Dakaractu a eu copie de la lettre ouverte adressée au chef de l’état Macky Sall par Cheikh Yérim Seck au sujet de la détérioration de ses conditions de détention, et il apparaît que les choses commencent à se clarifier, quant à l’attitude du père de Aissatou Tall, Boubou Diouf Tall, qui semble être selon notre confrère, à l’origine de ces dures décisions qui l’ont frappé dans la purge de sa peine. Cette lettre est un véritable coup porté à la dignité de Cheikh Yérim Seck, mais surtout elle révèle selon son auteur la cupidité de Boubou Diouf Tall, dont CYS raconte au président comment, lors des négociations précédant l’appel interjeté par le journaliste, le père de sa supposée victime avait reçu et exigé des envoyés le représentant, certaines sommes d’argent. Des millions lui auraient été versés, et pis, il aurait contracté des prêts auprès de certains amis de CYS en échange de son repli judiciaire. Il a reçu selon CYS la somme de 3 millions de Madické Niang, qui lui a remis en outre d’autres millions, comme Mbaye Guèye de EMG qui lui a même prêté des sous, avant qu’il n’exige un versement final notarié sous la responsabilité de Me Borso Pouye, versement tellement élevé que les mandataires n’ont pas pu suivre. C’est à ce moment qu’il a brisé le cours des négociations, allant jusqu’à menacer de casser Cheikh Yérim Seck. C’est à ce moment-là qu’il a fait entrer en scène Diadji Ndiaye, pour rendre la vie carcérale de CYS encore plus insupportable. Agressions, dents cassés, brimades, tout y passa et peut-être fallait-il véritablement craindre le déménagement dans une cellule surpeuplée où une bagarre bien organisée et …fatale est si vite arrivée.
Il était temps de crier « Au secours !!! Boubou Diouf Tall est devenu Fou » et de demander à ce qu’on le sorte de ce qu’il appelle « un rapt avec demande de rançon ».
Pour que nul n’en ignore Dakaractu vous publie la copie que Cheikh Yérim Seck a envoyée au chef de l’état, Monsieur Macky Sall
Monsieur le Président de la République,
Vous êtes le Président de tous les Sénégalais, garant de la sécurité de tous. Détenu au camp de Liberté 6, je suis menacé de mort par Boubou Diouf Tall, Directeur de l’Observatoire National des Lieux de Privation de Liberté (ONLPL), qui promet de me « détruire ».
Joignant le geste à la parole, M. Tall, père de mon accusatrice N’dèye Aisatou Tall, actionne Diadji N’diaye, Régisseur du Camp Pénal, pour me soumettre à d’intenables conditions de détention.
Le 26 Mars, le régisseur m’a empêché d’honorer un rendez-vous médical, alors que je suis très gravement malade.
Agressé par deux gardes pénitentiaires, qui m’ont défoncé deux dents de la mâchoire supérieure, j’ai subi de graves dégâts à la vue et au cerveau.
La procédure disciplinaire engagée contre mes agresseurs est restée lettre morte.
Monsieur le Président, Boubou est magistrat et dirige l’Observatoire des prisons. Il m’avait promis, par le canal d’un ami commun, que je resterai en prison autant de temps qu’il le voudra. Promesse tenue.
Je suis condamné à 2 ans de prison et à 10 millions de dommages et intérêts pour avoir violé par surprise N’dèye Aissatou Tall, après des préliminaires et le port d’un préservatif reconnu par cette dernière!
En réalité, Monsieur le Président de la République, toute cette affaire qui a défrayé la chronique n’a rien à voir avec l’infraction de viol. Ce n’est qu’un prétexte pour me mettre en prison afin de me soumettre à un ignoble chantage.
Boubou nous a pris beaucoup d’argent, à mes amis et à moi-même. Je lui ai remis 3 millions de F Cfa par le biais de mon grand frère Me Madické Niang. Il a racketté à blanc tous mes amis (Me Madické Niang, Mamadou Diop, M’baye Guèye pour ne citer que ceux là), qui ont tenté de trouver une issue amiable à cette affaire.
Il risque d’ailleurs une plainte de M’baye Guèye qui, après l’avoir gratifié de nombreux dons, lui a fait un prêt qu’il peine à recouvrer.
