XALIMANEWS-Les patrons de presse qui ont tenté de contourner les règles en se transformant en «dealers» pour faire valider leurs médias risquent de grandes désillusions avec la publication imminente de la liste définitive des médias reconnus par l’État.
Selon SourceA, dans son édition de ce vendredi, le ministère de la Communication, des Télécommunications et du Numérique a détecté des tentatives de fraude organisées par certains responsables d’organes de presse.
Après la publication de la première liste provisoire, certains médias ont sollicité des journalistes expérimentés, ayant accumulé entre 7 et 10 ans d’expérience, pour les désigner comme rédacteurs en chef ou directeurs de publication. Ces patrons leur demandaient d’envoyer leurs CV, parfois moyennant une somme d’argent, pour ensuite déposer ces dossiers sur la plateforme de reconnaissance.
Selon le quotidien, ces pratiques avaient pour objectif de contourner les exigences établies, mais elles n’ont pas échappé à la vigilance des services du ministère dirigé par Alioune Sall. En effet, le ministère a constaté des irrégularités, notamment des «doublons» concernant des journalistes occupant les mêmes fonctions dans plusieurs médias différents. Dans son communiqué publié récemment, le ministère a mis en lumière ces anomalies, révélant l’utilisation abusive d’un même CV pour parrainer plusieurs dossiers.
Cette situation, qualifiée de fraude, a conduit à une enquête approfondie menée par les services compétents. Le ministère effectue actuellement les vérifications nécessaires et semble déterminé à sanctionner les contrevenants. Les patrons de presse impliqués risquent non seulement de voir leurs candidatures invalidées, mais pourraient également faire face à des poursuites judiciaires. Les sanctions prévues pourraient être lourdes, mettant en garde les acteurs concernés contre les conséquences de leurs actes.
La presse sénégalaise est devenue championne DU FAUX.
1. Faux sur l’information qu’elle publie
2. Faux sur les impôts qu’elle collecte pour l’état puis les confisqué : vol.
3. Faux sur le manque d’impartialité, toute la presse sénégalaise est devenue encartée aux partis politiques ou a des hommes d’affaires de sorte qu’aujourd’hui il faut d’abord savoir qui donne l’information avant de la lire.
4. Aujourd’hui plus grave faire du FAUX ET USAGR DE FAUX. Les journalistes qui sont utilisés dans cette triche doivent être retirés du monde de la presse sénégalaise pour au moins cinq ans.