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Laurent Gbagbo a refusé de quitter le pouvoir. Il l’a fait savoir aux trois émissaires de la Cedeao et celui de l’UA. Il demande une réévaluation du scrutin. Ce qu’ a rejeté son rival Alassane Ouattara qui a affirmé ce lundi soir devant la presse, que son adversaire cherche à gagner du temps.
La balle est dans le camp de la Cedeao qui doit intervenir militaireemnt pour déloger le président sortant
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22h35 : (de notre correspondant à Abidjan, Baudelaire Mieu) Les médiateurs ont terminé leur second entretien de la journée avec Gbagbo, qui est resté ferme sur sa position. C’est donc un nouvel échec de la médiation. Odinga, Yayi, Pires et Koroma sont repartis à Abuja pour rendre compte de leur mission au président en exercice de la Cedeao, Goodluck Jonathan. Les trois chefs d’État ouest-africains ont néanmoins promis de revenir à Abidjan pour organiser une rencontre bilatérale entre Gbagbo et Ouattara. Mais il faudra faire vite : de source diplomatique, on apprend que 9 pays sur les 15 que compte la Cedeao sont prêts à envoyer des troupes pour faire céder le camp Gbagbo.
21h30 : (de notre correspondant à Abidjan, Baudelaire Mieu) Les médiateurs sont sortis de leur entretien avec Ouattara et sont repartis voir Gbagbo au palais présidentiel. Les pourpalers ont été pour l’instant peu fructueux. Lors du premier entretien avec le président sortant (qui a duré deux heures), celui-ci a réaffirmé qu’il ne quitterait pas le pouvoir. Il a réitéré sa proposition de mettre sur place un comité d’évaluation des élections comme préalable à une éventuelle discussion sur son départ.
Il accuse également les Forces nouvelles de vouloir se réarmer depuis l’hôtel du Golf. Raila Odinga a quant à lui proposé une rencontre bilatérale entre Gbagbo et Ouattara pour qu’ils se parlent. Mais ce dernier a refusé, posant trois conditions à une telle rencontre. Selon lui, Gbagbo doit accepter le résultat des urnes, le reconnaître président et lever le blocus terrestre de l’hôtel du Golf. Guillaume Soro a, lui, jugé inacceptable que le mandat de la Cedeao soit « dévoyé » par les médiateurs. Pedro Pires s’est senti visé par ces propos et par ceux, similaires, de la presse pro-Ouattara, et a menacé de se retirer de la médiation, tout au moins de ne pas faire partie d’une autre mission de ce genre si la voie du dialogue n’était pas privilégiée pour sortir de la crise.
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Gbagbo ne demande pas.Iln’ est pas en pposition de demandeur.Il tient le pouvoir et pour l’ instant il le tient bien fort. Mais il propose un Comite d’ evaluation si cela peut aider le monde a voir la verite.
Celui qui demande c’ est Ouattara et ce qu’ il demande c’ est que Gbagbo quitte le pouvoir pour qu’ il le prenne.
oUATTAR dMNDEune chose maisGbagbo OFFRE ou PROPOSE autre chose..