Le Président est souvent accusé à tord ou à raison de défendre Karim Wade. Ce qui ne saurait arranger ce dernier s’il veut faire une carrière politique.
Invité à l’émission Remue-ménage de la Rfm, M. Cheikh Tidiane Diaw, Chargé de cours au Département de Travail social à l’Université de Québec, estime que la question est délicate, surtout que l’origine de ce hic vient de l’architecture du Gouvernement. «Il est normal qu’un Président de la République fasse des sorties pour défendre son Gouvernement et ses ministres. Pour ce qui est de Karim, il est ministre, de surcroît fils de Président. Donc, l’affaire est extrêmement délicate » a fait savoir M. Diaw.
Pour cela, il estime qu’il appartient à Karim de descendre sur le terrain, d’expliquer et ceci pour les besoins de sa gestion. «S’il a envie d’enfourcher une carrière politique, il ne peut pas faire l’économie de cette descente et de cette intervention » a conseillé M. Diaw.
Selon lui, le Ministre des infrastructures a manqué non seulement de communication à propos du livre de Latif Coulibaly mais encore d’organiser des rencontres pour satisfaire les attentes des populations en ce qui concerne les questions qu’elles sont en droit de connaître sur l’ANOCI. « Je pense qu’il porte l’entière responsabilité. Aujourd’hui, s’il est ministre ou responsable dans l’Administration, il faut qu’il fasse de plus en plus face aux Sénégalais. Il doit rendre compte à travers des débats publics » a estimé l’enseignant.
Charles Thialice SENGHOR
pressafrik.com
ces leches-c aui rodent autour de karime……………….il ya combien de senegalais de pure souches a briguer la politique pour devenir president……….on s en faut de ce voleur comme son pere qui detruit le pays………….