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[Guest-éditorial] Ce que Wade doit à ma Rufisque ou le temps d’une absence rompue. Par Issa Thioro Guèye (Journaliste)

Date:

Xalimasn.com

Ecrire cette adresse se veut, pour moi, une grosse inculpabilité d’appartenance. Il ne s’agit, en aucun cas, ni d’une responsabilité de fonction politique ni d’un acte impulsif de perruches ou, ma foi, de tonnelets creux qui ne font que, dans l’espace public, des élucubrations au nom de leurs concitoyens alors que leurs maux et agissements n’engagent que ce qu’ils ne représentent pas : elle a été plutôt précédée d’une urgence et d’une responsabilité de conviction en ce que Rufisque est ma ville et ma vie.

Monsieur le président, il m’a fallu du temps pour investir le champ du développement participatif et commettre cette pensée écrite. Je n’agis pas tout seul. Je mène mes actions en tant que dirigeant sportif du seul club d’élite de ma ville, en tant qu’homme de culture contribuant, sans cesse, à la promotion du savoir, en tant que leader d’opinion appelant, avec énergie, à l’émergence d’un Sénégal nouveau, fondée sur  la combinaison de compétences et d’intelligences aussi bien politiques que culturelles ainsi que sur une reconfiguration des consciences à la base.

Je suis, par-dessus tout, anxieux d’éviter de donner l’impression que je cherche à diminuer les faiblesses, les privations ou les échecs d’une gouvernance politique locale. Je ne propose pas non plus de blâmer les autres ou l’histoire de leurs propres fautes même si je consate que, depuis l’éviction de Ndiawar Touré en 2001 et celle d’Awa Diop dont le seul mérite est de porter l’image d’une concitoyenne incapable de mener à bien le moindre projet de société pour sa localité, aucune valeur compétente de Rufisque, appartenant à la mouvance présidentielle, n’est parvenue à se hisser au devant de la scène évolutionniste, à se dresser comme figure marquante de la politique au service des populations et à vous donner les raisons qui font que vous pouvez lui faire confiance dans l’action gouvernementale ou à la tête d’une institution.

Monsieur le président, je suis de ceux qui professent que de toutes les absences qui ont été associées à la vie d’une ville, que ce soit dans ses variantes politique, historique, économique, sociale ou représentative, il n’en est virtuellement plus une seule que j’accepte sous sa forme traditionnelle. Je le dis d’autant plus que ma pensée écrite n’est pas destinée à être l’analyse élaborée d’un long credo personnel. Je le dis d’autant plus que les têtes d’affiches du libéralisme à Rufisque n’ont plus de crédit dans la ville. Elles avaient perdu la bataille du 22 mars 2009 ; elles risquent, faute de représentativité, de ne pas vous être utiles en 2012. Il serait temps d’amener du sang neuf, de responsabiliser de nouvelles compétences, pas seulement reconnues politiquement, et de miser sur des personnes d’envergure, au service des populations. Le pari de votre réélection à Rufisque est à ce prix. Ne pas le faire serait un choix aventureux tant et si bien que l’absence des «libéraux» à qui vous faites confiance et confiez des responsabilités d’Etat est notable et notoire.

Monsieur le président, ni Mbaye Jacques Diop ni Awa Diop ni Seydou Diouf… n’ont eu à travailler pour vous encore moins pour les populations. Dix ans durant, sous votre magistère, j’ai tout vu. J’ai vu votre vision sur l’éducation et la formation, pour en avoir fait des priorités sectorielles : 40% du budget national. J’ai vu votre engagement pour le développement des villes, avec le programme spécial indépendance. J’ai vu votre plan pour un Sénégal émergent, avec une politique conséquente d’investissement et de grands travaux. J’ai vu votre sens de l’ouverture, avec la mise en œuvre efficiente d’une stratégie de développement des exportations pour un positionnement durable et accru des produits « Origine Sénégal » sur les marchés extérieurs. J’ai également vu le temps défiler, comme le peuple a défilé le 04 avril dernier devant tant d’invités, d’appareils photos, de caméras.

