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Crise boursière : Wall Street plonge à la clôture

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La dégradation de la note souveraine américaine ce week-end par Standard and Poor’s a entraîné de fortes baisses sur les places boursières mondiales. A Wall Street, le Dow Jones a perdu 5,55% à moins de 11 000 points et le Nasdaq, à dominante technologique, a perdu 6,90%.

La série noire a débuté par les bourses asiatiques. En Europe, après un rebond en début de séance, les marchés ont fini pour la plupart sur de lourdes chutes.

Sur le Vieux-Continent, l’intervention de la Banque centrale européenne (BCE) pour racheter des obligations italiennes ou espagnoles a permis aux Bourses de ces deux pays fragilisés de ne pas lourdement plonger ce lundi. Après avoir ouvert sur une note optimiste avec des hausses respectives de 5% et 3,31%, Milan et Madrid ont subi l’ouverture en baisse de Wall Street mais ont fini sur des replis relativement modérés aux alentours de -2,44%. Ce qui n’est pas le cas de Paris qui a chuté à -4,68%, au plus bas depuis le 14 juillet. En onze séances de baisse consécutive (un record), le CAC 40 a perdu 18,67%. Il évoluait encore au-dessus de 4 000 points début juillet. Francfort clôture à – 5,02% et Londres à -3,39%.

Revivez les événements de la journée

22h23. La bourse de Sao Paulo (Brésil) a chuté de 8% à la fermeture.

22h15. La Bourse de Toronto (Canada) clôture en baisse de 4,04%.


22h01. Wall Street clôture en forte baisse.
 La Bourse de New York chute  son plus bas niveau depuis dix mois, au premier jour d’échanges depuis l’annonce de l’abaissement de la note de crédit américaine: le Dow Jones a perdu 5,55% à moins de 11.000 points et le Nasdaq 6,90%, selon des chiffres provisoires.

21h40. Zapatero et Obama appellent à une action coordonnée. Le président américain Barack Obama et le Premier ministre espagnol Jose Luis Zapatero «ont mis en évidence le besoin de travailler de façon coordonnée afin de renforcer la croissance économique et d’éviter un ralentissement» mondial, a indiqué le cabinet du Premier ministre espagnol dans un communiqué, après une conversation téléphonique.

20h55. Trichet défend sa décision de racheter de la dette publique. Le président de la Banque centrale européenne (BCE), Jean-Claude Trichet, défend sur la chaîne allemande ARD  sa décision de racheter de la dette publique des Etats de la zone euro en difficulté pour tenter de calmer le feu sur les marchés : «Pour des raisons de politique monétaire, nous pouvons prendre des mesures exceptionnelles», affirme le Français. «Parmi elles figure le rachat d’emprunts d’Etat, quand les marchés sont si secoués que notre politique monétaire ne peut pas sinon avoir d’impact» poursuit-il.

20h35. Le pétrole au plus bas depuis novembre. Les prix du pétrole ont chuté de plus de 6% lundi à New York, à leurs plus bas niveaux depuis novembre, dans un marché où l’abaissement de la note de la dette des Etats-Unis a plombé un peu plus les prévisions de demande.

20h25. Baroin : Paris «sera au rendez-vous» de ses engagements. Le ministre français de l’Economie François Baroin déclare sur le plateau de TF1 : «Nous devons réduire nos déficits et ce sont des objectifs intangibles», soulignant que «la France sera au rendez-vous de ce qu’elle a fixé comme engagements vis-à-vis de ses partenaires».

20h02. Le Dow Jones passe sous 11 000 points. Lors de l’allocution du président Obama, l’indice vedette américain perd 3,92%. Le Nasdaq chute lui de 4,92%

20 heures. Le président démocrate appelle les républicains à accepter des hausses d’impôts.
 Le président américain proposera ses propres recommandations dans les prochaines semaines pour réduire le déficit. Il appelle ses adversaires républicains à accepter des hausses d’impôts pour les Américains les plus riches. «Procéder à ces réformes ne nécessite pas des décisions radicales. Cela nécessite du bon sens et du compromis», a-t-il déclaré. Le président a cependant admis que les querelles partisanes à Washington minaient les efforts pour régler le problème de l’économie américaine. L’adoption le 2 août d’une loi pour relever le plafond de la dette avait adopté in extremis, après des semaines de bataille.

