XALIMANEWS-Le journaliste et patron Dakar Matin, à peine 48 heures après sa libération, s’est à nouveau exprimé de manière controversée sur les réseaux sociaux. Pape Alé Niang, visiblement frustré par la dissolution du parti politique Pastef et l’incarcération de ses dirigeants, n’a pas hésité à critiquer ouvertement le président Macky Sall et son gouvernement.
« Internet coupé, parti de l’opposition dissous, son chef emprisonné, les autres partis de l’opposition empêchés de se réunir dans leurs sièges occupés par des gendarmes, des libertés bafouées, des journalistes et activistes embastillés, des centaines d’opposants en prison. Puéril. 63 ans après l’algarade de Père Léo faite au PAI de Père Majhmout, c’est un jeune président né après nos glorieuses indépendances qui dissout un parti politique faisant toucher à notre pays le fond. Après tout ça, qui pourrait douter de la bonne santé de notre démocratie ? « , se demande le journaliste.
« Même au Niger, au Burkina Faso, au Mali et en Guinée où des militaires ont pris le pouvoir, aucun parti n’a été dissous et les responsables se réunissent librement dans leurs permanences. Ce qui n’est plus possible dans ce berceau de la démocratie que fut le Sénégal ! Quand on se croit dans la vérité et qu’on est obligé de faire dans la propagande ou de devoir toujours se justifier, c’est parce qu’on est peu fier de ce qu’on fait. Mais comme le ridicule ne tue plus…. DEMOCRATIE EN BERNE », a ajouté Pape Alé Niang sur Twitter.
Tout le baratin de ce mandikat national Pape Alé Niang c’est de la diversion !! Appelle encore à l’insurrection pour soutenir ton Yolom Guénio sodomiseur et ce sera Re-Rebeuss….
Peine perdue pour avoir qu’ils detiennent le monopole de la vérité et les clefs du paradis.Nous n’abandonnons pas,nous gagnons ou nous mourons,ce n’est donc pas fini.
Ils devront se battre contre la prochaine génération et les générations d’après. Quant aux Senegalais,ils auraient vécu plus longtemps que ne vivront ceux-là
Eh bien ils payeront ce délit jusqu’à la dernière seconde de leur agonie et pourquoi pas jusque dans leur tombe