Xalima news – Qu’est-ce qui rend si amer le président Yaya Jammeh au point qu’il décide d’engager un bras de fer contre le Sénégal ? Si “l’homme fort de Banjul” semble se cramponner sur le problème des transporteurs qui avaient cessé d’emprunter le bac pour protester contre les misères que leur font les autorités gambiennes, ce n’est pas la seule raison du raidissement des relations entre les deux pays. Il nous revient en effet de bonne source que le président Jammeh aurait sollicité le soutien du Sénégal et d’autres pays de la sous-région pour présenter sa candidature à la tête de la Cedeao, lors du dernier sommet qui a eu lieu à Abidjan. Mais que sa volonté s’est opposée au réalisme des chefs d’Etat qui ont compris que le Président Jammeh allait marginaliser l’organisation et le lui auraient fait savoir en aparté. Les Américains et les Européens ne veulent en effet pas voir Jammeh en peinture. Ce dernier voulait mettre en avant sa stature de Président qui a le plus duré au “trône” dans la sous-région. C’est finalement le président ghanéen qui va être choisi, en l’absence d’ailleurs de Jammeh qui avait boudé avant même la fin des travaux. Jammeh en veut-il au Sénégal de ne pas avoir soutenu sa candidature ? En tout état de cause, le Sénégal, nous assure-t-on de source digne de foi, est décidé à ne pas laisser cette fois passer l’affront. Dans les tout prochains jours en effet, des mesures de représailles devraient en effet être prises. Au plus haut niveau, on n’a pas bien apprécié la décision prise par Jammeh de fermer la frontière aux transporteurs…
Source: EnQuête
la seule riposte efficace c’est de ceinturer la gambie d’un mur epais de 5 metre de hauteur genre mur de berlin ainsi le senegal pourra lutter contre plusieur mal que nous fait subir ce minuscule pays qui aurait du etre un departement du senegal (poutine)on pourrait faire face à la contrebande freiner les rebelles de la casamance et asphyxier la gambie en leur interdisant l’espace aerien et maritime du sengal
les sanctions doivent dure et que les gens ne nous parlent pas ici de senegambie. trop ça dure et cela notre Etat doit être dur et ne pas laissé chaque fois qu’il fait un truck mauvais qu’on viens pour négocier en mettant en avant la senegambie ce que lui il ne croit pas.
Moi je pense que c’est une occasion pour régler définitivement le problème de la casamance. Maintenir la fermeture de la frontière et la surveiller éternellement. Fermer aussi l’espace aérien et maritime à la Gambie. Il faut que le Sénégal se fasse respecter par ce Président fou en fin de règne.
le senegal a beaucoup laissé ce pays frère son leader faire ce don lui semble. c’est le moment de prendre des mesures ferment car le senegal joue trop la diplomatie depuis Senghor Diouf Macky en passant par Wade sur ce pays frère. en plus il faut que les gens cessent de nous parlé de la Sénégambie puisque leur chef ne croit pas a cette Sénégambie.
Macky sall hav to teach yaya rebel jammeh big leasson because yaya rebel jammeh is not good for our west africa region. we gambians need then help of Senegal too n Senegal and gambie is one country one people so lets come together and fight jammeh out.
Cette affaire de fermeture de la frontière Sénégalo-gambienne me touche au plus d’un titre ! Je fais partie de ceux qui défendent le plus le Président Yaya Djameh, nonobstant quelques dérives que l’on lui reproche depuis plusieurs années. Je pèse le pour et le contre, en évitant de jeter le bébé avec l’eau du bain. Notre frère Yaya Djameh n’est pas du genre à se suicider sans broncher, eu égard aux revenus que lui rapporte cette situation de traversée par les bacs. Les Sénégalais doivent être prêts à former au moins trois mille jeunes en moins de six mois dans des centres de formation pour adultes, dans divers métiers de la construction de routes pour contourner la Gambie. Depuis des années je préconise l’instauration d’une vignette « anti Talibés au Sénégal » à raison de 500FCFA/cheval fiscal et par an pendant dix ans concomitamment à une interdiction formelle de mendier dans nos villes et villages. Ce même procédé de vignette auto pourrait s’appliquer si le Sénégal décidant de construire cette infrastructure routière de grande portée d’intérêt national. On ne peut continuer à pleurer à chaque fois les Gambiens toussent !