19h56. Obama défend le crédit des Etats-Unis mais admet qu’il y a un problème de déficit. Barack Obama défend dans son discours le crédit des Etats-Unis dont la note, jusqu’alors impeccable, a été dégradée vendredi par l’agence Standard & Poor’s, soulignant que les problèmes économiques «peuvent être résolus» mais qu’il faut une volonté politique. «Quoi que disent certaines agences de notation, notre pays a toujours mérité et méritera toujours la note « AAA »», lance-t-il en insistant sur le fait que les investisseurs mondiaux continuent de voir l’économie américaine comme l’une des places les plus sûres.

19h41. Tel Aviv clôture à la hausse.  Après  avoir plongé la veille dans le sillage de l’annonce de la dégradation de la note souveraine américaine vendredi, l’indice vedette de la Bourse de Tel-Aviv, le TA-25, a terminé en hausse de 1,5% pour s’inscrire à 1.090,39 points. L’autre indice, le TA-100, a clôturé avec une hausse de 1,47%.

18h55. Un abaissement de la note française pourrait provoquer une désintégration de la zone euro
. C’est ce qu’estime que l’un des principaux instituts de conjoncture allemand, le DIW. Une éventuelle dégradation de la note de la dette française aurait en effet des conséquences sur le Fonds de secours européen (FESF), mis en place par les dirigeants de la zone euro pour répondre à la crise de la dette, explique un directeur de recherches. «Si la note de la France devait être dégradée à AA (contre AAA actuellement, ndlr), soit elle ne quitte pas le FESF par crainte de voir sa réputation entachée. Mais alors les conditions de crédit de ce Fonds vont se dégrader dans l’ensemble», affirme-t-il. «Soit elle en sort et les autres pays vont devoir contribuer plus massivement à ce Fonds dont le volume global va baisser», poursuit-il. «Les deux hypothèses vont faire douter les marchés de la pérennité de la zone euro».

18h44. Geithner voit «de la marge» pour réagir à la crise.  Le secrétaire au Trésor des Etats-Unis, Timothy Geithner se veut rassurant. Il affirme dans un entretien télévisé : «Il y a largement de la marge pour que les banques centrales et les gouvernements agissent afin de contribuer à gérer les pressions que nous voyons toujours dans le monde». Ces propos diffusés lundi avaient été prononcés la veille.

18h24. Chevènement, Sarkozy et la BCE. Jean-Pierre Chevènement, le président d’honneur du Mouvement républicain et citoyen (MRC) a envoyé un courrier à Nicolas Sarkozy, pour lui «suggérer d’agir auprès de la chancelière allemande pour que la décision prise à une majorité écrasante par le Conseil des Gouverneurs de la BCE le 4 août soit publiquement soutenue par l’Allemagne et la France dans les prochains jours». «Seul le rachat massif des titres et dettes espagnols et italiens peut aujourd’hui permettre de sauvegarder la cohésion de la zone euro», estime l’ancien ministre de François Mitterrand.

18h14. Bruxelles perd 3,76% lors de sa onzième séance de baisse.

17h56. Milan clôture sur une baisse de 2,43%. Après avoir ouvert sur une hausse de 0,1%, la place milanaise s’était pourtant envolée en bondissant jusqu’à 4% lors des premiers échanges de la matinée, entraînée par la forte course des valeurs bancaires. Les marchés semblaient rassurés par le soutien de la BCE et son rachat d’une partie de la dette italienne. En fin de séance, les valeurs industrielles se sont effondrées dans le sillage de Wall Street. Fiat Industrial et Pirelli ont plongé respectivement de 10,48% à 6,75 euros et de 10,36% à 5,2 euros. Fiat a terminé sur une baisse de 9,64% à 4,98 euros, tandis que le chausseur Tod’s a chuté de 8,80% à 74,6 euros.

17h40. Madrid termine en baisse de 2,44%. Dans la capitale espagnol, le repli est plus modéré que sur d’autres places boursières européennes. Après une semaine noire, l’Ibex-35 avait ouvert lundi en hausse, puis bondi de plus de 3,4% dans les premiers échanges, réagissant favorablement à l’annonce de mesures pour résoudre la crise de la dette. Mais l’indice est passé dans le rouge à la mi-journée, ne faisant plus que quelques brèves incursions dans le vert.

17h39. Paris finit sur une chute de 4,68%
. La Bourse de Paris signe sa onzième séance de baisse consécutive, un nouveau record historique par rapport à vendredi. Le CAC 40 a  lâché 153,37 points à 3.125,19 points, dans un volume d’échanges très fourni de 5,939 milliards d’euros. Sur ces onze séances, il a perdu 18,67%, pour finir lundi au plus bas depuis le 14 juillet 2009 (3.081,87 points). Il évoluait encore au-dessus de 4.000 points début juillet. La plupart des valeurs cycliques, les plus dépendantes de la conjoncture, ont plongé lundi à l’image de Renault (-9,27% à 28,40 euros) et Alcatel-Lucent (-9,71% à 2,22 euros).

