Plus d’un an après l’accession de Macky Sall à la tête de la magistrature suprême, les critiques ne fusent pas seulement contre celui que les sénégalais ont porté à la tête de la magistrature suprême, un certain 25 mars 2012. Des attaques ciblées contre la première Dame Marième Faye Sall à qui l’on reproche de placer dans des postes stratégiques de l’État ses parents et proches.
EnQuête a essayé d’en savoir plus, pour faire le point entre la réalité et le construit dans ces critiques contre une femme qui dérange certains cercles politiques. Une immersion dans la vie de Marième Faye Sall, surtout durant la période de la traversée de désert, explique bien sa position stratégique, enviée, mais bien inconfortable…
C’ est un de ses proches qui tient ces propos surannés : “N’importe où au Sénégal, dans le coin le plus reculé, quand on nomme un sous-préfet, s’il a pour nom de famille Faye, la vindicte populaire ne se demandera pas s’il est un cadre méritant et s’il est compétent. Son nom de famille suffira pour le faire condamner. On dira que c’est le frère de la Première Dame. J’en ai déjà compté une centaine et la liste s’allonge tous les jours. A ce rythme, ils ont bien raison de parler de dynastie. Il y a sans doute des malhonnêtes qui seraient heureux de compter parmi “les frères” de la première Dame.”
La remarque, pour fâcheuse qu’elle soit, rend compte de l’irritation sur la peau de ses proches que causent, désormais, les commentaires qui portent sur Marème Faye, l’épouse du président Macky Sall. La jeune Marie Thérèse Faye est nommée à la tête de La Case des toutpetits, les « revueurs » de presse s’emballent au petit matin, soulignant que la première Dame est à la base de cette promotion de sa soeur cadette.
Tamsir Faye, un responsable des jeunes de l’Apr de Paris devient Consul à Marseille après une bonne année d’attente, les compteurs se mettent encore en marche, pour dénombrer et dénoncer le fait que l’épouse de Macky Sall ne se gêne pas à caser “son frère”. Quand les proches du président de la République s’en indignent et s’en plaignent, les “revueurs” de presse, qui agrémentent leurs lectures de vertes petites tirades pimentées, ont déjà porté la nouvelle jusqu’au coin le plus reculé du pays, suscitant les indignations et les hoquets de leurs auditeurs qui s’épouvantent quand ils ont l’oreille collée au transistor pour écouter leur star les nourrir de ses nouvelles matinales.
Le dernier en date est un autre “frère”, Mahwa Faye, nommé au Conseil économique, social et environnemental, en même temps que M. Amadou “Thimbo”, le nom qu’il ne faudrait plus porter, quand on ne veut pas se faire accuser de “parent” du président Macky Sall. Le premier n’a aucun lien de parenté avec la première dame, le second n’est parent du président que de nom. Ce que les détracteurs de la première dame aiment le plus à souligner pour s’indigner goulument et allonger leur liste des “membres de la dynastie”.
Les Timbo ont beau faire les démentis nécessaires, assurer qu’il ne s’agit que d’une ressemblance de nom, il en restera toujours un brin de vérité pour alimenter les ragots du lendemain. Le nouveau conseiller économique de Kaolack “frère” médiatique de la première Dame s’en plaindra et dira même qu’il est le père d’un journaliste bien connu. Il n’arrivera jamais à réveiller le brin de regret qu’il attend des “amis” de son fils.
C’est trop beau pour que telle histoire puisse être fausse. Si ce n’est pas un frère, c’est peut-être un cousin, susurrent-ils, confiants. La vérité est qu’aucune de ces personnes citées n’a le moindre lien de parenté avec Marème Faye ou Macky Sall. Thimbo n’est pas l’oncle de Macky Sall, comme Sara Sall, présent sur la liste, n’est pas son frère. Mais un homme est-il nommé Pca le lendemain qu’il se voit rappeler par les historiens en paille qu’il a été “tailleur” de Marème Faye ?
Son militantisme dans l’Apr, ses faits d’armes, sa fidélité à son parti parti, il se les fait ranger dans les pelotes et les bobines de sa machine à coudre. La première Dame fait mine de ne pas s’en faire, mais son dédain ne fait que nourrir la conviction des commentateurs, assurés que s’il n’y a pas de démenti, ce n’est point par mépris, mais que “quelque chose doit être vrai, dans tout cela”.
