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Election Présidentielle 2019/Parrainage.(par Serigne Saliou Fall)

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Base de Référence : « Et ne mêlez pas le faux à la vérité. Ne cachez pas sciemment la vérité. » Extrait du Sain Coran Sourate 2 Verset 42.

1.2. Deuxième Partie : La démarche boiteuse conseillée au  Président de la République du Sénégal, puis empruntée par son Excellence Macky Sall.                                                                                                                                           1.2.1. Les écueils :

Des inquiétudes persistantes sont au cœur des conclusions d’un rapport final fourni à la suite d’une étude prospective au sujet des retombés négatives, adjacentes aux répercussions outre mesure. Lesquels états d’âme sont nées des dérives, engendrées par les contours du sillage emprunté par le Président  au mandat finissant et sans certitude de renouvellement par le peuple désabusé. Les auteurs dudit document sous notre coupe, ont été dans leur approche pragmatique, fidèles au contenu du cahier de charge commandité, édicté par un organisme ayant positon sur l’échiquier international  des Droits Humains. Ils mentionnent dans leurs conclusions et relèvent sans ambages un disfonctionnement futur de nos et coutumes traditionnels. Dans un énonce limpide, les signataires assermentés dans l’exercice de leur profession, ajoutent particulièrement comme recommandation issue de l’étude:                                                                                                            « Prenons en  garde. La remise en cause de nos valeurs  intrinsèques telles que, la dignité, la bonne mesure en toute chose, la pondération, que  nous, peuple du Sénégal,  portons avec fierté en bandoulière, seraient certes  entachées  dans un futur rapproché. Notre vécu quotidien perturbé, par cette mesure qu’est le parrainage citoyen collée  à l’élection présidentielle de 2O19 ». Des sénégalais de profil différent mais tout pétri de connaissance à la fois théorique et pratique dans le Management des ressources humaines, ont participé à cette étude. Beaucoup parmi les sénégalais (es) et la diaspora  ont répondu véhément aux questions qui circonscrivant en totalité les termes de référence de la dite étude environnementale, sociale et politico économique de nature anticipationnelle et de visée rationnelle.

Aux dires d’un expert de la place « Aucune disposition dans la loi ne permet de se prémunir contre les utilisations multiples  de parrainage ayant  déjà servi. Le parrain s’expose  à une utilisation abusive de sa signature. Il y a une insécurité du justiciable  de ses données  personnelles qui sont exposées .La démarche du parrainage est  tatillonne  et dangereuse. Elle  ajoute  de  nouvelles  contraintes  à celles déjà mis en place  rendant l’organisation des élections très compliquée. Le chemin  impose un nombre de signature donné en pourcentage d’électeurs, inscrits sur les fichiers nationaux  ou départementaux et non en valeur absolue. Ce qui constitue encore une usine à gaz irréaliste ».                                                                                                                    Dixit Bruno d’Erneville dans les colonnes d’un journal de la place. Rendre invalide juridiquement  la pièce  maitresse servant  de support d’exercice pratique  du parrainage citoyen  doit être le dénominateur commun de l’opposition sérieuse  dans toutes ses facettes.

Cette  vision collective et conjointe doit  avoir  comme pré requis  l’échange  d’idée, l’écoute  le regard introspectif sur les questions  et  réponses  idoines  auxquelles  s’adresse  l’enjeu  électoral  qu’est le parrinnage.Il est  de mauvais  gout, de surcroit  imposé au peuple démocrate du Sénégal. Que tout leader opposant et charismatique  quitte son pied d’estralle politique. Il doit se départir de leur subjectivité et de leur « moi personnel».Il doit de concert  s’engager dans une commune lutte juridique internationale, de très haute sphère. Laquelle saisie de juridiction internationale,  défiant la faisabilité  et même l’opérationnalité du parrainage. La démarche sans respect d’une valeur démocratique est élaborée par une assemblée en manque d’audience crédible  et entretenue par une justice nationale décriée.

