Le chemin des viols d’élèves aboutissant souvent à des grossesses semble balisé pour les enseignants par leurs responsables syndicaux. Ces derniers ont rejeté l’invite de la tutelle d’approuver le code d’éthique et de déontologie régissant leur corps de métier. Pour ces syndicalistes, pas question d’accepter deux phrases mises en exergue dans ledit code et qui les indisposent. Malgré l’insistance des autres parties prenantes pour que l’enseignant promette dans le document «de ne jamais user de son autorité sur les élèves à des fins sexuelles (et) de reconnaître que sa position à l’école lui confère une responsabilité particulière dans la protection des filles et des garçons contre toute remarque ou attitude à connotation sexuelle», les syndicalistes ont dit niet.
Selon Marie Siby, agent au ministère de l’Education, en charge des questions de genre et syndicats, l’argument qu’ils ont brandi est : «Le mouton broute là où il est attaché.» Renversant, aux yeux des panélistes qui animaient hier à l’intention des journalistes, un atelier sur les mariages précoces, organisé par le Population reference bureau (Prb) en collaboration avec l’Asbef. Pour Mme Siby et les différents intervenants dont un représentant de l’Association des juristes, c’est une volonté manifeste d’encourager les jeunes enseignants à abuser de leurs élèves en évoquant la boutade : «Le mouton broute là où il est attaché.» C’est d’autant plus malheureux, pour Mme Siby, que ce sont les jeunes qui composent les corps émergents de l’enseignement qui pensent ainsi.
En plus du refus observé par la hiérarchie en milieu scolaire de parler des violences sexuelles exercées sur les élèves et la réticence des parents à porter plainte, tout est réuni pour nourrir ce mal qui favorise l’exclusion et entrave l’atteinte des Omd pour l’éducation.
lequotidien.sn
dans cette histoire c’est seul la justice qui est en faute
la justice n’est pas une affaire de syndicat
la loi existe il suffit de l’appliquer
on a pas besoin d’expliquer a cette dame que sa fille de 13 ans risque de se faire baiser tous les mercredi parce qu’un mouton attaché dans l’école lui dit passe chez moi et si elle ne fait pas le mouton lui colle des notes non justifiées pouvant entrainer sont exclusions même dans le milieu professionnel ou on a des adultes ce comportement est puni par la loi
du temps ou j’étais à l’école élémentaire au sénégal, il y’avait une loi ki disai ke lenseignan na pa le droi de resté avec un seul élév si il son de sex oposé. je croi kel exist toujours 7 loi alor lé paren devron peut étr expliké cela a leurs enfan pour kil prén leur disposition é partir kan il nia persone dotr avec eu. en tou ca ma mer mavé bien expliké cela! alor je croi ke sa pouré empécher certain truk darivé! é bien di yaris parfoi lé sénégalé on bezoin dentendr la vérité com el é!
é je croi ke 7 loi ne devré pa sapliké ke pour d sex opozé parska traver lé magazine je voi ke le sénégal é rempli domosexuel! ma warou! cmt le sénégal a pu si mal tourné en peu de ten? lé zenseignan: « si une persone est inocente, el ne doi refuzé acun test »
C VREMA DU N’IMPORT KW D’ENTENDR DE TEL CONERIES!! CE K JPE PO CONCEVOIR E KE L ON P8S DEMANDE AUX ENSEIGNAN S’ILS APROUV OU PO ! LA LOI C LA LOI ET EL NEST PO NÉGOCIABLE ON APPLIQUE ET LES CONCERNÉS ONT L’OBLIGATION DE S’Y CONFORMER C TT! mon DIEU CECI E LA PREUV K C GENS Là K NS AVONS DONNE Dé RESPONSABILITÉS NE ST ET NE SERONT JAME ALA HAUTEUR DE LEUR MISSION! IL faudrai FER LE MENAJ EN COMENçANt PAR le président ; EN PLUS CE K VS IGNOREZ E K CE CODE N’ARRANGE PAS DU TT CERTAINS HAUTS PLACES POUR CAUSE ILS TS DES dans le bain PAUVRE SÉNÉGAL Wéé!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Je suis de tout cœur avec Mm Siby mais sache qu’aussi avant de faire signer ce code éthique aux syndicats il faut faire signer a l’état de former sérieusement les enseignants sur l’éthique et la déontologie.
C’est difficile pour ces enseignants. Oui,la solution de protéger ces jeunes filles est à saluer. Mais; comment? Dans plupart de cas, de telles situations sont causées par la pauvreté des enseignants. Comme ils touchent peu, les filles les acceptent peu ou pas au mariage; sans parler des prostituées dont vraies commerçantes. En cas de ce besoin sexuel, ils font recours à celles envers qui ils sont réputés; leurs élèves. C’est domage mais fallait-il donc une solution adéquate; cela devrait preéoccuper tous les partenaires de l’éducation et à tous les niveaux.