Combattante de l’Apr
Les critiques fusent, mais il y a une période, difficile celle-là, de souffrances et de privations, pendant laquelle cette femme, au teint d’ébène, à la fois affable et distante que Macky Sall a rencontrée à Diourbel alors qu’il rendait visite à son ami Mamadou Talla, aurait bien souhaité compter autant d’amis et de parents. Ils ont commencé à la fréquenter quand le mari, cadre-opposant devenu ministre, puis Premier ministre, pouvait aider à ouvrir quelques portes fermées.
Les “parents” ont commencé à redevenir rares quand Macky Sall est redevenu infréquentable, bouté dehors par Wade. C’est pourtant à ce moment que Marème Faye fait preuve d’une loyauté et d’une abnégation qui suscite l’admiration de son époux. Elle l’épaule, l’aide à franchir le cap difficile.
C’est elle qui refuse toute rencontre avec les Wade. Quand Macky Sall doit aller rencontrer le président Abdoulaye Wade qui lui réclamait sa démission, c’est elle qui va faire des exercices avec le mari, en présence de quelques fidèles médusés. “Elle lui disait bon, je suis le président Wade. Tu réponds, si je te dis Macky, je veux que tu démissionnes, quelle va être ta réponse ?” Le mari répondait laborieusement, jusqu’à la satisfaction générale. “Tu vas te battre comme tout le monde, ceux qui sont en train de se battre ne sont pas plus dignes que toi. Dieu est grand. Tu ne peux pas t’être battu pour le faire élire et qu’après, tu sois sacrifié pour son fils”, lui dit-elle quand l’idée vient à certains membres du cercle de renouer avec le “père” Wade.
Ce dernier finira par les punir sévèrement en leur retirant le passeport diplomatique. “A chaque fois qu’ils voyageaient, Marème Faye tenait ses bagages dans ses mains, pour lui éviter la honte, en lui disant : je ne te laisserai jamais déshonoré par ces gens”, témoigne un témoin de la traversée de désert. C’est à ce momentlà que les liens se renforcent, dans une relation qui n’a pas toujours été sans heurts. Marième Faye a dû se bagarrer rageusement pour garder son mari, contre l’avis d’une partie de sa belle-famille qui voyait mal qu’un toucouleur n’épousât pas une autre toucouleur comme lui, mais une sérère.
“C’est en ce temps qu’elle forge sa personnalité, sa force et surtout sa foi qu’elle porte encore en elle. Et pourtant, elle venait d’une famille très aisée, comparée à celle du président de la République. Mais le problème ethnique était là, qui deviendra pourtant le grand avantage de Macky Sall, celui de sa double appartenance. S’il avait épousé une toucouleur comme lui, ceux qui l’ont accusé d’être ethniciste auraient sans doute eu du grain à moudre”
Ces questions aujourd’hui dépassées, le président de la République a toujours compris le parti qu’il pouvait tirer d’une femme aussi loyale, celle qui l’a accompagné pendant tout son parcours. Une rareté en politique, où le divorce et le remariage sont la règle. Macky Sall s’est toujours appuyé sur son épouse et a toujours compté sur son instinct. Alors que son fort est surtout dans la mise en réseau. “Sans elle, le parti aurait sans doute explosé, parce qu’elle trouvait toujours de renouer les liens défaits entre son parti et certains de ses grands souteneurs et amis”, se souvient un ancien cadre entré en disgrâce. C’est sans doute ce qui lui est resté de son métier et de son parcours académique.
Beaucoup de gens voient son aspect négligé, alors qu’elle est bien structurée dans la tête.
Les amis de la famille vont même jusqu’à assurer que le palais pourrait bien se passer d’un électricien, tellement cette femme est compétente dans le domaine. Elle aurait terminé ingénieur, comme son mari, si le mariage ne représentait pas pour elle un impératif religieux bien plus important.
