XALIMA NEWS – Face à la presse hier, le Collectif des sortants de la Fastef, formation payante des promotions 2012 et 2013, exige du gouvernement le respect de ses engagements. A en croire le coordonnateur, Youba Coly, ils avaient suspendu leur mot d’ordre de grève de la faim le 7 janvier 2014 à la demande des collaborateurs du président de la République. Aussi, ce dernier, lors du conseil des ministres du 9 janvier 2014, avait pris « la ferme décision » d’affecter tous les diplômés de la Fastef. « En prenant cette décision courageuse, le président s’était appuyé sur les résultats des audits effectués dans le secteur de l’éducation et une déduction du nombre de professeurs à recruter en 2014 », a expliqué M. Coly qui déplore le fait qu’aujourd’hui 447 professeurs diplômés de toutes les disciplines confondues de la Fastef soient toujours en chômage. Le Collectif dit « ne pas comprendre l’origine de ce blocage » au moment où il y a un besoin réel dans le secteur de l’éducation. Par ailleurs, ces professeurs ont renouvelé leur confiance au chef de l’Etat et à son gouvernement à qui ils exhortent de trouver une solution définitive à leur situation.
Le Soleil
Il faudrait que le Sénégal forme autant de techniciens Agricoles, de mécaniciens réparateurs de machines agricoles, et d’ingénieurs Agronomes pour que dans quinze ans notre agriculture soit au niveau de celle du Maroc et de la Tunisie pour ne citer que ces deux pas Africains ! Des historiens, des sociologues, des géographes et des moniteurs de sport, notre pays en a assez pour le moment !