Pourquoi pas ? Un jubilé, ça se fête ! Car, avoir 50 ans, sans ride institutionnelle aucune, n’est pas donné à n’importe quel peuple : Dieu soit loué. Le temps et le peuple qui défilent pour l’histoire et le symbolique : Sénégal soit lui qui prie pour le retour de la paix définitive en Casamance…

J’ai vu ce temps passer vite, très vite. Et je pense que rien ne l’attrapera. Il file tout droit vers 2012 : le temps du grand rendez-vous. Pour vous, pour ceux qui vous soutiennent, pour ceux qui s’opposent, pour la démocratie, pour le peuple souverain, pour les observateurs, pour ceux sont prêts à apporter leur soutien dans votre élan de construction de l’avenir… Cet avenir sur lequel vous ne cessez de bâtir votre logique de gouvernance. C’est vous qui l’avez souligné dans votre message aux populations de ma ville quand, le 12 février 2010, à Rufisque, devant une foule d’attentes, vous procédiez au lancement des travaux de l’autoroute à péage : «l’avenir est devant nous, l’avenir est à Dieu, l’avenir est toujours ouvert. L’avenir est au Sénégal, en Afrique».

Pour autant, il y a « l’avenir ouvert » certes. Mais, je crois aussi en « l’avenir découvert ». Autrement dit, en ce qu’il y a lieu de réhabiliter ces villes qui ont fait l’histoire des villes du Sénégal dont, principalement, Rufisque. Dakar ne saurait s’en offusquer. Vous lui avez tout donné en dix ans. Vous avez investi dans la ville-capitale plus que tout autre bâtisseur de nation. Vous lui avez donné des routes, une « porte du millénaire », une nouvelle corniche, un monument haut de cinquante-trois mètres, un port et un aéroport rééquipés suivant les normes internationales de la navigation internationale.

Monsieur le président, Rufisque est une ville qui ne s’est jamais absentée dans l’histoire. Je ne fais pas de parti pris. Je suis un républicain et un militant de l’unité nationale. C’est parce que Saint Louis et Gorée ont, dans le gouvernement ou dans les sociétés nationales, suffisamment de ressources humaines et de compétences à qui vous faites confiance que je ne parle de ma ville et de ce que vous lui devez, au-delà de votre décision de faire de «2010 l’année des grands travaux de Rufisque» et de la mise en œuvre d’un plan directeur d’assainissement déjà élaboré par le gouvernement et structuré en trois phases d’un coût total de trente-six milliards de francs Cfa.

Ce que vous lui devez tient d’un fait actuel : le retour de Mbaye Jacques Diop aux affaires. Lui qui, tout au long de son passage à vide, n’a fait que pleurnicher autour de son éviction de la tête du Conseil de la République pour les affaires économiques et sociales (Craes) et démontrer à tous les sénégalais que tout ce qui l’intéresse, ce n’est pas la réélection. Lui qui aurait voulu partir soutenir Macky Sall, dans le vaste projet de massification de l’APR. Or, votre propos laisse entendre le contraire : «un gouvernement ne travaille pas seulement pour ses militants. Il travaille pour les populations ».

Ce que vous lui devez tient d’un fait tout proche : le renouvellement de la classe politico-libérale par une nouvelle classe de citoyens engagés pour l’avoir et l’être de leur cité. Car, il n’y a pas un jour qui passe sans que je ne sois interpellé par des jeunes, des femmes, des sportifs, des intellectuels de tous bords au sujet du devenir de la respectabilité de Rufisque et de ses fils. Chaque jour, je les écoute mais je ne donne point de réponse. Et pour leur répondre Monsieur le président, Rufisque reste à votre écoute !
Issa Thioro GUEYE

Expert en promotion des exportations,
Consultant en Communication, Journaliste, Ecrivain, Editeur,
Membre des Formateurs du NEPAD, Membre du conseil d’administration de la LSFP

[email protected]m

10 Commentaires

  1. Un texte d’une nullité énorme! Argumentation débile. Tout journaliste qui s’érige en griot des temps modernes pour louer Wade ne fait que s’engager dans une cause déja perdue!

