ISSU de la loi 66-16 du 12 février 1966, l’article 319 du Code pénal sénégalais, qui réprime les actes contre-nature, est malheureusement aujourd’hui l’objet
d’INTERPRÉTATIONS TENDANCIEUSES, paraissant accréditer le faux-fuyant juridique selon lequel le terme «homosexualité» n’y est pas spécifiquement
mentionné. D’où ces récurrentes incartades dans l’espace public des adeptes des unions contre-nature – qui ne se sont pas gênés, dans la nuit du 23 novembre 2020, à pratiquer leur abomination dans ce haut lieu de culte qu’est la Grande Mosquée de Dakar – paraissant ainsi se targuer d’une certaine impunité, au point de choquer régulièrement de larges franges de l’opinion. MENTION SPÉCIALE aux Honorables Députés Mamadou Lamine Diallo, Moustapha Guirassy, Cheikh Bamba Diéye, Aliou Souaré… (la liste n’est pas exhaustive), qui ont bien voulu SE FAIRE L’AVOCAT de la légitime préoccupation de l’écrasante majorité des
croyants de ce pays, relativement à l’expansion inquiétante du fléau des unions contre- nature. Ces Vaillants Représentants du Peuple recevront, ce mercredi 22 décembre 2021 à 15h, des mains de la délégation restreinte de notre coalition, AND SÀMM JIKKO-YI, la proposition de loi portant réforme de l’article 319 du Code pénal. IL S’AGIRA surtout d’amender l’alinéa 3 de cette disposition pénale, pour qu’il ne prête plus à équivoque. En précisant notamment, dans sa nouvelle mouture, la nature même des infractions visées, que sont :
- L’HOMOSEXUALITÉ,
- LE LESBIANISME,
- LA ZOOPHILIE,
- LA NÉCROPHILIE…
ET ASSIMILÉS. Fermant ainsi définitivement la porte aux manœuvres confusionnistes, tendant à dédouaner ces déviances, à travers un juridisme de mauvais aloi. JAMRA SALUE la détermination des Khalifes généraux des villes Saintes de TOUBA et de TIVAOUANE, Serigne Mountakha Mbacké Bachir et Serigne Babacar Sy Mansour qui, en sus d’avoir personnellement PARAPHÉ LA PÉTITION NATIONALE, ont pris soin d’y annexer leurs propres “exposés des motifs”, traduisant ainsi leur ADHÉSION TOTALE à la proposition de loi de notre coalition And Samm Jikko-Yi, portant SAUVEGARDE de nos VALEURS socio-culturelles, à travers notamment le renforcement des sanctions pénales des JËFI BOROM ÑAARI TÛR-YI (actes contre-nature), en CRIMINALISANT carrément le délit. JAMRA et MBAÑ GACCE réitèrent leurs exhortations aux électeurs, à redoubler de vigilance à l’égard de la Représentation nationale. Et à SANCTIONNER NÉGATIVEMENT, lors des prochaines Législatives, tout député qui S’ABSTIENDRA DE VOTER CETTE LOI, qui a déjà reçu la BÉNÉDICTION de toutes les Cités religieuses du Sénégal. Et des leaders des religions traditionnelles du Bois Sacré.
LE CONCEPT de « pays » inclut la notion de « souveraineté ». Ainsi, la France, usant de sa souveraineté, s’est librement dotée d’un dispositif législatif qui punit sévèrement toutes formes de NÉGATIONNISME de crimes contre l’humanité, à l’instar de l’holocauste juif. Et sanctionne toute manœuvre REVISIONNISTE de la HAUTE TRAHISON dont a été confondu, par la Haute Cour de justice en juillet 1945, le maréchal Philippe Pétain, frappé d’indignité nationale et déchu de ses distinctions militaires. Usant de sa souveraineté nationale la France interdit le port du voile dans l’espace public; et rejette, à travers son
Code civile, la POLYGAMIE, arguant que ce régime matrimonial est aux antipodes des réalités socio-culturelles françaises. CE LÉGITIME combat d’affirmation de notre souveraineté nationale, qui tient à cœur l’écrasante majorité des croyants de ce pays, sera, au-delà de la criminalisation des frasques provocatrices des adeptes des déviances sexuelles, l’occasion pour le VAILLANT PEUPLE SÉNÉGALAIS, imbu de ses valeurs traditionnelles que lui ont généreusement léguées ses vaillants ancêtres et les grandes figures religieuses qui reposent en terre sénégalaise, de prouver aux lobbies que LE SÉNÉGAL N’APPARTIENT À PERSONNE
D’AUTRE QU’AU PEUPLE SÉNÉGALAIS ! ET QUE L’AGENDA MAÇONNIQUE des LOBBIES LGBT n’aura JAMAIS droit de cité sur cette terre bénie où reposent Bamba, Maodo, Baye Niasse, Baye Laye, incha Allah.
Le combat continue.
Bureaux exécutifs de
JAMRA et MBAÑ GACCE