Au risque d’enfoncer le clou, « L’As » est en mesure d’affirmer, entre autres, que face à Robert Bourgi, Idrissa Seck n’a pas été tendre avec Macky Sall dont il a affirmé qu’il n’aura même pas 3% à la présidentielle, après avoir théorisé les faiblesses de Benno. « L’As » répète encore qu’avant de voir Idrissa Seck, Robert Bourgi a demandé l’autorisation au Président Wade et à son fils Karim Wade qu’il a ensuite rencontré avant-hier. Ce que les services de communication du ministre d’Etat, très prompts à « rectifier » les « contrevérités » écrites sur leur patron, ne démentiront jamais. Bourgi doit sans doute se dire dans son for intérieur que Idrissa Seck, « y a pas son deux ».
Cheikh Mbacké GUISSE, lasquotidien.com /xalimasn.com