  2. L’espoir d’une « Renaissance » pour la ville de Rufisque

    A chaque fois que je me retrouve en face des merveilles de la Côte d’Azur, le souvenir éblouissant et splendide des sourires rayonnants de ma cité, également en bord de mer, me saute aux yeux. Ce sont les mêmes moutonnements, la même onde et la même clameur des vagues qui s’écrasent contre les falaises. La seule différence, c’est que la « côte azuréenne » a profité d’un entretien exceptionnel et d’une bonne gestion, alors que les côtes de Rufisque souffrent lamentablement d’un « pillage systématique » depuis presque un demi-siècle. Pour l’élection d’un « bon gouvernant », Erasme avait raison de n’accorder aucune importance à son « illustre descendance », car ce sont les « qualités de commandement » qui comptent : « la sagesse, la justice, la modération, la prévoyance, le zèle, le désir du bien public et l’exclusion de tout personnalisme », Erasme (1).
    Notre ville, aujourd’hui meurtrie, cache mal ses cicatrices, mais elle a toujours refusé le coup de grâce. Les multiples razzias suivies de scènes de ripaille clientéliste et clanique, organisées par les différents maires du Parti Socialiste et celui du Parti Libéral sortant, désavoué par le suffrage et désormais intégré à la bergerie de Sa Majesté maussade, l’ont laissée exsangue. Quarante neuf années d’impunité totale. Ces profiteurs ont toujours nié l’évidence malgré une multitude d’indices et d’éléments troublants qui n’étaient qu’un secret de Polichinelle, sans oublier les preuves récemment rassemblées et exhibées devant la presse sénégalaise (2), sous le regard hagard des honnêtes contribuables rufisquois, dépouillés et hantés toujours par l’ombre de ces pilleurs implacables.
    Les citoyens rufisquois, désemparés et traumatisés, nécessitent plus de considérations, et une assistance, pour ne pas dire des « soins intensifs ». Nous, habitants de Rufisque, il nous sera difficile d’oublier quarante neuf ans de corruption, de gabegie, de sinécure, de concussion et de népotisme. Bref, c’est inacceptable et scandaleux que de voir les sommes abyssales dilapidées au moment où les pauvres gens croupissent sans espoir dans les couloirs de la mort de l’hôpital Youssou Mbargane (3). Un poste de santé semi-privé, vide, transformé en mouroir. Toutefois, nous connaissons, du moins aujourd’hui, le montant des sommes gaspillées par l’ex-maire libéral. Mais, personne actuellement ne peut dire à combien s’élève le butin des quarante années socialistes. L’initiative d’un audit par l’actuel maire est saluée par tous les Rufisquois, épris de justice.
    Cependant, la priorité dans notre Cité, c’est la santé, un environnement sain, l’éducation et l’emploi des jeunes gens désoeuvrés de plus en plus tentés par l’aventure à tout prix, à bord des embarcations de fortune. Dans l’immédiat, à défaut de pouvoir régler tous les problèmes que rencontre notre ville, le nouveau maire, apparemment « soucieux » d’une gestion rigoureuse, saine et équitable de l’argent du contribuable, jusque-là très souvent confondu avec le portefeuille personnel, doit continuer sur cette même lancée pour au moins faire baisser le taux de mortalité sur les grabats de Youssou Mbargane. Moderniser et humaniser cet hôpital, c’est la priorité des priorités.
    Un poste de santé funeste, dangereux et effroyable, en raison du manque cruel de personnel qualifié. Un seul médecin-chef pour toute la ville de Rufisque et ses alentours, c’est peu. De plus, son office sur les lieux du sacerdoce ne couvre que les jours ouvrables. Le week-end, ce sont des infirmiers désagréables et des gens promus grâce à la politique qui s’affairent autour des patients malchanceux. Même pestiféré, le malade a besoin d’être rassuré par un accueil chaleureux, réconfortant. Cette situation inhumaine me rappelle la phrase d’un des cousins de mon père : « je préfère mourir sur ma natte que d’aller à Youssou Mbargane ». C’est donc la psychose. Un poste de santé, à la bâtisse imposante, empêche les Rufisquois de dormir.
    Au demeurant, encourageons le nouveau maire qui ose, quand même, mettre à nu les filouteries de son prédécesseur (4). Espérons qu’il répondra aux attentes de la population, toujours victime de mauvaise foi. La vie peut être belle entre nos murs : il suffit simplement de bonne volonté. Il y a un moment sublime et féerique à Rufisque.
    Dès l’aube, on découvre le beau temps. Le ciel, dégagé et constellé d’étoiles, est éclairé par la lune. La douce brise chatouillante et agréable de la mer se fait sentir à travers les fenêtres et les portes entrouvertes. Partout dans la ville de Rufisque, on hume l’air frais salubre du matin. Etre matinal, c’est assister aux délices de la nature. Tous les matins, c’est le même spectacle sensationnel. En revanche, la journée est particulièrement rude dans cette ville, sans feu de signalisation, où le bruit, la pollution et l’insalubrité règnent en permanence. Le contraste est saisissant. Nombreux sont ceux qui connaissent ce moment où Rufisque ressemble à un paradis terrestre. Les oiseaux se détachent par grappes au-dessus des toits et commencent à annoncer le jour en faisant entendre leur gazouillis interrompu, de manière sporadique, par le chant des coqs.

