Le signe le plus tangible de la lâcheté, c’est le silence non justifié.
L’absence de référent vivant sur le plan intellectuel, moral et spirituel au
Sénégal est en train de rendre fragile le tissu socioculturel sénégalais, qui
jadis était considéré comme un exemple pour une grande partie d’hommes et de
femmes à travers le monde. C’est cette terre dont l’Islam s’est sédimenté depuis des
siècles pour fonder une culture, une tradition, et un enracinement islamique des
plus solides. C’est ce pays de War Diabi, de Malick SY de Boundou, de Sergine Khali
Amar Fall, de Souleymane BALL, de Tafsir Ndoumbé DIOP, de Cheikhou Oumar Tall,
d’ El hadji M
L’absence de référent vivant sur le plan intellectuel, moral et spirituel au
Sénégal est en train de rendre fragile le tissu socioculturel sénégalais, qui
jadis était considéré comme un exemple pour une grande partie d’hommes et de
femmes à travers le monde. C’est cette terre dont l’Islam s’est sédimenté depuis des
siècles pour fonder une culture, une tradition, et un enracinement islamique des
plus solides. C’est ce pays de War Diabi, de Malick SY de Boundou, de Sergine Khali
Amar Fall, de Souleymane BALL, de Tafsir Ndoumbé DIOP, de Cheikhou Oumar Tall,
d’ El hadji M
Comme si Cheikh Ahmadou Bamba<> na jamais rien fait pour l’Ismail au point d l’oublier kan venu l moment de citer les grands serviteurs d la religion. Alrs k si ce n’etait lui on serai en train d parler d’autre choz car l’Islam »raflee wone na ay diamono te limou si liguey ba delossi wat diine si placame nit nit nieme wou ko wone ba diko khalaate » La prochaine foi reflechi bien car »kii dou kouniuy faatee » aussi » kou l’Islam yiitel deug deug te nior la bo toude diine si rewmi dinga ko si djiital.
Mouride va apprendre ta religion. L’Auteur de cette extraordinaire contribution a voulu citer par ordre les précurseurs de l’Islam au Sénégal. Serigne Touba s’est toujours référé de Ghazali, de Abdoul Khadre Jeylani et tant d’autres.Il n’est pas comme toi ignorant des preceptes même de ta religion.