17h38. Bourse de Francfort : le Dax plonge de 5,02%. L’indice vedette allemand repasse sous la barre symbolique des 6 000 points pour la première fois depuis près d’un an. En un mois, l’indice a désormais perdu 20% de sa valeur. Les constructeurs automobiles ont été particulièrement touchés avec des chutes de plus de 8% pour BMW ou de plus de 7% pour Daimler.

17h36. Londres clôture en baisse de -3,39%. L’indice Footsie-100 des principales valeurs a lâché 178,04 points pour terminer la séance à 5.068,95 points, son plus bas niveau depuis le 8 juillet 2010. Il avait déjà perdu près de 10% de sa valeur la semaine dernière. Très sensibles à la conjoncture, les valeurs minières se sont effondrées, Vedanta lâchant 9,30% à 1.297 pence, Xstrata 7,68% à 969,80 pence et Glencore 6,84% à 380,45 pence.

17h02. Barack Obama fera une déclaration vers 19 heures après l’abaissement de la note de la dette américaine, de AAA à AA+ par Standard and Poor’s, selon un responsable américain.

16h54. L’indice russe RTS plonge de près de 8%. La Russie prévoit de recourir à des emprunts massifs sur les marchés pour combler son déficit budgétaire, ce qui triplera le montant de sa dette d’ici fin 2014, jusqu’ici peu élevé. «En 2011, la dette publique de la Russie représentera 11,2% du PIB», indique le projet budgétaire rendu public lundi. Elle va de fait augmenter pour atteindre 17% d’ici à fin 2014, soit près de 298 milliards d’euros, ajoute-t-il. La note du pays a été fixée à BBB par Fitch et S&P, et à Baa1 par Moody’s, ce qui signifie que la Russie est un émetteur de qualité moyenne, mais est en mesure de faire face à ses obligations de manière adéquate.Cette politique d’emprunts est toutefois risquée, alors que la conjoncture internationale est en train de se dégrader, avertissent plusieurs analystes interrogés par Vedomosti.

16h48. La Bourse d’Athènes clôture sur une chute de 6%. L’indice Athex termine, en dessous de la barre psychologique de 1 000 points, dans un climat extrêmement négatif.  Les actions des télécoms grecs (OTE), des sociétés publiques d’électricité (DEI) et de paris sportifs (Opap), qui figurent sur la liste des sociétés privatisables, enregistrent les plus fortes baisses. Le Premier ministre grec  a eu une conversation téléphonique s’est entretenu au téléphone avec José Manuel Barroso à propos des répercussions de la nouvelle tourmente économique mondiale sur la Grèce.

16h43. La Bourse de Milan chute de plus de 2,5%. Dans la matinée, soulagée par l’annonce d’une intervention de la BCE sur le marché obligataire, la Bourse italienne a annulé son gain et chute en fin de séance.

16h35. La baisse s’accélère à New York.
  L’indice Dow Jones perd plus de 3,10%. Le Nasdaq, à dominante technologique, chute à -4,03%

16h34. La Bourse de Paris s’enfonce dans le rouge et perd plus de 4% comme Francfort
, dans le sillage de Wall Street.

16h30. A Londres, le Footsie-100 chute de plus de 3%. 

16h15. A la Bourse de New York, 
le Dow Jones perd plus de 2%.

15h57. Le CAC 40 poursuit sa baisse. Il perd 2,35%

15h50. 
La Bourse d’Athènes en forte chute de plus de 5%. Cette place boursière, qui reflète l’économie la plus fragile de la zone euro, avait ouvert en baisse et ne cesse depuis de dégringoler.

15h45. Standard and Poor’s : la France mérite sa note «AAA» avec perspective «stable».  Le président du comité de notation des Etats de S&P, John Chambers, affirme que la réforme des retraites en 2010 était «une mesure intelligente» et le retrait de la politique de relance budgétaire «un exemple de politique budgétaire bien conçue». «Même si cela ne se voit pas» dans le budget dans l’immédiat, l’allongement de deux ans de la durée du travail a «notablement amélioré» les perspectives à long terme de la dette publique, estime-t-il  «La zone euro a ses problèmes aussi», modère-t-il.