Comprenons-nous bien à travers ces lignes rédigées dans un objectif précis :                                         Le départ de Macky sall du palais présidentiel dès la fermeture des urnes le 24 février 2O19.                                             Dans ce projet sociétal commun à l’opposition politique « sérieuse », il ne s’agit point de renouveler les recours juridiques du parrainage qui au niveau national n’ont rien donné.  C’est toutefois tout un mérite pour l’opposition dans la bataille enclenchée sur ce sujet. Réorientons la stratégie juridique d’attaque et de lutte frontale. Laissons de côté les fondamentaux arbitraires de cette loi votée à l’assemblée .Elle a  fait naitre la direction empruntée par le Président qu’il juge bonne à suivre avec des pas téléguidés. Ce dernier ne déviera jamais. Pour le maitre des locaux  de la Présidence, le parrainage est le fruit de l’œuvre  d’un conseiller intellectuel- expert juridique -diplômé des facultés de droit et universitaire de souche. La démarche entretue par la troupe politique étriquée mène au   renouvellement de son mandat lui confie ses proches. Macky Sall y tient comme la prunelle de ses yeux et y croie comme  parole d’évangile. La récente danse improvisée est une note musicale discordante  écrite à l’aide de sa propre portée. Laissons Macky SALL sur la trajectoire définie dans sa gamme musicale. Refusons de nous distraire.

Par contre attaquons juridiquement le flanc vulnérable du véhicule d’investissement sur lequel il a investi tous les fonds glanés sur le dos du peuple. Je veux parler du support analytique confectionné à des fins de fiche d’électeurs. C’est justement cette pièce dérivée du parrainage qu’il faut attaquer juridiquement vers d’autres instances juridiques internationales. Elle présente des pointes rugueuses  sur un aspect totalement encore non exploitée donc vierge. Les juristes avisés savent d’avance sur quoi et sur quelle matière je me penche, arguments juridique en poche. Dés lors, faisons appel à des avocats d’envergure internationale dans une sphère internationale. Lesquels hommes de droit  qui ont marqué de leur notoriété le sujet, objet de contentieux pré-électoral seront d’un grand  apport.                                                                                                                                                                            Au juste sur quoi se porte le contentieux  ente  l’opposition et le Président Macky Sall dans ce contexte pré-électoral ?                                                                                                                       Réponse à l’interrogation : le véhicule même servant d’application pratique au parrainage qu’est la fiche d’électeurs.                                                                                                                                Elle  est juridiquement non valide aux dires d’une certaine audience.                                                                                                                                                           Nous laisserons les juristes prouver ce point de vue en se penchant sur ce front faible du parrainage.

D’emblée, on nous renseigne au niveau international  que  dans la conception voire la confection de  la fiche en question  est contraire  aux lois internationales soutenant  la protection des données personnelles.

Le Sénégal  en est signataire. Plus de 50 pays dans le monde ont déjà signé cette convention – le seul traité international dans ce domaine – qui énonce des principes essentiels sur la protection des données à caractère personnel.

La convention a été ratifiée par les 47 États membres du Conseil de l’Europe, ainsi que par l’Île Maurice, le Sénégal, l’Uruguay et la Tunisie. D’autres pays, comme l’Argentine, le Burkina Faso, le Cap vert, le Maroc et le Mexique, ont été invités à y adhérer. De nombreux autres encore participent, en tant qu’États observateurs, aux travaux du Comité de la Convention (l’Australie, le Canada, le Chili, la Corée, les États-Unis, le Ghana, l’Indonésie, Israël, le Japon et la Nouvelle-Zélande).

La « Convention 108 » fait actuellement l’objet d’une mise à jour afin d’inclure les atteintes à la vie privée découlant de l’utilisation des nouvelles technologies de l’information et de la communication, de renforcer son mécanisme de suivi et de veiller à ce qu’elle soit compatible avec divers cadres normatifs du monde entier, y compris le cadre juridique de l’UE. Source https://www.coe.int/fr/web/portal/28-january-data-protection-day.

