Deux députées, membres de la coalition Benno bokk yaakaar (Bby), ont donné une piètre image du parlementaire en se bagarrant lors d’une cérémonie religieuse à Touba Mosquée. Qui plus est, était organisé en l’honneur de Serigne Saliou Mbacké.
Il n’y a pas eu que la lecture du Saint coran et des chants de xassaïdes lors de la traditionnelle cérémonie annuelle de thiant que Moustapha Cissé Lô organise à l’honneur de Serigne Saliou Mbacké. Cette fois-ci, l’événement, qui a eu lieu samedi dernier, s’est transformé en une scène insolite. Deux députées de la majorité se sont tristement distinguées : Mame Khary Anta Mbacké de l’Alliance pour la République (Apr) et Amy Cheikh Yaba Diop de l’Alliance des forces de progrès (Afp) en sont venues aux mains après avoir échangé des propos aigres-doux. Ces parlementaires qui ne se piffent pas auraient, d’après certaines indiscrétions, débuté les hostilités dès vendredi à l’Hémicycle. Cet incident n’a pas empêché la cérémonie de se dérouler normalement. Si Moustapha Cissé Lô a préféré ne pas réagir sur cet incident, cela n’a pas été le cas pour son collègue Abdou Lahat Seck Sadaga qui a tenu à dire qu’«il (incident) ne peut pas remettre en cause (la cérémonie) et qu’il n’y a pas de quoi fouetter un chat». Une idée que ne partage pas Aïda Gaye. L’ex-parlementaire, militante du Parti démocratique sénégalais estime que les deux élues «font honte». «La femme sénégalaise ne mérite pas cette image qu’on lui donne. Elle ne mérite pas cela surtout au moment où elle fait son entrée en force à l’Assemblée nationale», estime Mme Gaye. A noter que Mame Khary Mbacké est la fille du regretté Serigne Moustapha Bassirou Mbacké et Amy Cheikh Yaba Diop est la fille de l’ancien ministre de l’hydraulique Samba Yéla Diop. Elles sont toutes les deux épouses de marabouts Mbacké-Mbacké.
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Mitri a 15 ans et vit dans un village au Sénégal. Comme tous les jeunes de son âge, il joue au foot en rêvant du Barça et de Chelsea. Lorsqu’un agent recruteur le repère, Mitri croit en sa chance. Mais pour partir à l’assaut des grands clubs européens, il faut payer. La famille se cotise et s’endette pour l’aider. Une fois à Paris, tout s’écroule : Mitri se retrouve abandonné sans un sou en poche, et ne peut imaginer affronter la honte du retour au village. Une odyssée faite de débrouilles commence alors. Mais son rêve de foot le rattrapera au coin d’une rencontre.
http://www.youtube.com/watch?v=4d6nn-L2CVI
Les femmes sont nombreuses à l’assemblée à cause d’une loi qui déshonore la démocratie sénégalaise. Nous n’avons encore rien vu.
Le khessal fait des ravages.
Ces dames ont raison a quoi d’autres peuvent elles servir: battez vous, c’est bien