“On reproche à cette dame d’arrêter ce qu’elle a toujours fait pour faire d’un jeune cadre un président de la République. C’est elle qui l’a soutenu, pendant les moments difficiles, pendant la traversée du désert, parfois seuls. Il est arrivé que le moral tombe au plus bas, face aux épreuves, comme cette soirée pendant laquelle Macky Sall a été convoqué par la police. C’est elle qui allait dans les mosquées, demandait des prières pour son mari”, assure un jeune militant, “fils” de la famille. Marème Faye a été de tous les combats. Le 23 juin 2011, jour décisif, elle était en teeshirt, distribuant de l’eau et de la nourriture aux manifestants. Quand, pendant la campagne électorale, le président de la République est en panne d’argent, au point de rentrer à Dakar, c’est elle qui vend ses bijoux en or, les derniers bijoux qui lui restaient, pour tenir son mari dans la course à la présidentielle.
Le réseau d’amis
De tels sacrifices lui donnent une légitimité que peu de gens ont pu avoir dans l’Apr. “Tous, je dis bien tous, sont partis un jour, et sont revenus. Tous ont douté. Il n’y a qu’elle qui ne soit jamais partie. Elle n’avait pas le choix, elle était obligée d’épouser le destin de son mari. Elle nous avait dit : bon, s’il y a de mauvaises nouvelles, venez me dire. Quand il y en a de bonnes, dites à mon mari. C’est ainsi qu’elle a gardé le moral de son époux, pour l’épargner le doute qui ravageait les autres”.
Elle a acquis une telle place que l’analyste politique Souleymane Jules Diop a souligné, un jour, que “les Sénégalais, en élisant Macky Sall, élisent aussi son épouse, qui a autant contribué que lui dans son parcours politique. Comme les Américains, en élisant Barack Obama, ont aussi élu son épouse Michelle. Les grandes réussites des grands hommes politiques sont les réussites de leurs épouses, des Kennedy à Obama, en passant par les Clinton. Elles se sentent de ce fait une légitimité”. Une sortie suffisante pour susciter la polémique.
La première Dame abuse-t-elle de cette position privilégiée acquise par son combat militant ? A-t-elle, comme on le prétend, placé sa famille dans l’appareil d’Etat ? Peu probable, si l’on en croit les personnes désignées du doigt. Il est vrai que son beau-père Homère Seck a été nommé Pca, nomination qui, à l’évidence, dérange. Mais les défenseurs de la première Dame assurent que cette nomination est bien justifiable : “Homère avait été nommé par Wade, mais il avait été nommé Pca dans le quota de la Cdp d’Iba Der Thiam, où il était un grand responsable. Quand Macky Sall est tombé, Wade l’a limogé lui aussi. Il a adhéré à l’Apr où il a fondé le mouvement des personnes du troisième âge et est devenu responsable à Rufisque.
Il est bien normal qu’il retrouve au moins son poste de Pca d’avant. C’est son parcours qui le lui a donné, rien d’autre.” Ils citent le cas de Mansour Faye, autre frère promu à la Solidarité nationale. Sa nomination et sa position actuelle se justifient par son histoire personnelle, liée à la naissance de l’Apr. “Quand l’Apr a été créée, Macky Sall était peu fréquentable. Ce sont les parents de Marème Faye et quelques rares amis du président Sall qui se sont mis au premier plan pour implanter le parti dans l’ensemble du pays.
Mansour a vendu sa maison et ses deux terrains. Il a donné une partie de l’argent comme contribution à la campagne. Il est parmi les 33 personnes qui ont signé la déclaration de création de l’Apr. Aucun des ministres actuels n’était sur cette liste. A ce jour, il est le seul frère de Marème Faye qui a été nommé et il n’est même pas ministre”, soulignent des proches de la famille.
Ces vérités martelées n’empêchent pas la clameur d’enfler contre une dame qui n’est sans doute pas sans quelques défauts. C’est une passionnée qui aime marquer son territoire et défendre ses idées. Un peu trop, diraient certains, au point d’irriter. Elle peut se montrer irritante, parfois agaçante, quand elle veut défendre une conviction, asséner ses vérités quand elle en a et défendre âprement les intérêts de ses amis et combattre ses adversaires. Elle serait aussi très jalouse…
Mais loin de l’image que l’on veut donner d’elle, Marème Faye est d’une simplicité frappante et d’un humour touchant. Sa simplicité en a déjà fait une première Dame pas comme les autres. “Nous étions à Abuja. Elle était avec une garde nigériane. Elle lui a demandé son nom, elle lui a dit qu’elle s’appelait Marème. La première Dame a souri, en lui faisant remarquer qu’elles portaient le même prénom”, confie un journaliste ami de la famille. La garde en était tout de même choquée, pour avoir été rarement abordée avec autant de simplicité. Dans les couloirs, les gardes étaient toujours surpris de voir cette première Dame qui passe parfois pieds nus.
