Que cherche-t-on en mettant en avant la qualité d’épouse d’Ousmane Ngom ? A la suite de la publication par le magazine «La Gazette» paru le 2 sept 2010 d’un article tendancieux et manifestement diffamatoire, à bien des égards, mettant en cause l’honorabilité et la probité de Mme Aline Ngom, en sa qualité de gérante de sociétés, dans ses relations avec un de ses associés, nous tenons d’ores et déjà, et sous réserves d’user des voies de droit appropriées pour rétablir la vérité des faits et confondre les rédacteurs dudit article ainsi que leurs inspirateurs, à porter à la connaissance de l’opinion les informations et précisions ci-après :
1- La Société Platinum Group a été créée par Madame Aline Ngom et M. Roland Achu LIFU accompagné de deux petits porteurs. Mais à ce jour ni M. Achu ni les deux autres petits porteurs n’ont jamais versé un franc pour s’acquitter de leurs parts (actions). C’est Mme Ngom qui a intégralement payé pour leur compte toutes les actions par le biais de sa société Global Partners, elle a aussi assuré le démarrage et le fonctionnement de la nouvelle société. Cela est vérifiable.
2- Cette affirmation montre également que Global Partners a été créée bien avant Platinum Group. En effet, Global Partners a été créée depuis 1995 soit bien avant l’alternance. Ensuite, Global Partners a aussi pris en charge presque toute la logistique et l’équipement de Platinum Group qui a à peine un an d’existence. Mieux, Global Partners était pour les fournisseurs de lait la caution (la garantie) à tel point que tous les connaissements destinés à Platinum Group étaient sous couvert de Global Partners. Cela est aussi vérifiable.
3- Me Ousmane Ngom n’a connu ni d’Adam ni d’Eve M. Achu, ne l’a jamais reçu dans son ministère ni dans une quelconque de ses Directions. M. Achu et sa femme lui ont tout simplement été présentés par Madame Ngom comme ses partenaires commerciaux introduits auprès d’elle par un agent de Global Partners.
4- S il y’a arnaque ou escroquerie, cela ne peut être que le fait de M. Achu poursuivi par ses autres partenaires qui ont découvert sur le tard toutes ses turpitudes et tous les détournements auxquels il a procédé à leur encontre. Leurs plaintes sont vérifiables auprès des instances judiciaires du pays, notamment de la DIC.
A notre connaissance, à ce jour, aucune plainte n’ a été déposée pour escroquerie concernant Madame Aline Ngom.
Que cherche-t-on en mettant en avant la qualité d’épouse d’Ousmane Ngom ?
En jetant en pâture à l’opinion une honorable mère de famille, cadre supérieure du pays, qui a durant travaillé depuis bientôt 20 ans pour bâtir son patrimoine sociétal, en se fondant uniquement sur les accusations mensongères et unilatérales d’un associé douteux qui veut se présenter sous les habits d’une victime, le moins qu’on puisse dire c’est que la Gazette n’a fait preuve ni de professionnalisme, ni d’objectivité, encore moins d’honnêteté intellectuelle. Pire, il est clair qu’il s’agit là d’un parti-pris manifeste voire d’une cabale dont l’objectif, au-delà de l’épouse incriminée vise d’abord à atteindre le mari (Ousmane Ngom dont le nom a été cité plus de dix fois dans l’article) qui est un homme public qui ne manque pas d’adversaires acharnés et peu courageux, et qui, jusqu’ici, a résisté à toutes les bourrasques.
On est aussi amené à se poser beaucoup de questions…
Pourquoi affirme-t-on dans l’article que Madame NGOM a fait l’objet d’une convocation à la DIC alors qu’une simple vérification aurait permis de savoir que telle convocation n’a jamais existé, pas plus que de prétendues intimidations qu’elle et son proche y auraient reçues ?
Pourquoi affirme-t-on que la procédure opposant Madame NGOM et son associé, et qui porte sur une simple demande d’expertise formulée par M. ACHU, a fait l’objet d’un renvoi sine die alors qu’une vérification aurait permis de s’apercevoir que cette affaire figure toujours au rôle du tribunal où elle sera évoquée la semaine prochaine ?
On n’ose croire que la Gazette a pris pour argent comptant toutes les déclarations de celui pour qui, manifestement, dés lors, il prend fait et cause.
Ensuite :
– L’épouse d’un homme public n’a-t-elle pas le droit d’être une économiste formée dans les meilleures écoles, de créer son propre business et de devenir prospère ?
– En quoi « un investisseur » camerounais, mais britannique pour la circonstance, est-il forcément plus vertueux et plus méritant pour que sa parole ou ses déclarations valent de l’or face à celles d’une citoyenne sénégalaise ayant fait ses preuves, dans au moins trois organisations internationales, avant de fonder son propre business ?
