Chers compatriotes, MR Abdoulaye Balde, actuel maire de Ziguinchor, député à l’assemblée nationale et président de l’union des centristes du Sénégal(UCS) s’est déclaré candidat aux prochaines élections présidentielles du Sénégal.
Par sa dimension intellectuelle et son parcours professionnel dans les hautes sphères de l’Etat, et avec toute la modestie et le sens de l’Etat qui le caractérisent, notre pays vient enfin d’avoir un candidat idéal pour assumer pleinement la fonction de président de la république et conduire à bien les destinées du Sénégal, notre pays.
Dr Balde n’a brûlé aucune étape dans sa connaissance profonde de notre administration publique et de notre État.
Il est le seul à avoir occupé d’éminentes fonctions administratives au sommet de l’Etat et y avoir connu une courbe de progression arithmétique, géométrique et hiérarchique. Il a été, tour à tour, commissaire de police, chargé de mission à la Présidence de la République, Inspecteur Général d’Etat, Secrétaire général de la présidence de la République, Ministre d’Etat, Ministre des Forces Armées et enfin Ministre d’Etat, Ministre des mines de l’industrie, de l’agro-industrie et des PME, député à l’assemblée nationale et maire de la prestigieuse ville de Ziguinchor.
Pour rappel c’est à l’âge de 25 ans qu’il a été déniché par le président Abdou Diouf qui en a fait un chargé de missions spécial à la présidence de la République. Divers témoignages indiquent aux sénégalais qu’il y a travaillé de manière consciencieuse et a gagné l’estime de ses supérieurs et de ceux qui l’entouraient. Les rapports sur la sécurité nationale qu’il a produits au nom de la république lui ont valu l’estime et les promotions diverses au sein de la présidence de la République.
Le président Diouf était à la recherche d’un commissaire de police ayant un diplôme de troisième cycle universitaire et il a porté son choix sur son profil sur une liste de candidats méritants. En retour il eut agréablement recours à ses talents de brillant technocrate. Dans cette même dynamique, le président Wade l’a confirmé comme Top talent en lui confiant plusieurs postes de responsabilité ultra- stratégiques et hypersensibles. Le président Macky Sall à grillé tous les canaux pour décrocher, lui aussi le talentueux Abdoulaye Balde dont il a exploité le talent avant d’en faire un adversaire politique de premier plan. Après avoir voulu forcer Dr Abdoulaye Balde à obéir à ses ordres sous la contrainte de l’amitié personnelle et de la proximité familiale qui les lient, il a décidé d’instrumentaliser la justice ainsi que d’autres canaux du pouvoir pour l’accuser d’enrichissement illicite et chercher à le traîner en prison. Convocations intempestives, harcèlement psychologique à répétition, convocation tous azimuts dans les locaux de la police nationale, interdiction de sortie du territoire national, confiscation de nombreux biens appartenant à son épouse, tout a été tenté par le pouvoir en place pour acheter le silence et la soumission de cet homme au pouvoir de Macky Sall et de l’APR.
Ils ont oublié, ces gens du régime, qu’ils ne peuvent pas chanter tout le monde et qu’il y’a des incorruptibles au Sénégal au nombre desquels figure, en bonne place, le Dr Abdoulaye Balde. Ce dernier, sur le plan de la formation et de la recherche, possède un lourd bagage intellectuel qui parle de lui-même. Dr Balde a à son actif plusieurs publications scientifiques dans les revues universitaires et internationales. Pluridisciplinaire, il est l’auteur de nombreuses publications d’articles de droit dont plusieurs fascicules en sciences juridiques mais aussi en finances.
Chercheur chevronné, il a réalisé des travaux scientifiques de recherches en droit et en finances. Sa thèse de Doctorat d’Etat avec un contenu éclairant sur l’administration des finances Publiques, a été publiée aux presses universitaires du septentrion. Son brevet en administration publique de la prestigieuse École Nationale d’administration (ENA) de France l’on préparé à un tel succès. Et son statut de commissaire de police, ses deux diplômes d’études approfondies(DEA) générales et supérieures, sa réussite au certificat de la sélecte École de diplomatie de Malaisie ect…tous ces faits de compétences attitrées font de Baldé, en Casamance et sur l’ensemble du territoire national, un brillant candidat qui a une bonne longueur d’avance sur les autres prétendants au poste de président de la république.
