Pour ce combat à grand enjeu, le tonitruant Lamine Samba était bien dans ses œuvres. Il était visible, tant son habit d’un rouge rare et bien vif, brodé d’une couture bleue turquoise, à la limite folklorique, avec un bonnet assorti, brillait de mille feux. Il était finalement bien rouge comme une tomate, le bonhomme. Une tenue digne d’un artiste qui se produit sur scène et qui dénote en même temps, une faute de goût.
Moralité, c’est bien de vouloir apparaître, mais c’est mieux parfois d’être sobre. En plus, si on n’est pas un modèle d’éloquence !
Affaire de guéwél quoi ……….