15h40. Sao Paulo chute de 4,5% à l’ouverture. 
 La Bourse brésilienne, première place financière d’Amérique latine, chute de 4,5% à l’ouverture

15h34. Wall Street ouvre en forte baisse. Voici les cours à l’ouverture : Dow Jones -1,66%, Nasdaq -3,35%. L’ouverture de la Bourse de New York était très attendue après la dégradation de la note souveraine par Standard and Poor’s vendredi soir. Cette annoncé était intervenue après la clôture de la dernière séance de la semaine.

15h22. Francfort perd 3%. L’indice allemand perd plus de 3%.  

15h12. A Paris, le CAC 40 perd 2,12%. Il avait lâché brièvement plus de 3%.

15h05. Londres chute de plus 2%. L’indice anglais a accéléré son recul  juste avant l’ouverture de Wall Street.

15h15. Les Bourses de Moscou sont en forte baisse. Le RTS perd plus de 5%.

14h. La Bourse de Bombay clôture en baisse de 1,82%, après avoir chuté de 3,15% peu après l’ouverture.

13h50. L’opposition italienne furieuse. Après la révélation d’une lettre envoyée par la BCE à Berlusconi pour dicter ses conditions au soutien à la dette italienne, l’opposition de gauche demande des éclaircissements au gouvernement : «Que nous demandent vraiment la BCE et les institutions internationales ? Un gouvernement impuissant totalement discrédité et désormais sous tutelle doit au moins dire quelle est la situation réelle», déclare à la presse le chef du Parti démocrate, Pierluigi Bersani.

13h45. Plongeon des Bourses nordiques. Vers 13h15, Oslo chutait de 3,42%, Stockholm de 2%, Helsinki perdait 1,87% et Copenhague 1,36%, après avoir évolué en hausse dans la matinée.

13h. A Londres, l’indice Footsie recule de 1,89%.

13h. Le point à la mi-journée : le Cac 40 recule de 1,82% à 3218,87 points.

12h50. Analyse de Xavier Lespinas, directeur de la gestion d’actions SwissLife Gestion privée à Paris, à la mi-journée : «Ce n’est pas la catastrophe qu’on craignait». Les marchés «prennent acte de la concertation au plus haut niveau des autorités au sein de la zone euro et des Américains», les investisseurs analysant encore la portée des déclarations faites, souligne-t-il.

12h20. La Bourse de Madrid passe à son tour dans le rouge.

12h15Berlin ne veut pas augmenter le FESF. Berlin rejette pour l’instant toute augmentation du fonds européen de secours (FESF), face aux appels à l’augmenter pour faire face à la crise à la dette. Créé en 2010 pour venir en aide à l’Irlande puis au Portugal, ce fonds est jugé insuffisant pour voler au secours de l’Italie comme de l’Espagne, actuellement dans la tourmente. Le président de la Commission européenne José Manuel Barroso et le commissaire européen aux Affaires économiques Olli Rehn ainsi que la France demandent depuis plusieurs jours son augmentation.

12h15. La Bourse d’Athènes cède 4,79% à la mi-journée.

12h. Le Cac 40 tourne autour de -2%.

11h25. A la Bourse de Francfort, le Dax chute de plus de 2%.

11h15. Après avoir gagné plus de 2% vers 10 heures, le CAC 40 cède désormais 1,62%.

11h. L’euro gagne du terrain face à un dollar affaibli
 par la décision en fin de semaine de Standard and Poor’s d’abaisser la note de la dette souveraine des Etats-Unis : la devise européenne vaut 1,4341 dollar contre 1,4281 dollar vendredi.

10h45. Les conditions de la BCE à l’Italie.
 La Banque centrale européenne a posé des conditions précises à l’Italie en échange de son soutien, révèle le journal Il Corriere della Sera, en citant la demande de privatisations rapides, notamment des sociétés municipales, et d’une réforme du marché du travail. Ces exigences ont été adressées au chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi, dans une lettre «secrète» envoyée entre jeudi et vendredi et signée par le gouverneur de la BCE Jean-Claude Trichet et Mario Draghi, qui lui succédera en novembre.

10h40. La Bourse de Londres fait du yo-yo dans un climat très volatil. L’indice Footsie-100 des principales valeurs est repassé dans le rouge.

10h20. Jean-Louis Borloo
 juge «indispensable» une «convocation urgente» des G8 et G20, actuellement présidés par la France, et demande d’associer «les Parlements le plus tôt possible» aux réflexions face à la crise des dettes souveraines, dans une interview au Figaro.

