ce mercredi 02 décembre 2020. Sur 1053 tests réalisés, 66 sont revenus positifs. Il s’agit de 29 cas contacts suivis par les services du ministère de la santé, 35 cas issus de la transmission communautaire et aucun cas importé.

30 patients sont testés négatif ce mercredi et déclarés guéris. 06 cas graves sont pris en charge dans les services de réanimation. 01 décès lié à la covid-19 a été enregistré ce mardi 01 décembre 2020.
A ce jour, le Sénégal a enregistré 16 173 cas positifs à la covid-19 dont 15 657  guéris, 334 morts, 1 évacué et 181 personnes sont encore sous traitement.

3 Commentaires

  1. Le ministre de la santé du Quebec avait avoué qu’il gonflait les chiffres des malades et des morts de covid 19. Il était le premier à faire cet aveu, mais après le monde avait fini par comprendre que c’est une règle général appliquée partout.
    Maintenant, c’est le ministre de la santé de Belgique qui avoue que lorsque son gouvernement prenait la mesure de fermer les magasins (de commerce), ce n’était pas pour des raisons de freiner la propagation du covid 19, mais pour faire un choc psychologique pour la population. On le voit donc, le pouvoir peut prendre une mesure, forcer la population à l’appliquer, déployer les forces de l’ordre pour mâter toute personne qui ne respecte pas la mesure, uniquement pour choquer cette population.
    Mais, en le faisant, le pouvoir belge ment que c’est pour freiner la propagation du virus. La vraie raison de l’acte n’est pas dite, ce qui est dit n’est pas vrai. Or, au même moment, la France aussi, l’Allemagne, l’Italie ferment leurs magasins, et disent le faire pour freiner la propagation du virus. Comment peut-on manquer d’intelligence pour ne pas comprendre que ces différents pouvoir se sont entendus sur la même mesure, sur le mensonge à véhiculer par leurs médias, et sur la vraie raison qui en est la cause: faire un électrochoc psychologique sur la population ?
    Lorsqu’un pouvoir (ou des pouvoirs) se met à prendre des dispositions pour jouer sur la mentalité de ces citoyens, pour orienter leurs opinions, pour faire peur, pour faire accepter quelque chose, tout en utilisant le mensonge, ne s’agit-il pas de techniques d’ingénierie sociale ? Le pouvoir manage alors la population comme on manage un troupeau de moutons. On ne considère pas la population comme des humains responsables, mais comme du bétail. Et la règle d’or c’est de ne jamais le dire, et de feindre d’être choqué quand on le découvre.

    Frank Vandenbroucke (sp.a), ministre de la Santé belge
    « Parce qu’à un moment on avait besoin de prendre une décision choc, il fallait un électrochoc et cela impliquait que l’on ferme immédiatement les commerces non essentiels »

    https://www.lalibre.be/belgique/politique-belge/une-interview-surrealiste-de-quoi-ne-plus-donner-envie-aux-belges-de-suivre-les-regles-les-propos-de-frank-vandenbroucke-apres-le-comite-de-concertation-font-reagir-5fc49a297b50a65ab1a0d775

  2. Le conseil scientifique covid 19 britannique, celui qui conseille le pouvoir sur toute mesure pour « combattre » le covid 19, vient de faire la recommandation de faire la fête de réveillon en plein air, et non dans les maisons, pour réduire la propagation du virus.
    Sil n’est pas encore interdit de réfléchir, est ce que cela ne veut pas dire que c’est le fait de rester enfermer dans les chambres, dans les maisons, qui propage le virus ? Cela veut donc dire que le confinement propage le virus. Et ce confinement était un conseil du même conseil scientifique. Plus qu’un conseil même, une obligation. « Restez chez vous », criaient les médias. « Je reste chez moi, je sauve des vie » était une de leurs compositions pour faire croire à une responsabilité alors qu’il s’agit d’un exercice de culpabilisation.
    Aujourd’hui, le même conseil scientifique recommande l’achat de vaccins et la vaccination. Et ne pas avoir confiance aveuglément c’est être complotiste. Et il s’agit d’un vaccin fabriqué en 8 mois dit d’une efficacité de 95%; alors qu’il a fallu 70 ans pour découvrir le vaccin de la grippe efficace à 40%, et que depuis 30 ans on n’a pas pu trouver le vaccin du sida.

