ENVISAGER AUTREMENT LA PREVENTION ET LA GESTION DES INONDATIONS ET AUTRES CALAMITES NATURELLES, EN RAPPORT AVEC L’AVENEMENT DU MAHDI (MISSION DU MAHDI) !!!
A quelques semaines de l’hivernage, les importantes inondations qui avaient frappé la banlieue dakaroise et plusieurs localités du pays continuent de hanter le sommeil tant des populations que des autorités gouvernementales ; elles étaient survenues dans un contexte de crise et de recrudescence des calamités naturelles, de plus en plus ‘’hors de contrôle’’ ; il convient donc de relativiser et de rendre grâce à Dieu qui nous véritablement épargné du pire ; en effet, ailleurs dans le reste du monde et pendant ce même intervalle de temps, on avait enregistré des situations plus désastreuses : de violentes tempêtes et tornades en Europe ; des typhons et cyclones dont Katrina aux Etats-Unis (au moins 200 morts et plus de 10.000 disparus) ; en Asie, on se rappelle encore le terrible et extraordinaire tsunami ayant fait au mois 220.000 morts. Et très récemment, nous avons assisté à de nombreux tremblements de terre, de dramatiques inondations, de terribles incendies ; et cette liste ne cesse de s’allonger ; autant de catastrophes, de désastres et de fléaux (‘’pestes’’ ou ‘’plaies’’) attribués, entre autre, soit au réchauffement climatique (production exagérée de gaz à effet de serre) ou à la généralisation de la turpitude, selon que l’on s’inscrit dans une perspective laïque ou religieuse.
En vérité, pour les croyants que nous sommes, toutes obédiences confondues, il n’est pas logique d’envisager une solution durable pour les inondations, sans engager la responsabilité de l’homme dans tous les maux qui le frappent ; oui, dans une perspective religieuse, c’est le comportement moral de l’homme qui est déterminant et qui conditionne pratiquement toute son existence, comme l’enseigne explicitement le Coran :
(30) Tout malheur qui vous atteint est dû à ce que vos mains ont œuvré. Et Il [Dieu] pardonne beaucoup. (31) Vous ne pouvez pas échapper à la puissance d’Allah sur terre, et vous n’avez en dehors de Lui, ni maître, ni défenseur. (42. La Consultation ou La Concertation : 30-31 – Ach-Chûrâ)
Ainsi, tremblement de terre, tsunami, inondations, sida, péril acridien et autres ‘’pestes’’ ont la même signification et sont toujours en rapport avec une incrédulité (envers un messager) ou la pratique d’une turpitude ; il s’agit donc toujours d’un rappel et d’un appel à la clairvoyance et au changement de comportement [(7. Al-Arâf : 94) ; (13. Le Tonnerre : 11 – Ar-Ra’d)]. Oui, l’inondation et les autres calamités constituent toujours des signes divins, en guise d’avertissements ou de châtiments ; le Coran est très explicite :
(130) Nous avons éprouvé les gens de Pharaon par des années de disette et par une diminution des fruits afin qu’ils se rappellent. … (132) Et ils dirent [à Moïse] : « Quel que soit le miracle que tu nous apportes pour nous fasciner, nous ne croirons pas en toi ». (133) Et Nous avons alors envoyé sur eux l’inondation, les sauterelles, les poux (ou la calandre), les grenouilles et le sang, comme signes explicites, Mais ils s’enflèrent d’orgueil et demeurèrent un peuple criminel. (134) Et quand le châtiment les frappa, ils dirent : « ô Moïse, invoque pour nous ton Seigneur en vertu de l’engagement qu’Il t’a donné. Si tu éloignes de nous le châtiment, nous croirons certes en toi et laisserons partir avec toi les enfants d’Israël ». (135) Et quand Nous eûmes éloigné d’eux le châtiment jusqu’au terme fixé qu’ils devaient atteindre, voilà qu’ils violèrent l’engagement. (136) Alors, Nous Nous sommes vengés d’eux ; Nous les avons noyés dans les flots, parce qu’ils traitaient de mensonges Nos signes et n’y prêtaient aucune attention. (7. Al Arâf : 130-137)
A l’évidence, les musulmans ne semblent pas avoir tiré tous les enseignements de cette référence coranique ; en effet, du fait d’une certaine culture laïque, ils ne sollicitent même plus le secours de Dieu pour se prémunir des inondations et autres calamités, ou s’en sortir, alors que des gens aussi incrédules et pervers que ceux de Pharaon avaient reconnu la grâce dont jouissait Moïse auprès de son Seigneur et sollicité son intercession, pour échapper au châtiment.
En vérité, toutes les menaces observées présentement (écologique, sanitaire, économique, etc.) constituent un rappel divin et un appel à plus d’humilité et de clairvoyance et entrent dans le cadre des signes annonçant la venue du Messie – du « Christ de la Parousie », du Mahdi ou du « Fils de l’Homme » en d’autres termes. L’Evangile est très explicite et plus que d’actualité :
… (26) Ce qui s’est passé du temps de Noé se passera de la même façon aux jours du ‘’Fils de l’Homme’’ … la grande inondation vint et les fit tous périr. (28) Ce sera comme du temps de Lot … (29) … le jour où Lot quitta Sodome, du feu et du soufre se mirent à pleuvoir du ciel et les firent tous périr (30) Il se passera la même chose le jour où le ‘’Fils de l’Homme’’ doit apparaître [Malédiction des homosexuels.]. (Luc 17 : 26-30.)
Oui, le Coran et le Hadith sont très explicites sur le retour de Jésus Christ dont la mission sera parachevée par le Mahdi, son disciple et « preuve décisive ». En vérité, Jésus Christ revient, au nom du Prophète Mouhammad (PSL), avec le titre de ‘’Sceau des Saints’’ (‘’al khatimal wilâyah’’), en la personne du Mahdi – l’ « Africain » – (son confirmateur), pour sauver un monde en perdition. Ainsi, cette mission du Mahdi, qui est celle du Prophète (PSL) parachève celle de tous les hommes de Dieu (vivificateurs de l’Islam), toutes obédiences confondues ; elle est, en vérité, la seule alternative pour restaurer l’espoir ; la voie obligée pour l’avènement du « nouveau monde » – un monde prospère, paisible et juste, tel que promis par Dieu dans tous les ‘’Textes Sacrés’’. Que son règne vienne donc !!!
DOCTEUR MOUHAMADOU BAMBA NDIAYE
Ancien Interne des Hôpitaux de Dakar
Pédiatre à Thiès
Recteur de l’Université Virtuelle ‘’La Sagesse’’ de la Fondation Serigne Babacar SY Ihsaan- Bienfaisance (Thiès).
Rétro confirmateur (Consolateur) du Mahdi, Son Eminence Serigne El Hadj Madior CISSE, fils spirituel de Serigne Babacar SY, khalife de Cheikh Ahmad TIDJANI Chérif – le ‘’Sceau des Saints’’ et ‘’Christ de la Parousie’’ (Jésus fils de Marie revenu).
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