C’est une vérité, tant bien que mal, acceptée que le phénomène de « vedettariat » ait fini de gagner sa place parmi les valeurs qui alimentent nos changeantes mœurs populaires. De grandes vedettes issues de divers segments de notre société se projettent régulièrement au devant de notre bouillonnante scène publique : sportifs, musiciens, artistes, hommes de culture, icônes des médias et plus récemment personnages politiques et chefs religieux. Il existe plusieurs termes ou expressions à connotations affectueuses qui renvoient à cette si envahissante réalité : Star, vedette, coqueluche, l’homme du…, le prophète du…, l’enfant prodige, ndanaane, pounkal, kéémaan, nijaay’u xalé yi, etc.,…
Ce qui est tout nouveau, par contre, c’est la mode de la » starisation ».
La différence je vous l’ai dis, même si la tendance, de nos jours, est de les confondre : le ve