L’internationalisation du combat pour la libération de Karim Wade a été matérialisée ce samedi à Paris.
L’Organisation des Travailleurs et étudiants sénégalais de France (Otesf), en partenariat avec Amnesty international, la Ligue sénégalaise des droits de l’homme (Lsdh), la Rencontre africaine des droits de l’homme (Raddho) et la Fédération internationale Des droits de l’homme (Fidh), a organisé une conférence sur le thème: “L’avis du Groupe de Travail sur la Détention Arbitraire des Nations Unies dans l’affaire Karim Wade: Quelles incidences juridiques”
A cette occasion, Mamadou Diop Decroix, coordonnateur du Front patriotique pour la défense de la République (Fpdr), a vertement critiqué le président de la République du Sénégal, Macky Sall qui séjourne actuellement à Ouagadougou.
“Macky va au Burkina pour promouvoir le dialogue entre Burkinabé alors qu’au Sénégal, il n’y a pas de dialogue. Sous Macky Sall, l’opposition n’a qu’un seul droit, c’est le droit d’aller en prison. Nous passons notre temps entre les prisons, les tribunaux et les commissariats de police depuis l’arrivée de Macky au pouvoir. Nous nous battrons jusqu’à la victoire finale. Nous sommes prêts à tous les sacrifices nous ne le faisons pas pour Karim, nous le faisons pour le peuple sénégalais“, a déclaré le coordonnateur du Front de l’opposition.
senego.com
Dialoguer sur quoi? Que le gouvernement gouverne et que l’opposition s’oppose! Où est le problème?
Nos opposants daal, moy lolou!
D’ailleurs, je rappelle, en ma qualité de citoyen et de manière succincte, ce que j’attends d’un parti d’opposition. Un parti, même d’opposition, devrait se distinguer par une orientation idéologique (à partir de laquelle se forme sa vision de la société, son projet de société et de la gestion de la vie nationale), un programme général et/ou un programme de gouvernement. Le programme reflète le projet de société en ceci qu’il fixe ou présente les étapes et les actes qui conduiraient vers une société meilleure. Le programme fixe les priorités du Parti dans divers domaines de la vie nationale, présente les problèmes à résoudre, de même que le mécanisme et les moyens de leur résolution.
En démocratie, l’opposition critique, contrôle et propose. L’un des moyens privilégiés de son action de contrôle est la critique de l’action et des visions gouvernementales. L’opposition, étant donné qu’elle aspire au pouvoir, doit élaborer et diffuser ses propositions dans chacun des domaines de la vie nationale.
L’opposition a aussi le devoir de respecter les lois de la République, la recherche du pouvoir ne pouvant s’effectuer que dans le strict respect de la loi ; le devoir de contribuer à l’élévation du débat public en fournissant à l’opinion publique les informations et thèses contradictoires ; le devoir de se préparer à assumer le pouvoir auquel elle aspire à travers la formulation et l’élaboration de propositions alternatives à celles du pouvoir
Aussi, faut-il redéfinir ou rappeler le rôle de l’opposition politique dans la démocratie multipartite; il s’agit au-delà de la conquête du pouvoir d’Etat, de créer des contre-pouvoirs ou des garde-fous en mesure de porter un jugement critique sur l’action des tenants du pouvoir afin que le débat né de la confrontation des propositions émanant d’entités multiples puissent aboutir à bâtir le meilleur ou choisir les meilleures options possibles sur toutes les questions et secteurs existants pour le bien-être des populations. Il s’agit de se positionner en véritable force de propositions pertinentes, révolutionnaires et visionnaires
Mais que nenni! Il est plutôt donné de constater que cette opposition sénégalaise n’a jamais formule? ou énoncé? une seule fois une proposition programmatique de fond sur quelque question. Que ce soit la question de l’éducation, des infrastructures, de l’agriculture, de la pêche, de l’enseignement supérieur, de la formation, de l’artisanat…
Nos chers opposants ne sont d’accord que sur une chose : « Macky doit partir ». On leur demande : « Pourquoi ? » Ils répondent : « C’est comme ça, il doit partir. »
Demandez à nos chers opposants ce qu’ils proposent aux sénégalais. Ils vous diront : « Qu’ils partent d’abord ! On verra après. »
diop decoix tu es vraiment en retard denga khewwii .on parle d’ici daider unpays voisin quiest menacer par desmilitaires qui ont pris le pouvoirpar la force.toi tu nous parle de dialoguer.dialoguer sur quoi la liberation di voleur vraiment tu es ridicule. kholal sa bop amoulo khorom quenn falleee woula meme au sein de ta formation mono faa dogal dara touss nothing va au diable tu nous pomme de l’air
CES OPPOSANTS,ANCIENS DEPRADATEURS NOUS CASSENT LES TYMPANS.
Qu’ils s’opposent.Et que le pouvoir gouverne.
LE PEUPLE se déterminera le moment venu…
Et AVEC LA CARTE D’ELECTEUR COMME SEULE ARME,contrairement à ce qui se passe au BURKINA FASSO où ce dialogue est indispensable pour éviter le chaos.
Je suis apolitique mais je pense qu’on ne Dialogue pas avec des idiots de voleurs qui ne respectent pas les valeurs de la république et qui prennent les sénégalais pour des demeurer. Wassalam
Au lieu supporter l initiative ,ils se font remarquer pour la salir.
Si c etait Wade,alors ils allaient se preparer a nous fatiguer avec le succes diplomatique jamais realiser du Cap au Caire.
Decroix et compagnie ont joue avec le cas Karim Wade et uniquement ce cas.Ils n ont pas ete suivi et la ils sont perte de vitesse.
Ils peuvent s inspirer des assises nationales pour être au moins en phase avec les populations .