Si Idrissa seck voulait être différent des autres hommes politiques sénégalais de passage à New York, l’occasion de lui a été fournie face à un groupe restreint de ses partisans qui sont venus le rencontrer au Central Park de New York.
A la place d’un meeting dans une salle à Harlem, ce qui est devenu la norme pour s’adresser aux Sénégalais des Etats Unis, l’ancien président de l’ex-Rewmi a décidé de convier ses partisans à un piquenique dans ce Park situé à lisière du quartier de Harlem de la « Grande Pomme ».
Les principales questions qui ont rythmé cette rencontre où les intervenants ont eu la liberté d’interpeller Idrissa Seck, ont tourné sur son retour au Parti démocratique Sénégalais (Pds).
A ce sujet, Idrissa Seck a semblé vouloir convaincre son monde sur le fait que retourner au Pds ne signifiait pas à ses yeux se ranger derrière les positions et politiques du Président Wade. Sa réponse est tombée comme un couperet : « Le Pds auquel j’appartiens est un Parti Démocratique Sénégalais. Je défends les valeurs démocratiques et je suis allergique à tout ce qui les remet en cause. Tout processus de sélection des dirigeants qui ne passe pas par le vote des citoyens m’est insupportable et rencontrera ma totale opposition. Par ailleurs, Je ne défends que les intérêts du Sénégal, pas ceux d’une famille ou d’un clan. »
Cette réponse ne pouvait qu’en susciter une autre, plus directe cette fois sur la question qui agite le débat politique au Sénégal : la volonté supposée ou réelle d’Abdoulaye Wade de se faire succéder par son fils Karim Wade ?
Non seulement le maire libéral de Thiès a confirmé que cette volonté existait belle et bien, en rappelant, quand pour la première fois, lui Idrissa Seck, avait parlé de la volonté de Wade de sacrifier « le fils d’emprunt » pour positionner le fils biologique, personne ne l’avait cru. Et Idrissa Seck d’affirmer qu’aujourd’hui le doute n’est plus permis à ce sujet.
Sa position par rapport à cette volonté de Wade est claire et nette : « Il n’y a absolument aucune possibilité, aucune, dis-je, qu’Idrissa Seck accepte un tel projet, ou ne se batte pas, contre un projet anti démocratique. Je l’ai clarifié. Le Pds auquel j’appartiens se base sur deux principes fondamentaux : un attachement réel à la démocratie. Toutes les décisions doivent reposer sur la volonté de la majorité. Le deuxième principe est que seul l’intérêt du Sénégal doit déterminer les choix et non l’intérêt d’une famille ou d’un clan. »
Interrogé sur la même question que lui avait posée en son temps, notre confrère Alassane Samba Diop de la Radio futurs médias (Rfm) dans un entretien ou il abordait la question de l’utilisation des fonds politiques mis à sa disposition quand il était le tout puissant numéro 2 du camp libéral, l’ancien Premier ministre est retourné à son sport favori : utiliser les textes sacrés pour servir des réponses énigmatiques : « Sur les accusations et le complot d’Etat, « Ma parole a été élevée et confirmée, celle de mes accusateurs abaissée et démentie » Et ceci n’a pas attendu l’extension du soleil. »
C’est la même technique d’utilisation du coran qui est mise en œuvre pour revenir sur la problématique de sa probable candidature. Il sert une parabole avant d’introduire le doute sur la tenue de l’élection en question à bonne date. « « Il se peut qu’une partie de ce que vous cherchez à hâter soit déjà sur vos talons » « Les incertitudes sur la tenue des élections à bonne date ne seront levées que le 18 décembre 2011 avec la publication du décret de convocation du corps électoral. »
Il va plus loin pour expliquer sa stratégie politique du moment à propos de laquelle il est conscient de la difficulté qu’ont ses partisans à comprendre, encore moins à admettre. « Wade termine un cycle de leaders. J’en commence un. C’est le passage de l’un à l’autre qu’il nous faut gérer au mieux des intérêts du Sénégal. Le cycle de Wade est celui des Blaise Diagne Ngalandou, Lamine Guèye, Senghor, Mamadou Dia, Diouf. Le mien est celui de la Nouvelle Afrique. »
Après l’introduction de ce doute sur la date la présidentielle, l’ancien pensionnaire de la prison de Reubeuss lance un avertissement aux tenants actuels du pouvoir. « La transition peut être souple ou conflictuelle. Je travaille de toutes mes forces pour qu’elle soit souple, mais je me suis préparé à tous les scénarii. »
A bien écouter celui qui, à la prise du pouvoir par Abdoulaye Wade, était considéré comme son dauphin naturel, on est tenté de se demander à quand le fracas entre les deux hommes. En tous cas pour ceux savent bien écouter il ne fait pas doute que Seck n’offre qu’une seule issue à son patron libéral : abandonnez le projet d’adouber Karim Wade ou préparez vous à me rencontrer sur votre chemin.