– Si ce n’est pas un complexe d’infériorité, ça y ressemble beaucoup.
Patriotisme économique ou es tu ?
Patriotisme tout court ou es-tu ?
Fait à Dakar, le 4 Septembre 2010
La Direction Générale de Global Partners
INT DE Mme Aline NGOM DG DE LA SOCIETE GLOBAL PARTNERS
Que cherche-t-on en mettant en avant la qualité d’épouse d’OUSMANE NGOM ?
A la suite de la publication par le magazine «La Gazette » paru le 2 sept 2010 d’un article tendancieux et manifestement diffamatoire, à bien des égards, mettant en cause l’honorabilité et la probité de Mme Aline NGOM, en sa qualité de gérante de sociétés, dans ses relations avec un de ses associés, nous tenons d’ores et déjà, et sous réserves d’user des voies de droit appropriées pour rétablir la vérité des faits et confondre les rédacteurs dudit article ainsi que leurs inspirateurs, à porter à la connaissance de l’opinion les informations et précisions ci-après :
5- La Société Platinum Group a été créée par Madame Aline NGOM et M. Roland ACHU LIFU accompagné de deux petits porteurs. Mais à ce jour ni M. ACHU ni les deux autres petits porteurs n’ont jamais versé un franc pour s’acquitter de leurs parts (actions). C’est Mme NGOM qui a intégralement payé pour leur compte toutes les actions par le biais de sa société Global Partners, elle a aussi assuré le démarrage et le fonctionnement de la nouvelle société. Cela est vérifiable.
6- Cette affirmation montre également que Global Partners a été créée bien avant Platinum Group. En effet, Global Partners a été créée depuis 1995 soit bien avant l’alternance.
Ensuite, Global Partners a aussi pris en charge presque toute la logistique et l’équipement de Platinum Group qui a à peine un an d’existence.
Mieux, Global Partners était pour les fournisseurs de lait la caution (la garantie) à tel point que tous les connaissements destinés à Platinum Group étaient sous couvert de Global Partners. Cela est aussi vérifiable.
7- Me Ousmane NGOM n’a connu ni d’ Adam ni d’ Eve M. ACHU, ne l’a jamais reçu dans son ministère ni dans une quelconque de ses Directions.
M. ACHU et sa femme lui ont tout simplement été présentés par Madame NGOM comme ses partenaires commerciaux introduits auprès d’elle par un agent de Global Partners.
8- S il y’a arnaque ou escroquerie, cela ne peut être que le fait de M. ACHU poursuivi par ses autres partenaires qui ont découvert sur le tard toutes ses turpitudes et tous les détournements auxquels il a procédé à leur encontre. Leurs plaintes sont vérifiables auprès des instances judiciaires du pays, notamment de la DIC.
A notre connaissance, à ce jour, aucune plainte n’ a été déposée pour escroquerie concernant Madame Aline NGOM.
Que cherche-t-on en mettant en avant la qualité d’épouse d’Ousmane NGOM ?
En jetant en pâture à l’opinion une honorable mère de famille, cadre supérieure du pays, qui a durant travaillé depuis bientôt 20 ans pour bâtir son patrimoine sociétal, en se fondant uniquement sur les accusations mensongères et unilatérales d’un associé douteux qui veut se présenter sous les habits d’une victime, le moins qu’on puisse dire c’est que la Gazette n’a fait preuve ni de professionnalisme, ni d’objectivité, encore moins d’honnêteté intellectuelle. Pire, il est clair qu’il s’agit là d’un parti-pris manifeste voire d’une cabale dont l’objectif, au-delà de l’épouse incriminée vise d’abord à atteindre le mari (Ousmane NGOM dont le nom a été cité plus de dix fois dans l’article) qui est un homme public qui ne manque pas d’adversaires acharnés et peu courageux, et qui, jusqu’ici, a résisté à toutes les bourrasques.
On est aussi amené à se poser beaucoup de questions…
Pourquoi affirme-t-on dans l’article que Madame NGOM a fait l’objet d’une convocation à la DIC alors qu’une simple vérification aurait permis de savoir que telle convocation n’a jamais existé, pas plus que de prétendues intimidations qu’elle et son proche y auraient reçues ?
Pourquoi affirme-t-on que la procédure opposant Madame NGOM et son associé, et qui porte sur une simple demande d’expertise formulée par M. ACHU, a fait l’objet d’un renvoi sine die alors qu’une vérification aurait permis de s’apercevoir que cette affaire figure toujours au rôle du tribunal où elle sera évoquée la semaine prochaine ?
On n’ose croire que la Gazette a pris pour argent comptant toutes les déclarations de celui pour qui, manifestement, dés lors, il prend fait et cause.
La Direction Générale de Global Partners
(Source : Première Ligne)