Du « deal » ou de la peur: Pourquoi les autorités Sénégalaises ne réagissent pas face aux provocations Gambiennes.

« Un contrat de bois « Sénégalais », d’une durée indéterminée, entre les entreprises Gambiennes, Chinoises et Indiennes »
Les autorités Sénégalaises ont toujours croisés les bras et regarder les yeux grandement ouverts sur les agissements néfastes des autorités Gambiennes vis-à-vis des populations Sénégalaises limitrophes des frontières Sud des deux pays. Nous allons commencer tout d’abord par ce qui s’est passé entre le Sénégal et l’Iran. Tout le monde savait qu’il y avait un trafic intense d‘armes sophistiquées entre l’Iran et la Gambie et ses armes finissaient entre les mains des rebelles. Pourtant le Sénégal, au lieu de rompre avec le pays qui fournissait ces armes aux rebelles, qui est la Gambie, mais c’est avec l’Iran que le Sénégal a rompu. Tous les véhicules braqués par des soi-disant rebelles sont retrouvés en Gambie en pièces détachées. Certaines attaques armées sont attribuées à des soldats Gambiens en civil. Maintenant c’est le bois Sénégalais, que les gambiens délivrent à des Chinois et des Indiens, qui leurs donnent en échange des armes et un peu d’argent. De ce fait, nous savons que les armes sont cédées aux rebelles qui leurs laissent la lassitude de couper le bois sans être inquiétés. Seulement nos gardes forestiers mal équipés tombent souvent sur ces malfaiteurs. Etonnant aussi de ne pas entendre la voix du ministre de l’écologie, qui le jour où Abdou Diouf, l’ancien Président du Sénégal, avait menacé de bruler la forêt pour que l’armée Sénégalaise puisse faire face aux rebelles, il avait tonné sur plusieurs radios pour défendre la nature, mais aujourd’hui, pourquoi il ne réagit pas. Parce qu’il est pour la première fois nommé ministre et gardé son poste! Tous les Sénégalais se posent la question de ne l’avoir entendu. Le plus étonnant ; ce bois est embarqué à partir du port Gambien. C’est le moment ou jamais pour Macky Sal de prouver aux Sénégalais, qu’il a été élu pour réparer certaines erreurs commises dans le passé et ramener les populations frontalières à la confiance. Et défendre la cause nationale (
Frédéric Diallo Xalimasn.com