    Covid-19 : les Britanniques invités à réveillonner en extérieur, des Français s’y préparent déjà

    https://mobile.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/coronavirus-des-scientifiques-britanniques-conseillent-de-feter-noel-en-exterieur_4199573.html#xtref=https://www.google.com/&xtref=https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/coronavirus-des-scientifiques-britanniques-conseillent-de-feter-noel-en-exterieur_4199573.html&xtref=https://mobile.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/coronavirus-des-scientifiques-britanniques-conseillent-de-feter-noel-en-exterieur_4199573.html

  3. Les mêmes médecins et scientifiques vous disaient que l’hydroxichloroquine est efficace et que remdesivir est dangereux, pendant que l’OMS, les pouvoirs, les conseils scientifiques et leurs médias criaient au complotisme et déclaraient l’inverse: chloroquine dangereux et remdesivir efficace. Aujourd’hui, tout le monde leur donne raison, que cela plaise ou pas. L’efficacité de la chloroquine n’est plus contestée que par ceux qui ne cachent pas leur haine de la santé humaine, et l’OMS vient de déclarer le remdesivir dangereux.
    Ces mêmes médecins et scientifiques reviennent vous conseiller sur les vaccins covid 19. Comme d’habitude ils seront diabolisés, combattus par des milliers de médias, mais tout le monde finira par comprendre qu’ils ont encore raison.

    “Chers amis,

    La France, qui vit un cauchemar depuis des mois, se réveille. Dans beaucoup de villes de notre beau pays, le peuple est en marche pour retrouver sa liberté, pour exiger le retour de la démocratie.En tant que médecin, spécialiste des maladies infectieuses et ayant été président de nombreuses instances ou conseils de santé publique, y compris sur les vaccins, je mesure chaque jour les incertitudes générant la peur et le désarroi croissant de nos concitoyens. Je prends le risque d’être à nouveau qualifié de « complotiste » ou mieux de « rassuriste », termes désignant ceux qui critiquent ou challengent la pensée unique. Je finis par être fier de ces appellations, mes propos exprimant la vérité n’ayant jamais changé depuis le début de l’épidémie. Je considère donc qu’il est de ma responsabilité de m’exprimer à nouveau ce jour sur l’ensemble du volet médical de la Covid-19 et en particulier sur le sujet vaccinal, désormais l’élément central et quasiment unique de la politique de santé de l’Etat.

    Beaucoup de Français ont été hypnotisés par la politique de la peur. Depuis septembre 2020, on nous avait annoncé une deuxième vague terrible de l’épidémie, pire que la première. Le Ministre de la Santé, le Dr Olivier Véran, le Président du Conseil scientifique de l’Elysée, le Pr Jean François Delfraissy, le Directeur Général de la Santé, le Pr Jérôme Salomon, l’Institut Pasteur nous ont annoncé des chiffres catastrophiques avec une augmentation exponentielle du nombre de morts. Les hôpitaux devaient être saturés et débordés. Même le Président de la République, lors d’une allocution télévisée récente annonçant le reconfinement, nous a prédit pas moins de 400.000 morts, renchérissant sur les 200.000 morts estimés peu de temps auparavant par le Pr Arnaud Fontanet de Pasteur. Ces chiffres irréalistes n’avaient qu’un but, entretenir la peur pour nous faire rester confinés, sagement masqués. Pourtant l’usage généralisé des masques en population générale n’a aucun intérêt démontré scientifiquement pour enrayer l’épidémie de SARS-CoV-2. L’utilisation des masques devrait être ciblée pour les malades, leur entourage (surtout les personnes à risque) et les soignants au contact.

