XALIMA NEWS – Cent jours après son investiture le 18 février, Adama Barrow n’a toujours pas de vice-président. Le président Gambien souhaite nommer à ce poste Fatoumata Tambajang, qui d’après la Constitution Gambienne, n’est pas éligible à ce poste.
A l’Assemblée Nationale, aucune des réformes promises par le président gambien n’ont pas encore été présentées. Pourtant, le président gambien a obtenu la majorité lors des législatives d’avril dernier. Les premières réformes sont attendues « d’ici la fin du mois d’août » a confié le gouvernement.
Sur le plan judiciaire, Adama Barrow a obtenu la libération d’opposants politiques et le gel des biens de l’ex président Yahya Jammeh. Il a également rebaptisé le puissant service de renseignements, NIA en Services d’intelligence d’État (SIS). Le procès d’anciens agents des services secrets traîne en depuis des mois.
L’autre difficulté économique en Gambie, avec les caisses de l’État qui sont vides, c’est le chômage. En 2016, il était estimé à 29,70 % à l’échelle nationale selon la Banque Mondiale, selon notre source.
Finalement, le seul et gros changement, c’est la liberté d’expression retrouvée. Une liberté que les Gambiens n’hésitent pas à utiliser pour commencer à critiquer leur nouveau gouvernement à leurs yeux un peu trop lent.
Quelle liberte? Cest tout simplement de l’anarchie le desordre le crime la misere galopante la corruption. Un president dormeur qui ne controle. Des panned delectricite. Linflation sur les denrees comme le riz le sucre la viande le poisson. Les gambiens ont repris leur spirt favorie lindiscipline et le crime