Mada Bâ a échappé de justesse à un coup de barre de fer le jour de la Tabaski, des œuvres de Maguette, le soi-disant, « fou » de Scat-Urbam. Selon nos radars, l’interprète de « Gorée », accompagnée de son fils, se rendait chez sa mère quand un agresseur l’a attaquée avec une barre de fer. L’intention du délinquant (elle le voit tous les jours à son réveil) était de l’atteindre avec mais comme Dieu assiste toujours les femmes, elle s’en est tirée avec une blessure qu’elle traîne encore. En effet, la barre de fer a glissé des mains de son agresseur avant que celui-ci n’ait le temps de passer à l’acte. Selon nos capteurs, n’eut été cet heureux hasard, on ne parlerait plus aujourd’hui de Mada qui serait passée de vie à trépas. Lors de cet accrochage, la chanteuse a perdu son sac à main qui contenait de l’argent et ses pièces. Quelques jours plus tard, elle les a retrouvés quelques jours après. Quelqu’un est venu l’apporter à sa maman en soutenant les avoir ramassés dans une poubelle.
Agression (bis)
Partie déposer une plainte comme tout citoyen qui a perdu un bien, la chanteuse a été surprise d’entendre les policiers lui balancer qu’ils ne peuvent rien contre le gars. « Il est connu du quartier. Que c’est un malade mental qui ne jouit pas de toutes ses facultés mentales. Il n’en est pas à sa première tentative », lui ont-ils balancé. Et quoi encore ? Mais, est-ce qu’il faut continuer à le laisser s’en prendre impunément à des femmes au point d’installer la psychose chez toutes les bonnes dames et les enfants de la cité ? Oh que non ! Connaissant le goût immodéré de Bécaye Diop pour la sécurité, il n’y a pas de doute que cet épisode ne sera plus qu’un… Souvenir.
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