10h15. La Bourse de Paris repasse dans le rouge.

10h12. Obligations : la dégradation de la note américaine n’a pas d’impact massif ce matin sur les taux américains. A 09h50, les rendements à 10 ans reculaient légèrement, à 2,533% contre 2,558% vendredi à la clôture.

10h. Les valeurs financières s’offrent un fort rebond
 dans les premiers échanges à la Bourse de Paris, grâce aux rachats d’obligations de pays fragiles par la Banque centrale européenne (BCE) : à 09h50, BNP Paribas gagne 4,55%, Crédit Agricole 3,81%, Dexia 4,52%, Société Générale 2,79%, Axa 2,81% et Natixis 0,33%.

09h40. A Tokyo, l’indice Nikkei, qui a cédé 2,18%, est à son niveau le plus bas depuis le séisme, le tsunami et la menace d’incident nucléaire qui ont affecté le Japon mi-mars.

09h34. Londres passe dans le vert (+0,35%).

09h30. La Bourse de Paris passe dans le vert, à +1,40% une demi-heure après l’ouverture.

09h27. La bourse de Madrid accélère ses gains, prenant plus de 2,6%, rassurée par les mesures de rachat de dette de la BCE.

09h18. Le G20 s’engage. 
Dans un communiqué, les ministres des Finances et Gouverneurs de banque centrale des pays du G20, qui étaient en conférence téléphonique cette nuit, affirment leur «engagement à prendre toutes les initiatives nécessaires de manière coordonnée pour soutenir la stabilité financière et promouvoir une croissance économique plus forte dans un esprit de coopération et de confiance».

09h15. La Bourse de Shanghai perd 3,79% en clôture.

09h13.  La Bourse de Milan grimpe de 3%, dix minutes après l’ouverture.

09h10. Le Cac 40 repasse dans le vert (+0,67% à 9h09)

09h05. Après cinq minutes de transactions, la place parisienne ne perd plus que 0,36%.

09h02. Madrid ouvre en hausse de 0,63%.

09h02. Francfort ouvre en baisse de 1%.

09h02. Londres ouvre en baisse de 1,15%.

09h. Pas de panique à Paris. La Bourse parisienne ouvre en baisse de 0,74%.

08h45. La Bourse de Paris devrait ouvrir en forte baisse. Le contrat à terme sur le CAC 40 perdait 2,53% une quarantaine de minutes avant l’ouverture de la séance. Vendredi, avant l’annonce de Standard & Poor’s, l’indice parisien a lâché 1,26% à 3.278,56 points, soit son plus bas niveau depuis le 23 juillet 2009.

08h44. Les deux Bourses de Moscou, premières places continentales à ouvrir, ouvrent en nette baisse. Le RTS recule de 3,30% à 1 739,34 points, tandis que le Micex perd 2,68% à 1.544,50 points.

08h40. Baisse de 2,% en Austalie. 
La journée à Sydney s’est achevée sur une baisse de 2,9% : l’indice S&P/ASX 200 a perdu 119,30 points à 3 986,10 points. Le dollar australien a également essuyé une baisse, à 103,24 cents US contre 104,42 cents US vendredi.

08h32. Le ministre François Baroin s’interroge sur la croissance: «Il y a une interrogation sur la croissance, sa vigueur, ses perspectives, l’impact de ce qu’il s’est passé tout au long de ces six derniers mois, le printemps arabe, le problème japonais, etc».

08h30. La Banque de France prévoit une croissance de 0,2% au 3e trimestre 2011.

08h24. La bourse de Séoul clôtere sur une baisse de 3,82%. «L’atmosphère ne pourrait pas être pire», a déclaré en cours de séance un analyste d’une société de gestion de fonds.

08h20. François Baroin «n’écoute jamais les prophètes de l’apocalypse» qui prédisent un krach boursier historique aujourd’hui. Sur Europe 1, le ministre français des Finances a voulu rassurer : le Fonds européen de stabilité financière «aura tous les moyens d’anticiper les menaces et les attaques». Doté dans un premier temps d’une enveloppe de 440 milliards, il pourra être abondé : «nous irons plus loin s’il le faut», a affirmé François Baroin. Estimant que Standard & Poor’s, l’agence qui a dégradé la note américaines, s’était basée sur des chiffres «sujets à caution», le locataire de Bercy a estimé que les marchés devaient entendre «les messages puissants» adressés ce week end et cette nuit par les grandes économies planétaires.