    Dame Diop, responsable du site afriquedemocratie.com

  3. Hééh bien c’est clair. Monsieur aura fait toute cette litanie d’une pédanterie inutilement ennuyeuse et suspecte pour dire Bilaye président je suis capable de devenir ministre du commerce, ou / et de la communication, ou /et de la jeunesse et des sports. Ce bonhomme est franchement dégouttant. Peut on continuer à voir toute une frange de notre jeunesse formée aux frais du contribuable se muer en chanteur de louange pour plaire au roi et bénéficier de ses faveurs ? Assurément non. Je pense que ce gars lorgne simplement le poste de ses chefs (directeur de l’agence (je ne sais quoi export…), ou ministre du commerce). C’est son droit mais je pense que pour travailler au développement de son terroir il ne suffit pas d’être ministre. Il faut d’ailleurs souligner que les dignes fils de Rufisque qui y ont réalisé quelque chose de probant ne se sont pas signalés dans ce landerneau politique finalement devenu une mare de crocodiles. Monsieur Gueuye je trouve maladroit et malhonnéte votre contribution , que vous auriez dû balancer dans la rubrique pub et passer à la caisse de Xalima que je trouve, d’ailleurs, trop gentil sur ce coup. Cet étalage de fonctions et diplômes n’est qu’un CV déguisé pour assouvir une ambition ;c’est votre droit d’en avoir. Mais vouloir utiliser comme prétexte la misère hideuse et frappante de Rufisque me semble déloyal. Enfin pour un éditeur et écrivain je pense que ce petit texte aurait dû comporter moins de coquilles sur les dates (élection locale en Mars 2009) sans compter les nombreuses fautes. Tristes Sénégal ! Sous Wade on aura tout vu !!!!!!!!!!!!!! Sans Haine

