La fille de joie en question s’est livrée au jeu de questions réponses de notre confrère du journal Grand’Place. Fatou, certainement un nom d’emprunt, explique pourquoi, en dehors de ses heures de travail chez une autorité locale à Kédougou qui ne connait rien de son autre métier, elle s’adonne à la prostitution. A l’en croire, c’est le dénuement total dans lequel elle et sa grand-mère vivent qui l’a poussé dans les bras de la nuit. « Si j’ai accepté de me lancer dans la prostitution, c’est parce que je n’ai pas d’oncles ni de frères, puisque je ne connais pas les parents de mon père », argue-t-elle.
Son premier rapport sexuel, cette orpheline de mère dit l’avoir eu à l’âge de 12 ans. Son bourreau, un homme à qui elle avait demandé la somme de 500 francs pour acheter des chaussures, lui proposât de coucher avec lui. « Un acte que je n’oublierai jamais », pleure-t-elle. Tout comme son quotidien qui ne lui rapporte rien. « Physiquement, je suis malade, financièrement, je ne gagne pratiquement rien », geint Fatou qui cependant, n’est pas prête à quitter la prostitution. Triste sort, non ?
Fou Malade quanT à lui dit qu’il fume du Yamba en direct.
ou va le Sénégal
http://marodi.tv/visionnage.php?numero=247565
AU SENEGAL
SCANDALE AU MINISTERE DE LA SANTE : 500 MILLIONS Fcfa BUDGETISE POUR L’ACHAT D’UN APPAREIL CORONAROGRAPHIQUE DISPARAISSENT.
L’information est de nos confrères de l’As qui estiment que c’est « encore un parfum de scandale qui porte sur des centaines de millions au Ministère de la santé. En effet, pour acquérir un appareil coronarographique qui coute un million de Dollars américains soit 500 millions Fcfa, le Dr Abdoul BA, patron de la Cardiologie au niveau de la Faculté de médecine de l’Université Cheikh Anta DIOP de Dakar (UCAD), avait saisi le Directeur de l’Administration Générale et de l’Equipement ( DAGE) du Ministère Dr Youssouph NDIAYE actuel Directeur du Centre Hospitalier Abass NDAO.
Selon une source du journal, ce dernier avait inscrit cet achat plusieurs fois dans le budget du Ministère de la Santé. Seulement, confie-t-il, jusqu’à ce jour, rien.
Une source médicale fait savoir que si l’appareil était disponible aujourd’hui, le pays n’aurait pas besoin d’enrichir des pays comme la France ou le Maroc. On pourrait non seulement relever le plateau technique, mais aider les patients en réduisant considérablement les