Le Sénégal que cet homme a servi avec loyauté et qu’il continue de servir dans la dignité et la transparence la plus totale saura saisir l’opportunité qui lui est offerte aujourd’hui pour enfin se doter d’un président de la république libre et responsable dont l’ambition pour son pays égale le partage de la richesse nationale et de la prospérité entre tous les citoyens.
I.S Diafoune
Responsable UCS/Amériques.
dites a Baldé de nous présenter sa vision et son programme économique et sociétal au moins sur une fascicule.
c’est fini maintenant les époques où les candidats se muent comme des sérigne et se sont leurs second qui sortent dans les médias pour cacher l’incompétence de leurs chef. le cas de macky Sall ne nous arrivera pas une seconde fois
Merci Mr Diedhiou je pense la même chose
Sachez, dans tous les pays du monde, les programmes des candidats sont imprimés et distribués par centaines de milliers, voire par millions, au plus tôt trois mois avant le jour « J » ! Quelques exemplaires de ce programme peuvent être distribués ici et là à des personnalités,mais seulement dans les grandes lignes, jamais dans le détail . Patience !
Certains éléments ont été embellis et ne correspondent pas du tout à la réalité même si je suis d’accord avec vous qu’Abdoulaye Badé a beaucoup de mérite et qu’il a gravi tous les échelons de la haute administration qu’il connaît bien.
C’est faux de de dire que « c’est à l’âge de 25 ans qu’il a été déniché par le président Abdou Diouf qui en a fait un chargé de missions spécial à la présidence de la République ». En effet, Baldé est sorti de l’École Nationale de Police en 1989 – 1990. Il a servi d’abord à la DIC à ses premières années avant d’intégrer, en 1992, le Bureau d’analyse et d’orientation de la Présidence (c’est eux qui compilent et synthétisent les informations remontées à la Présidence par les services de renseignement). Il avait 28 ans et non 25 ans. De plus, le PR n’a rien à faire dans le choix des commissaires de police affectés au Bureau d’analyse et d’orientation. C’est du ressort de la hiérarchie de police. Donc, c’est trop dire que le « PR Abdou Diouf l’a déniché » puis qu’étant « à la recherche d’un commissaire de police ayant un diplôme de troisième cycle universitaire ». Faut-il le rappeler, le fait d’avoir un diplôme de 3e cycle chez les commissaires de police n’était pas une chose extraordinaire, car la plupart des commissaires de police issus du concours direct (universitaire) en étaient titulaires.
Vous avez omis de souligner que Baldé menait une carrière tranquille sans relief jusqu’à l’arrivée de Abdoulaye Wade à la présidence avec Idrissa Seck comme ME, Directeur de Cabinet. Son envol professionnel date de cette époque et Idrissa Seck y a été pour beaucoup ! En effet, en sa qualité de Commissaire au Bureau d’analyse et d’orientation, Baldé a joué un rôle important dans la préparation des premières élections législatives en fournissant, régulièrement, à l’état-major politique du PDS dirigé par Idrissa Seck, de précieuses informations sur la situation politique ainsi que sur certains hommes et femmes politiques. Cela a fini par créer une proximité entre les 2 hommes et à tisser des relations de confiance entre eux. La récompense ne tarda pas après la défénestration de feu Ousmane Masseck Ndiaye qu’il remplaça comme Secrétaire général de la Présidence. Aussi, il importe de noter que c’est le Président Wade qui le nomma Inspecteur général d’État (IGE) par tour extérieur (sans concours) pour lui conférer l’avantage d’un certain nombre de garanties statutaires.
Vous avez omis, également, de mentionner ses responsabilités et les errements de gestion commis en sa qualité de Directeur exécutif de l’Agence nationale de l’Organisation de la Conférence Islamique (ANOCI). Une des affaires nébuleuses dans laquelle son nom était cité est celle de la location d’un bateau, à plus de 8 milliards de francs CFA, pour servir de logements d’appoint lors de la conférence de l’OCI à Dakar.
Tout ce que je viens dire, ce sont des faits. La stricte vérité. Sur ce que je pense de sa candidature, quelque chose à l’intérieur de moi me dit qu’il risque rallier Macky Sall et de lui servir de supplétif advenant un second tour. Je ne le prendrai au sérieux que s’il prend l’engagement public de ne jamais rallier Macky Sall et de mener sa candidature jusqu’à son terme et au meilleur de lui-même (en trouvant les 65 000 parrainages requis). En effet, Baldé sait que déclarer sa candidature serait plus avantageuse que de rallier maintenant, avec armes et bagages, le camp présidentiel. Cela lui donnerait plus de poids et pourrait lui permettre d’arracher plus de « postes » que celui du simple Président du CESE lorsqu’il aura à finaliser ses négociations avec Macky Sall.
