XALIMANEWS-Face aux déclarations tous azimuts de la candidature de Macky Sall pour l’élection présidentielle de 2024, favorisées par l’interview accordée par le chef de l’État au magazine New York Times, des voix se sont élevées.
Les récentes sorties des affidés du président Macky Sall, légitimant un troisième mandat, sont favorisées par l’interview du chef d’Etat, accordée à New York Times. Dans celle ci, l’occupant du Palais sis à l’avenue Roume, declarait, « Il n’y avait pas d’obstacles juridiques à ma candidature. » Selon le directeur de publication du journal Rewmi Quotidien, « les patisans du chef de l’État ne font qu’accélérer la cadence. » De son côté, l’analyste politique Assane Samb joint par Sud FM, y va de son commentaire : « Apparemment, il y’a beaucoup de pressions, de part et d’autre. On sait pas si il y’en a sur le plan onternational, mais au niveau interne, beaucoup de franges de son parti, de son entourage, le poussent effectivement à se présenter, et veritablement, je pense que le president est dans l’hésitation. Il est toujours dans l’hésitation pour des raisons raisons évidentes. » A-il lâché, avant de préciser en prenant certains exemples. « Vu ce qui s’est passé au Burkina, en Cote d’Ivoire, en Guinée et dans la sous région. Et au regard de ses responsabilités au niveau de l’Union Africaine, où il y’aura des actes à poser et pour l’histoire. Au regard également, qu’il y’a des risques graves à l’ordre public. Au vu de tout cela, le président hésite à mon avis à se presenter, malgré les pressions énormes car il y’a des lobbies, des gens qui pensent à leurs intérêts qui le poussent à se presenter. »
Le New York Times est un quotidien. Je viens de découvrir votre publication et vous souhaite BON VENT