  4. Hééh bien c’est clair. Monsieur aura fait toute cette litanie d’une pédanterie inutilement ennuyeuse et suspecte pour dire Bilaye président je suis capable de devenir ministre du commerce, ou / et de la communication, ou /et de la jeunesse et des sports. Ce bonhomme est franchement dégouttant. Peut on continuer à voir toute une frange de notre jeunesse formée aux frais du contribuable se muer en chanteur de louange pour plaire au roi et bénéficier de ses faveurs ? Assurément non. Je pense que ce gars lorgne simplement le poste de ses chefs (directeur de l’agence (je ne sais quoi export…), ou ministre du commerce). C’est son droit mais je pense que pour travailler au développement de son terroir il ne suffit pas d’être ministre. Il faut d’ailleurs souligner que les dignes fils de Rufisque qui y ont réalisé quelque chose de probant ne se sont pas signalés dans ce landerneau politique finalement devenu une mare de crocodiles. Monsieur Gueuye je trouve maladroit et malhonnéte votre contribution , que vous auriez dû balancer dans la rubrique pub et passer à la caisse de Xalima que je trouve, d’ailleurs, trop gentil sur ce coup. Cet étalage de fonctions et diplômes n’est qu’un CV déguisé pour assouvir une ambition ;c’est votre droit d’en avoir. Mais vouloir utiliser comme prétexte la misère hideuse et frappante de Rufisque me semble déloyal.Je me rappelle aussi avoir vu ce type dans une émission télé de Walf et il fallait le voir dans son air hautain qui jure d’avec l’attitude d’un vrai intellectuel (il a ce mot à la bouche) , ce qui montre qu’il est loin d’être cette personne qui sera utile à Rufisque une fois ses ambitions assouvies. Il fera comme ses autres ainés , se payer une maison à Nord Foire , ou Mermoz ou Almadies. Enfin pour un éditeur et écrivain je pense que ce petit texte aurait dû comporter moins de coquilles sur les dates (élection locale en Mars 2009) sans compter les nombreuses fautes. Tristes Sénégal ! Sous Wade on aura tout vu !!!!!!!!!!!!!! Sans Haine

  5. ISSA TU M’A DECU .
    MOI JE TE CONNAIS DEPUIS QUE TU ETAIS ELEVE AU LYCEE ALBOURY NDIAYE DE LINGUERE . … SI JE NE ME TROMPE TON PERE ETAIT PENITENCIER.
    LA DERNIERE FOIS QU’ON S’EST RENCONTRE C’ETAIT A L’UNIVERSITE EN 98 .
    TU ETAIS DEJA ETUDIANT EN JOURNALISME ET TU ME CONSEILLAIS DE FAIRE JOURNALISME .
    FORT HEUREUSEMENT QUE JE L’AI PAS FAIT .SI JE DEVAIS ETRE UN JOURNALISTE COMME TOI ;ALORS LAISSE TOMBER .

  6. Peut on continuer à voir toute une frange de notre jeunesse formée aux frais du contribuable se muer en chanteur de louange pour plaire au roi et bénéficier de ses faveurs ?

    Diery

  7. Toutefois, nous connaissons, du moins aujourd’hui, le montant des sommes gaspillées par l’ex-maire libéral. Mais, personne actuellement ne peut dire à combien s’élève le butin des quarante années socialistes.

    Dame Diop

  8. Kara, pour savoir le butin des quarante ans du règne socialiste, il faut que Kora Fall et Mbaye Jacques Diop soient entendus par la Justice Sénégalaise.
    Quant à Ndiawar, il est intouchable tant que Wade est aux commandes!
    Dame Diop

  9. On est dans un déséquilibre persistant, du fait que des gangs se partagent les ressources du pays. Francs maçons, ordres religieux, politique…..Tant de secteurs clefs de la nation sont vidés de toute substance et tendent à devenir -si l’on n’y prend garde- des décors abritant le ballet de l’argent-roi 🙁
    La preuve -comme l’a si bien dit le patriote- que tout se vaut et se convertit à la religion-or, c’est le fait que ces personnages cités valsent pour la plupart d’un parti à l’autre, selon le cours du parti en question, coté à l’aune* du Pouvoir .

    * Au lieu de mesurer ce qui est bon pour soi à l’aune de ce qui est bon pour tous, l’homme procède en sens contraire. — — (Gérard Demouge, Rousseau ou la révolution impossible, p. 282, 2002)

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