Xalima news – Il l’avait promis, il est en train de le faire. Idrissa Seck a commencé ses tournées à l’intérieur du pays. Avant-hier mercredi, le président de Rewmi était à Kébémer. Il a été accueilli en grande pompe par ses partisans et les alliés avec lesquels son parti a décidé d’aller briguer les suffrages des électeurs lors des Locales du 29 juin prochain. «Mes tournées à l’intérieur du Sénégal comportent deux phases. Avant les élections locales, je compte faire les 45 départements. Dans chacun d’eux, nous allons rencontrer les principaux responsables du parti dans une commune donnée. Et après les élections locales incha Allah, je compte aller dans les 552 communes du Sénégal et les 37 pays étrangers où des Sénégalais résident et votent, pour mieux connaître et me familiariser avec les responsables qui sont dans notre parti», a-t-il d’emblée campé. Jetant un pavé dans la mare du pouvoir, Idrissa Seck a indiqué que «même des responsables de partis membres du camp présidentiel trouvent que ce qu’ils sont en train d’entreprendre ne fait pas avancer le Sénégal». Et de là à les voir quitter cette coalition (Benno bokk yaakaar) pour venir le rejoindre lui et ses autres alliés, il n’y a qu’un pas à franchir.
Sur les raisons pour lesquelles il a déserté Kébémer, il avoue qu’il avait même la «kersa» de venir y faire de la politique. «Mon compagnonnage avec Abdoulaye Wade et tout ce qu’il y a entre nous ne m’autorisaient pas à venir à Kébémer comme si on se disputait cette ville», a-t-il expliqué. Non sans préciser qu’il en sera ainsi tant que l’ancien Président restera sur la scène politique. «Jusqu’à ce qu’il tire sa révérence, j’y vais tout doucement». Sur l’acte III de la décentralisation, Idy indique : «l’acte III de la décentralisation manque encore de profondeur. Nous devons aller plus loin dans la décentralisation en permettant aux pouvoirs locaux de disposer des moyens nécessaires, en décentralisant le budget consolidé d’investissement (Bci) davantage, pour que les autorités locales qui sont les plus proches de la population aient de sérieux moyens de prise en charge de leurs préoccupations. Les problèmes se vivent à la base, et c’est à ce niveau là qu’il faut les résoudre».
Source: L’As
Nous devons aller plus loin dans la décentralisation en permettant aux pouvoirs locaux de disposer des moyens nécessaires, en décentralisant le budget consolidé d’investissement (Bci) davantage, pour que les autorités locales qui sont les plus proches de la population aient de sérieux moyens de prise en charge de leurs préoccupations. Les problèmes se vivent à la base, et c’est à ce niveau là qu’il faut les résoudre».
Tout est dans ce postulat : Il faut décentraliser les pouvoirs et les moyens, et donner une certaine autonomie de gestion à ces localités, comme partout dans les pays développés ! Nous aurions même dû le faire depuis plus de vingt an pour que chaque localité de plus de 20.000 habitants ait son Maire et une équipe qui gèrent le fonctionnement de la cité! Nous n’inventons rien, partout les commune les plus petites celles de 500 habitants, jusqu’au plus grandes sont gérées de manière à leur donner plus de pouvoir dans la gestion. On n’en arriverait à ce que même quand un Maire reçois une délégation d’autres Maires de Villes étrangères, ou d’investisseurs, le Président de la République ne soit même pas obligé d’être mis au courant ou de les recevoir ! Les services compétents se chargeraient de faire leur job pour que ces investisseurs aient satisfaction.
Force est de reconnait k malgre tt ce qu’on dit de lui,je ne vois personne de meilleur k lui.il est l’unique choix.nguen balma nak,wa salam
IL EST LE MEILLEUR
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