08h03. Forte baisse mais pas de panique à Tokyo : la bourse nippone clôture en baisse de 2,18%. L’indice Nikkei abandonne 202,32 points pour tomber à 9.097,56 points.

08h. Dans Le Parisien, le fondateur de la société de gestion Richelieu Finance Gérard Augustin-Normand explique qu’il croit à la résistance des marchés boursiers : «Il n’est pas exclu que les indices se ressaisissent», explique-t-il. Au contraire, l’économiste Nicolas Bouzou ne croit pas à un sursaut des places financières : «La chute des marchés reflète une crise profonde».

07h40. Le Quotidien du Peuple, organe officiel du Parti communiste chinois, s’en prend aux Etats-Unis et à l’Europe.
«Si les pays développés, parmi lesquels les Etats-Unis et (ceux de) l’Europe, refusent d’assumer leur responsabilité, cela va avoir de graves conséquences sur la stabilité du développement de l’économie mondiale», estime le journal dans un éditorial.

07h. Tous les marchés asiatiques sont dans le rouge : -2,06% à Tokyo, -4,04% à Hong-Kong, Séoulà -4,20%, Djakarta à -4,99%.

06h35. L’or, valeur-refuge, enregistre un nouveau record
 sur le marché à Hong Kong, crevant le plafond des 1.700 dollars US l’once pour la première fois.

06h30. La Bourse de Séoul dévisse :
 -6,3% à la mi-journée

06h. En Inde, la bourse de Bombay chute
 de près de 3% à l’ouverture.

06h. A Tokyo, le Nikkei creuse ses pertes et chute de plus de 2%.

05h30. L’agence de notation Standard and Poor’s indique que la baisse de la note de la dette américaine n’aura pas d’impact immédiat sur les notations de la région Asie-Pacifique, mais pourrait en revanche avoir des conséquences négatives à plus long terme.

04h. Baisse mesurée à l’ouverture de la Bourse de Shanghai : -0,82%.

03h45. La Bourse de Hong Kong ouvre en baisse de 2,57%.

03h30. La directrice générale du Fonds monétaire international, Christine Lagarde
, salue l’engagement du G7 «pour assurer la stabilité et la liquidité sur les marchés financiers». «Cette coopération contribuera à maintenir la confiance et à favoriser la croissance économique mondiale», assure-t-elle dans un communiqué.

03h20. Les cours du pétrole sont en forte baisse dans les échanges électroniques en Asie. Le baril de «light sweet crude» pour livraison en septembre perd 2,48 dollars à 84,40 dollars. Celui du Brent de la Mer du Nord pour livraison en septembre recule de 2,48 dollars à 106,89 dollars.

03h. L’euro remonte face au dollar après l’annonce par la Banque centrale européenne qu’elle allait racheter des obligations de la zone euro.

02h. Les places asiatiques ouvrent dans le rouge : Tokoyo et Séoul ouvrent en baisse de 1,40%, Sydney de 1,1%.

01h46. Le gouvernement japonais maintient sa confiance dans les bons du Trésor américain
, dont Tokyo est un grand acheteur, malgré la décision de l’agence Standard & Poor’s d’abaisser la note de la dette des Etats-Unis, affirme le ministre japonais des Finances.

01h45. Le G7 annonce dans un communiqué qu’il prendra «toutes les mesures nécessaires pour soutenir la stabilité».


01h30. Le G7 veut éviter les mouvements excessifs. 
Les pays du G7 se sont entendus pour coopérer afin d’éviter les mouvements excessifs sur le marché des changes, indique le ministre japonais des Finances.

0h40. 
Geithner s’en prend à S&P. Le secrétaire au Trésor des Etats-Unis, Timothy Geithner, déplore le «jugement terriblement mal avisé» de l’agence d’évaluation Standard and Poor’s. «Je pense que S&P a émis un jugement terriblement mal avisé» en abaissant pour la première fois de leur histoire la note attribuée à la dette des Etats-Unis, explique-t-il sur CNBC.

00h. La BCE annonce qu’elle va tenter de calmer les marchés en rachetant davantage de dette publique de pays de la zone euro en difficulté sur le marché secondaire, là où s’échangent les titres déjà émis, déclare-t-elle à l’issue d’une réunion convoquée d’urgence face à l’escalade de la crise de la dette. Elle ne précise pas la dette de quel pays elle compte racheter, mais les marchés s’attendent à ce qu’elle intervienne sur les obligations de l’Italie et de l’Espagne, dont les taux obligataires ont atteint des records ces deux dernières semaines.

 

leparisien.fr

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