Au terme de 10 ans de gouvernance médiocre, Macky Sall a considérablement fragilisé les institutions, détruit les fondements de la République, appauvri les sénégalais et a totalement échoué à relever le plateau technique médical à un niveau acceptable pour permettre à nos compatriotes de bénéficier d’une offre de soins de proximité et de qualité.
Au Sénégal, le système de santé publique est devenu un gigantesque champ de ruines. La mort atroce de 11 bébés calcinés à Tivaouane est la conséquence d’un laxisme d’état inacceptable, intolérable et injustifiable. Au demeurant, cette tragédie inqualifiable, et innommable est une parfaite illustration d’une succession de décisions loufoques, hasardeuses, de manquements et de dysfonctionnements d’une extrême gravité qui affectent le système de santé.
C’est un fait : les hôpitaux publics sont de vrais mouroirs au Sénégal. Combien de sénégalais meurent régulièrement dans les hôpitaux et les couloirs des services de santé, faute d’argent, de soins et de prise en charge ? Combien de temps les hôpitaux publics continueront-ils de vomir des chaires humaines en charpie, broyées du fait de l’incompétence notoire du régime, d’un pilotage erratique du ministère de la santé et d’un quotidien où soignants et personnel (très mal rémunérés) ne cessent de courir après le temps, le manque criard de moyens et de matériels de base ? La prise en charge des patients est nulle et dramatique au Sénégal. Le concert de condoléances qui s’apparente au mur des « lamentations hypocrites » et les formules alambiquées « Plus jamais ça » ne ramèneront pas les 11 innocents parmi les siens.
L’accès à une offre de soins est un droit constitutionnel fondamental garanti à chaque citoyen. L’article 8 de la Constitution dispose que « la République du Sénégal garantit à tous les citoyens les libertés individuelles fondamentales, les droits économiques et sociaux et les droits collectifs, au rang desquels, le droit à la santé ». Par conséquent, Macky Sall et sa bande d’incompétents sont responsables de leurs propres turpitudes et doivent endosser leur part de responsabilité, dans la survenance de ce drame épouvantable qui suscite, une vive émotion et une vague d’indignation sans précèdent dans le pays. Ceux qui cherchent une explication divine ne doivent pas se tromper : la volonté divine n’y est pour rien dans la mort des 11 bébés à Tivaouane, un prétexte trop commode pour évacuer, d’un revers de main, la responsabilité de l’Etat, qui est entière. Ce sont des négligences et des manquements graves d’incompétents qui sont avant tout, à l’origine de ce drame. Tous les services de santé recevant du public doivent être dotés d’extincteurs en nombre suffisant, de détecteurs de fumée, d’un dispositif d’alarme fonctionnel et d’un plan d’évacuation.
Alors qu’il est incapable de doter les services de santé d’un plateau médical avec un niveau acceptable (il n’y a aucune ligne directrice pour une politique de santé publique digne de ce nom), Macky Sall, obnubilé par la conservation du pouvoir, préfère orienter le budget de l’état pour le financement de ses activités politiques plutôt que d’améliorer le niveau de vie et la santé des sénégalais. La preuve de l’irresponsabilité et de la folie d’un homme perdu, qui conduit le Sénégal au bord du précipice. Macky Sall est à lui seul, une calamité pour le Sénégal.
Seybani SOUGOU- e-mail : [email protected]
Au regard du système de santé et plus généralement de la gouvernance de Macky Sall, même le plus doué des génies fera échec. Le problème de ce pays c’est Macky himself, un autocrate qui n’a aucun sens des priorités et qui verse foncièrement dans ce qu’il sait faire de mieux, «la politique politichienne. »
La mal gouvernance du Macky met en avant des contre valeurs, en promouvant l’injustice, la partisannerie, en favorisant le clientélisme et la transhumance politique. Mais aussi en procédant à la politisation systémique et à la décrédibilisation des institutions. Sans occulter les détournements, la gabegie et la bamboula consacrés avec nos pauvres deniers publics. Last but not least, le bradage de nos ressources naturelles est opéré avec la plus grande insouciance par ce régime cynique.
Dans ces circonstances un patriote sincère se refuserait de participer à cette gouvernance criminelle. Celle-là qui en réalité dépouille le peuple de ses ressources, pour assouvir les seuls intérêts de l’élite dirigeante et de leurs patrons néo colons. Tout au contraire, combattre ce système est un devoir patriotique, à fortiori une mission d’essence divine.
Par ailleurs ce parvenu de Président, croit que tous les sénégalais sont obnubilés par une station de privilèges et de rentes, le plus souvent acquise sans mérite aucun. C’est pourquoi il a réussi à s’entourer de béni oui oui, qui pour la plupart ont fini d’entamer leur dignité et de saper leur crédibilité.
Heureusement que dans ce pays, il y’a des gens dignes, humbles, honnêtes, rassasiés qui mettent un point d’honneur à œuvrer sérieusement pour le seul profit de leur pays. Des patriotes qui ont réussi à reléguer au second plan leur égo, à oublier leur petite personne, pour promouvoir l’intérêt général. Il est encore très regrettable que la plupart de nos hommes politiques et des citoyens de ce pays n’appréhendent pas la servitude au sens patriotique de l’état. La vision nombrilique, partisane de la chose publique des dirigeants, favorise surtout les arrivistes, les opportunistes et aussi la subordination hiérarchique au sein de l’état. C’est ce qui explique en partie les contreperformances des politiques publiques.
Tchim Sougou ne se ridiculise plus avec ses stupides sougoueries… il montre maintenant son vrai visage de doméram ! Comme le gros mbamkhoukh paresseux Gouy M. Sagna, tu n’as pas honte de politiser de façon aussi inhumaine la mort accidentelle des 11 bébés à Tivaouane ! Pire, tout en sachant que c’est la responsabilité directe des agents en service ce jour-là à l’hôpital qui est engagée et non Macky ni Diouf Sarr ni aucun autre responsable de l’administration qui travaillaient tous à autre chose ce jour-là ! Mais comme tu es un doméram doublé d’un nafèkhe haineux et d’un doulkat malade, c’est à cause d’énergumènes comme toi que le sénégalais, l’africain, le noir en général ne reconnaîtra jamais sa responsabilité dans un drame dans lequel il est directement impliqué ! C’est toujours la faute de l’Autre, la faute au blanc, au chinois, au voisin, au toubab, au président, au ministre, à Dieu… Avec ta tronche de somalien condamné tu es l’incarnation de cette hypocrisie nègre… qu’on retrouvera à la prochaine sougouerie…