Le Comité national ITIE à procédé à la publication de deux rapports ce sur l’industrie extractive. Il s’agit du rapport 2021 et celui concernant le premier semestre 2022. Au total, ce secteur a généré plus de 300 milliards de FCFA. Une hausse par rapport à 2020 favorisée par, l’augmentation de la production de l’or entre autres. Ces revenus doivent impacter la vie des populations selon la société civile présente lors de la cérémonie.
Selon elle, Il y’a de l’argent on a parlé de 300 milliards de francs CFA mais quand nous allons sur le terrain, nous avons souvent les populations qui se plaignent. C’est la raison pour laquelle après chaque rapport nous sommes à Kédougou, Tamba, Thiès Ziguinchor pour parler avec les planificateurs. Notre combat, c’est celui de la transparence, c’est quand il y’a transparence qu’on voit ou on peut juger les progrès. Si on ne savait pas qu’il y’a autant de milliards, on ne se poserait pas la question sur les populations.
Pour Eva Marie colles Seck, aujourd’hui avec la loi sur le contenu locale, ont peut faire la traçabilité des fonds, comment ils sont utilisés par les entreprises exploitantes. Sur mille milliards par exemple, seul 1/5 va dans les entreprises locales, le reste va encore au niveau des entreprises internationales.
Donc tous ses éléments sortent du rapport et nous permettent de voir ou on en, et ou est-ce que des progrès doivent être faits. Ce que nous voyons dans le rapport, c’est que la part allouée dans le cadre de la responsabilité sociétale d’entreprise est aussi insuffisante et nous recommandons aux entreprises d’aller plus loin. Sans oublier les conséquences environnementales occasionnées par ces entreprises exploitantes.