XALIMANEWS- Pour faire face, à l’avenir, aux pénuries de médicaments, Annette Seck Ndiaye, dans un entretien accordé à « Source A » repris par Actusen, pense qu’il est tant que notre pays ait une industrie pharmaceutique locale.
«Les premières industries pharmaceutiques, qui sont installées en Afrique de l’Ouest, l’ont été au Sénégal. C’est vrai. Ces industries n’ont pas tenu. Ces industries ne pouvaient pas seulement être tenues par le marché local. Cela demande, également, des capitaux et des mesures incitatives. Il y a des nouvelles initiatives. Il faut les saluer», a-t-elle dit.
Selon elle, «il va falloir beaucoup de capitaux. Mais il n’est pas du rôle de l’Etat de financer ces industries. C’est le secteur privé, qui doit participer, en grande partie, au financement aux cotés des pharmaciens».
Les pharmaciens du Sénégal ne sont que de simples revendeurs de médicaments venus d’Europe. Ils ne fabriquent rien. Je préfère les remèdes naturels ainsi que les prières.