sudonline.sn
Monsieur Idrissa Seck,
je vais essayer d´utiliser vos arguments pour vous démontrer votre incohérence.
1. Non! vous avez tout faux si vous affirmez ne vous battre que pour l´intêret du Sénégal. Où est ce que vous étiez durant les 6 dernières années où les scandales se succèdent impliquant des membres de votre parti au détriment de notre argent à nous Sénégalais que vous êtes censés défendre ?
2. Vous êtes blanchi? par quelle justice? la justice au service d´un homme Abdoulaye Wade?
3. Qu´est ce qui vous qualifie pour diriger notre pays? Avez-vous peut être un certain respect pour les Thiessois qui vous ont élu pour administrer leur cité? Ben que diantre faites vous de votre temps libre? Chercher des investissements pour votre ville ? Changer la manière de faire la politique? Pas que je sache.
4. De quelle nouvelle Afrique vous faites référence ? Ce sont des slogans trop creux.
En réalité vous ne voulez qu´être président et c´est ce qui explique toutes vos combines et votre mutisme et ca me fait peur. Beaucoup de Sénégalais avaient fondé un espoir énorme en vos capacités managériales, en votre intelligence mais comme le disait l´autre «Le problème avec les gens intelligents, c’est qu’ils ne sont jamais assez intelligents pour ne pas penser qu’ils sont les plus intelligent»
je vous demande de bien méditer cette réflexion d´André Gide : « Il faut de l’esprit pour bien parler, de l’intelligence suffit pour bien écouter »
.
Non vous êtes disqualifié ainsi que tous ceux qui ont servi aveuglément le président sans oser dire NON. La nouvelle Afrique doit être incarnée par des gens qui sont prêts à mourir pour leur conviction.
amadou la question k tu devait te poser est kel justice l’a accuse et condamné 7 mois,en tou cas de tou lé hommes politik idy est certainement le seul a avoir autant payer pour avoir dit non aux derives des wades k nou connaissons tous kou dèè yak sa bamèle et depui 2000 ,je croi l’avoir entendu dire k degue foumouma fék dama koy wakh donté damasiy wète té dou si wète dieu est avec les veridik,il me fai souven penser a mamadou DIA imaginez le type de senegalais k nou serion sil avai continuer ce kil avè commencé, la chance nous echapé une fois de grace saisissons la cette fois, apres WADE ce pays devra etre redressé sur tous les plans par un homme de conviction de courage des qualites k tous connaissent chez idy avant mais surtout apres 2000, pour finir je me dde commen un musulman peut faire des accusations sur un autre musulman surtout sil sait k ce kil dit est faux khanaa sètoulène sène borome , en tout cas tout ce k idy dit avais est devenu vrai et tous ce kon avè di sur lui s’est avèré faux
Un grand homme, un homme franc et digne,
si seulement si tu avais reste sans suivre Wade dans ces pieges qu’il t’as tendu et continuer de le faire
si seulement tu as reste l’homme des medias
oui tu es umble cela est clair mais au Senegal les gens preferes des gens qui trahuit et font pire je veux pas citer mais juste regarder lors du reunion d’accuisation devant les representant diplomatiques y’avais des hommes aujourd’hui qu’on dit sain
nn tu l’unique et un des grand homme du Senegal si eux sont d’accord ou pas tu es un dirigeant un homme d’etat un homme de pouvoir
retourne chez Wade