xalima-news-C’est comme dans une traque mais pas celle des biens mal acquis mais d’un homme.Pas ennemi public, mais de son propre camp, la mouvance présidentielle. Depuis longtemps, Abdoul Mbaye a été le punching-ball des frustrés et des faucons du palais, sous la houlette de la première dame, selon la presse dakaroise. L’homme a pris des coups. Il a résisté. Mais finalement le « Abdoul bashing » l’a emporté.
Macky Sall aura du mal à convaincre sur les raisons qui l’ont poussé à limoger le chef du gouvernement. L’affaire Habré et le manque de résultat ne suffiront pas pour expliquer cette subite révocation. Dans le cercle restreint du palais, Adoul Mbaye était l’homme à abattre. Ils ont travaillé le président à lui faire comprendre qu’il n’était pas l’homme de la situation. D’aucuns même se sont rabattus sur sa femme, Marième Faye Sall pour qu’il soit démis et remplacé par Aminata Touré, la chouchoute des militants de l’APR et de la presse.
Ses relations exécrables avec certains conseillers comme Diagna Ndiaye n’ont pas plu au président de la république. Des journaux dakarois ont été instrumentalisés depuis le palais pour tirer sur le premier et lui faire porter la responsabilité de ce fameux slogan » Deukeu bi, dafa Maka ».
En attendant le nouveau PM, les faucons dansent, Abdoul Mbaye négociera prochainement et sûrement son retour à la tête de Attijari Banque.
dans tous les cas s’il veut rester dans la politique ,je militerai(pour la premiere fois de ma vie) pour Abdoul Mbaye. Sa fortune n’est pas issue des largesses d’un voleur et il n’est pas voleur lui même.
enorme erreur
le senegal est par essence mechant.voici quelqu un oau moins qui a mis en pratique le slogan du patriotisme et qui se voit trahi par ses propres collaborateur.quand je vois des gens crie sur tte la planete quil font de la politique pour defendre l interet deasenegalais je me dis qui ils nous prennes pourdes deumeres.si tu ne peux pas gerer ta propre maison commment peux tu gerer un peupe
tjieyyyyyyyyyyyyyy journaliste Abdou négocié pour retourner alors qu’il avait quitté la CBAO depuis des siècles et dirigé entre temps d’autres banque il avait pris sa retraite
Merci, SIMON