    Or l’épidémie régresse et n’a entraîné aucune apocalypse. La dynamique de la courbe montrait depuis des semaines le profil d’un rebond épidémique saisonnier qui s’observe avec certains virus, une fois la vague épidémique terminée. Cela témoigne de l’adaptation du virus à l’homme et est aussi le reflet de l’immunité collective qui progresse dans la population et qui nous protège naturellement. Les souches de virus qui circulent actuellement ont perdu de leur virulence. Les autorités ne pourront pas dire que c’est grâce au confinement car la tendance à la baisse avait commencé avant même sa mise en place. La régression de l’épidémie avait même commencé, dans certaines agglomérations, avant l’instauration du couvre-feu.

    Malheureusement, il y a encore des décès qui surviennent chez des personnes très âgées, des grands obèses ou des personnes souffrant d’un diabète sévère, d’hypertension artérielle grave, de maladies cardiorespiratoires ou rénales déjà invalidantes. Ces personnes à risque sont parfaitement identifiées. Les mesures sanitaires devraient donc être ciblées pour les protéger, les dépister et les traiter le plus tôt possible dès le début des symptômes par l’hydroxychloroquine et l’azithromycine dont l’efficacité et l’innocuité sont largement confirmées, si on donne le traitement précocément.

    Beaucoup de décès auraient pu être évités. Or on a dissuadé les médecins généralistes et les gériatres de traiter. Dans ce contexte, continuer à persécuter nos enfants derrière des masques inutiles reste incompréhensible.

    Toutes ces mesures sont faites pour que les Français réclament un vaccin. Or quel est l’intérêt d’un vaccin généralisé pour une maladie dont la mortalité est proche de 0,05% ? Aucun. Cette vaccination de masse est inutile. De plus, les risques de la vaccination peuvent être plus importants que les bénéfices.

    Le plus inquiétant est que de nombreux pays, dont la France, se disent prêts à vacciner dans les semaines qui viennent, alors que la mise au point et l’évaluation de ces produits se sont faites à la va-vite et qu’aucun résultat de l’efficacité ou de la dangerosité de ces vaccins n’a été publié à ce jour. Nous n’avons eu le droit qu’à des communiqués de presse des industriels fabricants, permettant de faire flamber leurs actions en bourse.

    Le pire est que les premiers « vaccins » qu’on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie génique. On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d’éléments du virus par nos propres cellules. On ne connait absolument pas les conséquences de cette injection, car c’est une première chez l’homme. Et si les cellules de certains « vaccinés » fabriquaient trop d’éléments viraux, entrainant des réactions incontrôlables dans notre corps ? Les premières thérapies géniques seront à ARN, mais il existe des projets avec l’ADN. Normalement, dans nos cellules, le message se fait de l’ADN vers l’ARN, mais l’inverse est possible dans certaines circonstances, d’autant que nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps des rétrovirus dits « endogènes » intégrés dans l’ADN de nos chromosomes. Ces rétrovirus « domestiqués » qui nous habitent sont habituellement inoffensifs (contrairement au VIH, rétrovirus du sida par exemple), mais ils peuvent produire une enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à l’envers, de l’ARN vers l’ADN. Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l’ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s’intégrer dans nos chromosomes.

    Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants. Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées « vaccins » sont des apprentis sorciers et prennent les Français et plus généralement les citoyens du monde, pour des cobayes. Nous ne voulons pas devenir, comme les tomates ou le maïs transgéniques des OGM (organismes génétiquement modifiés). Un responsable médical d’un des laboratoires pharmaceutiques fabricants a déclaré il y a quelques jours qu’il espérait un effet de protection individuelle, mais qu’il ne fallait pas trop espérer un impact sur la transmission du virus, donc sur la dynamique de l’épidémie. C’est bien là un aveu déguisé qu’il ne s’agit pas d’un vaccin. Un comble.

    Je suis d’autant plus horrifié que j’ai toujours été en faveur des vaccins et que j’ai présidé pendant des années des instances élaborant la politique vaccinale. Aujourd’hui, il faut dire stop à ce plan extrêmement inquiétant. Louis Pasteur doit se retourner dans sa tombe.

    La science, l’éthique médicale et par-dessus tout le bon sens doivent reprendre le dessus.

    Christian PERRONNE
    Chef du service des Maladies infectieuses et tropicales de l’Hôpital de Garches (92) – FRANCE”

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