Ibrahima Sadikh NDour
bravo! ton argumentaire est recevable,
c’est fini l’époque où les sénégalais sont considéré comme des mouton de tabaski
Candidat idéal du centre verbo-tonal de Gueule Tapée. Ye cherai un candjidat et vous yaurez des moutions de tabaski à 25.000fr
Vous la, il semble que Balde a déjoué votre stratégie. Vous avez raté votre calcul, vous qui attendez que Balde rejoigne APR pour que vous sautiez sur ses militants en vue de le discréditer. Maintenant qu’il est candidat vous dites autres choses.
Les sénégalais ne sont pas dupes, ils savent discerner.
Personne ne peux arrêter le président Balde.
Balde est bien parti. Les sénégalais l’apprecient tres bien. Il est courtois, ne fait pas de bruit et surtout il est présidentiable. Continuez a le dénigrer, lui travail et n’a pas le temps de ces leaders qui demandent à leurs militants d’occuper les réseaux sociaux pour discréditer le future president du Sénégal.
Balde sur le chemin du palais.
On peut aimer ou ne pas aimer Baldé, mais force est de reconnaître que lui et Guirassy, leur parcours intellectuel, leur expérience de l’État et leur professionnalisme sont de très loin incomparables avec ceux de Sonko ou du juge Dème…
M. Ndour, votre argumentaire est tout simplement erroné..je vais vous le démontrer point par point.
Lorsque vous dites que la carrière de M. BALDÉ a démarré avec M. Wade, je vous le concède tout en relativisant la. Portée de cette réflexion.. En effet, M. WADE en fin tacticien avait compris que pour étendre son emprise sur le pays, il lui manquait un bras solide, une emprise en casamance, car M. R. SAGNA, régnait en maître absolu dans cette région. Il choisit alors de lancer M.BALDÉ, qui n’était pas du tout préparé à prendre une telle orientation professionnelle. M. Baldé avait plus à perdre qu’à gagner dans cette histoire. Il aurait pu avoir une caractère plus sereine de haut fonctionnaire de l’Etat, comparable à celle de M. Bruno DIATTA, en servant l’administration et non les politiques. Car sa formation professionnelle de base (commissaire de police ayant servi à la présidence de la République, et énarque destiné à la gestion dans la haute administration),, lui autorisait une tranquillité professionnelle.
Mais voilà, les motifs politiques avancés à par M. WADE lui ont fait changé de trajectoire.
S’il a accepté de servir la casamance, c’est qu’il était meurtri de l’état de cette région, oubliée par ses propres enfants.. M. Robert SAGNA a t il fait avancer économiquement la casamance ?
Avec feu M. Oumar Lamine BADJI, ils avaient à cœur d’insuffler un nouveau souffle dans cette région….
Avec la disparition de M BADJI et ensuite le changement de régime présidentiel (accession de M. SALL à la magistrature suprême) la dynamique à été cassee.
Les valeurs d’humilité, de sérieux et d’honnêteté portées par M. BALDÉ n’ont jamais été remises en question. Par conséquent, dire qu’il doit tout à wade me paraît assez difficile à comprendre. Il lui doit de faire de la politique, chose que sa famille a souvent regretté d’ailleurs car ceux qui le connaissent savent qu’il est tout sauf un canard boiteux, il est trop sérieux pour servir hypocritement des intérêts. Il se bat avec ses valeurs pour être un homme politique modèle, et le Sénégal a besoin de personnalités comme lui, comme un certain Ousmane SONKO aussi que japprecie beaucoup pour les valeurs qu’il partage avec M. Baldé. Ces deux enfants de la casamance honorent toute une région et sauront rehausser le niveau du débat.
M. BALDÉ ne fera jamais allégeance à ce pouvoir en place. Car tout leur oppose.
Autre chose M. Ndour, M. BALDÉ a démissionné de sa fonction D’IGE.
J’espère que vous aurez l’honnêteté de vous contredire au soir de la proclamation des résultats de la présidentielle.
A défaut d’être au second tour, M BALDÉ de rangera derrière tout candidat de l’opposition arrive au second tour.
Wait ans see !