En référence aux démêlés judiciaires de DSK, le «New York Post» affirme : «Les criminels mesquins qui commettent des crimes passionnels… Ils ont un point en commun : ce sont des étrangers». Et le journal de tirer à boulets rouges sur «les dirigeants étrangers» et «les diplomates» qui, selon lui, n’ont «aucun respect pour les valeurs américaines» et ont, de fait, corrompu la capitale économique des Etats-Unis.
DSK dans les traces de Polanski et Schwarzenegger
Dans une autre référence, à Roman Polanskicette fois, le tabloïd estime que les Français préféreraient «manger de la moutarde plutôt que de forcer un mécréant à faire face à la justice américaine». Une photo du réalisateur franco-polonais, qui avait fui les Etats-Unis début 1978 avant la décision du juge pour des accusations de viol, coiffe d’ailleurs la chronique.
Le très sérieux «New York Times» fait de son côté un parallèle entre l’affaire DSK et celle d’Arnold Schwarzenegger. La commentatrice Maureen Dowd rappelle en effet que l’ex-gouverneur de la Californie est un «autre célèbre Européen présentant des dispositions perturbantes à l’agression sexuelle», qui a révélé avoir eu un enfant avec une employée de maison.
LeParisien.fr