Informer-Eduquer-Communiquer »IEC » au peuple votant, sur les tenants et aboutissements des dites données est une voie pédagogique en vue d’édifier le citoyen sur les risque de dérapage que véhicule le véhicule du  parrainage à emprunter: La fiche d’électeur.                             L’’importance certes capitale, compte tenu du respect des règles juridiques internationales liées à la protection des bases de données personnelles. Il sera question de  vider ce contentieux pré-électoral sur cette problématique avant toute autre invite. La destruction par arme juridique en main du pivot central du parrainage est la seule bataille qui vaille d’être engagée par l’opposition consciencieuse.  Abattu juridiquement dans son application, le parrainage qui vous trouble ne peut que  passer par la non validité du support analytique. Ce contentieux préélectoral doit être résolu par une juridiction autre que celle qui nous abrite. De l’avis de l’opinion publique, notre justice nationale  est prêtée à se signaler non compétente sur des sujets d’intérêt national. Pour certains les magistrats ne sont pas choisis au hasard ?

Au Sénégal le règlement général de la protection des données est sous la direction d’une transhumante politique sans pré requis d’atouts d’exercice  juridique solide ou confirmé à l’instar de magistrat haut de gamme et de référence, que compte le Sénégal. Elle n’est pas experte dans le domaine de la protection des bases de données personnelles. Cette fonction lui a été  confiée à tort, au détriment des vrais ayant droits comme les juristes de haute pratique. C’est une constation générale. Elle est dépourvue de toute connaissance en Droit  notamment dans le domaine, où elle trône par complicité politique. Avouons comme d’autres observateurs de la place, qu’elle est spécifiquement  inexperte  en la matière, une néophyte en la question de protection de bases de données personnelles. Elle  a marqué l’actualité dès sa nomination à ce poste stratégique avec l’honnête de constater que même le sigle de ce service lui est étranger. Elle  s’est  nouvellement reconvertie à l’enseigne de Macky Sall par appétit  de gain et avec un passé nébuleux sur la gestion  déplorable des cuillères. Lesquelles  étaient évaluées au  cout déviant  la réalité  sur  le marché  .Tout ce choix en son profil  déplorable en sa personne est bien orientée. C’est tout simplement aux conclusions des politicologues «  pour préparer  le  coup  d’état électoral par le parrainage. L’usage des bases de données personnelles aidant ».

Toutefois, le peuple debout reste vigilant et difficile à leurrer ou à manipuler. Nous lutterons  sur tous les fronts juridiques et autres avec des armes de taille.                                                                                                                                                Dans ce cas d’espace le savoir, la connaissance, la pratique et l’exercice  du  droit International en ligne de mire, pour engager la bataille pré électorale par la non validité juridique de l’instrument de mesure sous l’intitulé fiche d’électeurs.

A suivre.

 

Serigne Saliou Fall

Consultant international en Management de projet -Expert en Finance.

Candidat  indépendant à la Présidentielle de 2O19.

Président du Mouvement Sociopolitique dénommé :

Convergence Citoyenne pour la Démocratie -le Développement Durable et la Paix au Sénégal »2C3DPS »

Email : [email protected]

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

2 Commentaires

  1. une approche pertinente venant d’une personne de qualités hors paires.
    le parrainage devrait etre le soucis de toute la nation. Car ce n’est qu’un systeme politicien pour duper la population. N’oublions pas que c’était pour les meme raisons que fussent la journee du 23 juin (TOUCHE PAS A MA CONSTITUTION).
    Ce regime actuel est entrain de tourner les choses en leur faveur fondees sur du mensonge, de la corruption, et des magouilles.
    Nul ne peut aller en guerre, pensant la gagner, alors que tu n’es meme pas capable de faire face loyalement avec tes adversaires. Ce fait s’appelle de la tricherie.
    Autre chose plus malheureux pour le SENEGAL
    La majeure partie des personnalités qui devraient, de par leurs propos et/ou faits essayer d’apporter leur contributions pour la bonne gouvernance, sont hyper corrompues.
    Quand je vois un homme comme Youssou ndour qui, pour feter les 15ans de TFM a KAOLACK transforme la manifestation en meeting en faveur de APR. Alors qu’il devrait etre aupres de cette population qui la fait ce qu’il est devenu. C’est nos 1000fr, 5000fr, 10.000fr ……. qui l’ont fait milliardaire.
    DE QUI SE MOCQUE T-ON ?
    J’ai pitie pour mon pays.

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