La violence et le volume des pluies qui se sont abattues sur Dakar demande, il est certain, des décisions urgentes mais aussi prospectives qui vont demander et du courage et des moyens.
Voilà chers dirigeants, hérauts de la rupture, une bonne raison de ne pas reconduire ce Sénat si coûteux et dispendieux en s’attaquant aux urgences.
On pourrait ainsi financer les mesures nécessaires au règlement définitif de cette récurrente catastrophe qui perdurent depuis le Sénégal des indépendances.