Depuis peu le Sénégal est entré dans une nouvelle phase politique de son existence, non pas parce qu’il a accompli un pas de géant dans le renforcement de la démocratie, mais plutôt parce qu’il a fait du surplace, pire encore, il a fait une pirouette et une roulade arrière. L’entrée de FASSATOUMA YENE au gouvernement n’est pas sans conséquence dans la redistribution des cartes politiques car elle a occasionné de facto un positionnement obligatoire des acteurs politiques ,par rapport à cette brutale et surprenante nouvelle donne. Désormais une ligne de partage éthique fait critère intangible pour marquer au fer rouge et séparer les politiciens véreux, sans vergogne et les hommes politiques à l’engagement fiable. C’est à saluer la naissance de nouveaux fronts politiques tels Jotna/CRD ou Sonko/Khalifa Sall dont l’ancrage dans l’opposition radicale ne fait l’ombre d’un doute. FASSATOUMA YENE occupe la tête de liste des politiciens tocards dont la poche trouée et la volatilité de leur parole et engagement déterminent leur positionnement. La capitulation éthique et politique de Idrissa Seck sera considérée comme le principal et indépassable ignominieux reniement de la politique au Sénégal dans les temps modernes. Qui peut accepter que ce gus du Kajoor, ce politicien-girouette ,comme il convient de le qualifier maintenant était en négociation-waxaalé depuis quinze bons mois ?Et ce qui est dramatique dans ce contexte de guigne, c’est que son entrée a fini d’assassiner le peu d’espoir qui retenait encore les jeunes au pays. Depuis ce temps, les hécatombes juvéniles peuplent les océans, des côtes sénégalaises « dépoissonnées » aux côtes espagnols des grandes Canaries. Un nombre incalculable de jeunes comme poussés par une force mystique se bousculent dans des rafiots pour fuir le Sénégal. Depuis ce temps, il nya pas de sénégalais fier qui ne souffre de ce profond trou de merde causée au gentleman agreement sur lequel se sont arrimés les leaders politiques significatifs de l’opposition sénégalaise. Vraiment il nya qu’un FASSATOUMA YENE assez tordu, assez imprudemment impudent pour oser justifier par l’intérêt national, la démarche funeste et amorale de son sabordage politique couronné par son insipide et ridicule nomination à la tête du budgétivore CESE dont il se promettait d’être le sacrificateur une fois élu. Sous sa perfide langue, il est devenu le courtisan démagogue et fumiste qui fait croire à la population, que c’est parce que depuis l’apparition de la Covid 19 la lune apparait en plein midi, le soleil à minuit. Qui ne se souvient pas de sa odieuse et ahurissante déclaration de justification ! Mais comme un crime n’est jamais parfait, Dieu lui a fait fourcher la langue, en lui faisant dire que les négociations-waxaalé ont duré 4380 jours ou quinze longs mois si vous préférez, le temps que n’a pas duré la Covid 19. La honte du siècle !Pour une poignée de CFA ,plus de quarante ans de carrière politique sont partis en fumée .Idrissa vient de montrer sa face de monstre hideux qu’il faut amputer avec un sécateur telle la destruction de l’hydre de Lerne par Hercule. Cette violence expressive qui éclate dans la lisibilité immédiate de notre texte est loin d’être une rhétorique injurieuse, encore moins un appel au meurtre physique, mais une détermination à combattre FASSATOUMA YENE et travailler à son enterrement politique sous quelque forme légale que ce soit. Cela est tellement vrai qu’il s’est livré tout dernièrement à une danse macabre, se trémoussant comme un vieux chameau et applaudissant à tout rompre à chaque mot de son nouveau mentor tel le bouffon du roi. Nous venons de découvrir en mondovision ses talents de saltimbanque-mbandakat. Cette résolution est à la hauteur de la trahison politique et de la félonie morale accomplies par le gus du Kajoor. Imaginez toute la théorétique programmatique sur laquelle il avait battu campagne, pour ensuite tromper les sénégalais qui l’avaient voté massivement. En effet ,nous pensons que celui qui a négocié quinze mois à l’insu des citoyens, des structures de son parti, des fronts et coalitions dans lesquels il était partie prenante est un ennemi de toute liberté de penser et de toute démocratie .Il est devenu le danger public numéro un, il doit être décrié à l’indéfini et monté en épingle comme l’incarnation vivante du reniement moral, politique et religieux. Son reniement-apostasie pour du pain au lait, du mbourou ak sow ne doit pas être passé sous silence. Une souillure morale indélébile, assimilable à une mare noire fétide dans laquelle il se vautre pour se salir définitivement telle la bête immonde du champ politique sénégalais. A l’aune de ce que représentait Idrissa Seck dans le patrimoine politique immatériel de notre nation, et inversement à sa trahison historique, il sera impardonnable à qui que ce soit de lui faire place demain dans l’opposition, car pour qui sait lire, les signes avant-coureurs de son renvoi sont déjà visibles. Lui qui était l’aimant autour duquel s’étaient agrégées les têtes d’affiche de l’opposition sénégalaise, est devenu son repoussoir. Quelle fin tragique d’une bête politique morte par auto-strangulation!Quel gâchis ! Imaginez encore que celui-là était élu en 2019 !Je vous laisse conjecturer sur la suite.
ALIOUNE SECK
GABON
Idrissa Seck alias Fassatouma yene ou le nouveau saltimbanque de Benno Bokk Yaakaar (Par Alioune Seck)
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Alioune Seck l’auteur de cet perfide article, as tu déjà voté une fois pour Idrissa Seck? Reponse: Non!! Donc vas te promener petit, Idy n’a rien perdu. Tu n’a pas contribué à sa carriere politique de 40 ans, tu n’as pas la lecture du moment pour prédire qu’elle est bousillée. Tu augmenteras le nombre de pauvres malheureux ennemis décus et Idy ne s’en portera que bien
Menteur . Idy est deven caca