Cheikh Ousmane Diagne et El hadj Mansour M’baye, qui tentaient une médiation, se sont vus opposés une condition : que je signe un accord financier notarié que l’avocate Me Borso Pouye devait me porter en prison.
Mon refus m’a valu un second procès après plusieurs mois où Boubou Diouf Tall, après avoir pris notre argent, avait dit à tout le monde que sa fille allait se désister en appel.
Vous aurez compris, Monsieur le Président de la République, que je suis victime d’un rapt avec demande de rançon. Sans doute pour que je ne révèle pas les nombreux secrets de cette affaire, je suis menacé dans ma sécurité. Veillez sur moi, Monsieur le Président de la République, et recevez mes salutations respectueuses.
Cheikh Yérim Seck, citoyen Sénégalais
Camp Pénal de Liberté 6
Chambre N° 03
que le bon Dieu t’assiste CYS
ce type rendra compte dans un autre monde avec sa
pute de fille
oui une pute.ki né pa mineur,ki retrouve un client dans une auberge,c grave.diaye dolé, mé deugue moy moudie.
A la lecture de ce que nous révèle monsieur Cheikh Yérim Seck relative aux tractations entre les deux partie à un moment donné du procès, il est évident que des éléments nouveaux, de nature à remettre tout à plat sont survenus!
Toutes les incriminations doivent maintenant être portées sur ce père indigne qui a voulu vendre l’HONNEUR DE SA FILLE qui, nous disait-il, était perdu à jamais, par la faute d’un amoureux qui l’aurait violée dans une chambre d’hôtel, loin de la maison familiale, et plus cocasse en enfilant tranquillement, sous les yeux de la fille un préservatif à la vanille !
Si des Preuves tangibles ou concordantes sont apportées par la défense pour étayer un chantage et une remise de fortes sommes d’argent qu’aurait réclamé le père de la victime, sans honorer, par la suite ses engagements pour un règlement à l’amiable de l’affaire, toute la procédure tombe à l’eau, pour vice de forme !
On ne peut avoir le beurre et l’argent du beurre, le père de la victime a voulu s’enrichir sur le dos de sa fille en procédant à la captation de fond en utilisant des subterfuges honteuses, de surcroît de la part d’un haut Magistrat qui aurait alors agit comme un grand bandit!
Comment un père dont la fille aurait été violée, nous disait-on, a pu se comporter de cette manière en accumulant des sommes d’argent aussi élevés, prélevées sur des amis, de la famille du présumé violeur ?
Où va notre justice alors ? Nous sommes dans un pays de droit, ce jugement doit être cassé, compte tenu des révélations de monsieur Yérim Seck sous réserve que des preuves soient apportées par ses Avocats et par sa famille !
Par ailleurs, compte tenu de ces nouveaux éléments, des brimades qu’il a subies dans sa cellule du camp Pénal par des gardes jusqu’à lui causer des blessures constatées par un médecin de l’hôpital, je conseille à monsieur Seck d’internationaliser son combat par le biais de ses amis de France et d’ailleurs, de Jeune Afrique plus particulièrement, en faisant publier cette lettre adressée au Président Macky Sall dans des organes de ses amis.
Malheureusement, nos responsables ne sont sensibles à une injustice de ce genre que quand des sympathisants d’Europe ou des Etats-Unis s’en mêlent.
Ce type fait ce qu’il sait faire le mieux : la manipulation on se souvient de Jeune Afrique et ses procédés.
Moi je pense que c’est plutôt lui qui essaye de casser Tall
De grace CYS ne prend pas en otage le peuple senegalais, apres votre forfaiture , purgez votre peine et vous la meritez bien.Vous etes un detenu, pouquoi voulez vous avoir un traitement de faveur?parce que vous avez un journal pour ameuter le peuple,please cela ne passera pas.VoUs etes un violeur et un danger pour la la Societe un point tout court.
le président est trop placé pour statuer sur ton cas, ne faites pas de vos journaux des instruments de pression, vous etes un prédteurs sexuels comme tout ceux qui vous défendent et on ne devez meme pas vous transferer et vous loger a la meme enseigne que le voleur de poulet parceque vous etes pire que lui et autre chose sachez que Diadji Ndiaye est autonome et n’attent rien de personne donc purge ta peine dignement et colle nous la paix
je n’ai jamais posté de commentaire, seulement vous ne voulez entendre que ce que vous voulez entendre