C’est elle, celle qui est peu bien traitée par les médias, qui aide son mari président à garder les pieds sur terre et la tête sur les épaules. De fait, Marème Faye n’a pas plus de pouvoirs qu’en avait Viviane Wade, qui avait des fonds politiques de plusieurs centaines de millions de francs et avait un cabinet avec sa pléthore de gardes du corps et de servantes. Elle n’en a pas plus qu’en avait Elisabeth Diouf, avec sa fondation et ses amis. Mais les Sénégalais doivent d’abord apprendre à vivre avec une première Dame comme eux, une Sénégalaise bon teint qui aime aller au marché sans être accompagnée. C’est peut-être ce qui les fait éructer en premier, au lieu de les rendre fiers.
moi je l’adore tout simplement pour ta dernière phrase,et aussi,c’est tout naturel je la considère un peu comme ma soeur(je suis st louisien;d’ailleurs c’est pour ça que je prefere tirer sur l’apr que directement sur le president,ça sert à ça aussi une première dame) par contre ton texte me laisse un peu perplexe;je me demande si tu ne vas pas avoir le contraire de l’effet recherché?tout le monde serait fier d’avoir une femme comme ça à ses cotés,mais tu viens de demontrer ce que disent les detracteurs de mon goro de presi,son manque de caractere,moi je suis entierement d’accord que l’on nomme marieme vice presidente,comme ça elle sera toujours a cote du presi pour toutes les decisions et en 2017 il en fait une colistiere,d’autre part pour les parents du couple,tu ne peux pas nier l’evidence,quand meme
Facebook perd des visiteurs aux États-Unis et en Europe
—Le Figaro—
Le réseau social se fait concurrencer par des plateformes plus récentes, comme Instagram ou Path. Il table désormais sur les pays émergents et sur les applications mobiles pour compenser ces millions de pertes.
Les internautes américains et européens désertent de plus en plus Facebook. Le réseau social perd en effet des millions de visiteurs sur ses deux principaux marchés, d’après plusieurs cabinets d’études, cités par le Guardian ce lundi. Sur le seul mois de mars, le site de Mark Zuckerberg aurait perdu 6 millions de visiteurs aux États-Unis (-4%) et 1,4 million en Grande-Bretagne (-4,5%), selon les données compilées par SocialBakers. Sur les six derniers mois, la perte s’élèverait à 9 millions de visiteurs américains et 2 millions de britanniques.
Le temps passé sur ordinateur, à surfer sur Facebook, aurait également reculé outre-Atlantique à 115 minutes en février contre 121 en décembre. Et ce même phénomène se retrouverait sur tous les autres marchés importants du réseau social: le Canada, le Japon, la France, l’Espagne et l’Allemagne, laissant penser aux observateurs qu’avec ses 1,05 milliard d’utilisateurs actifs, Facebook a atteint son pic.
Cap vers le mobile
D’après ces derniers, les utilisateurs, notamment les plus jeunes, semblent avoir fait le tour de la plateforme et sont désormais à la recherche de nouveautés. Ils se dirigent massivement vers Instagram, site spécialisé dans le partage de photographies numériques, qui vient de passer le cap des 100 millions d’utilisateurs, moins de trois ans après sa création. Facebook, propriétaire de la start-up depuis l’an dernier, avait du attendre quatre ans avant d’atteindre ce résultat. Le réseau social Path, dont la particularité est de restreindre à 150 le nombre d’ «amis» possibles, revendique également 9 millions d’utilisateurs depuis sa naissance fin 2010, et des millions de recrutements chaque mois.
Conscient de l’essoufflement de ses marchés historiques, Facebook mise aujourd’hui sur les pays émergents. Au Brésil, le nombre de visiteurs a bondi de 6 millions en mars pour atteindre les 70 millions d’utilisateurs. En Inde, il a grimpé de 4% à 64 millions. Mais les revenus publicitaires risquent d’en souffrir. Au quatrième trimestre l’an dernier, l’internaute américain a en effet rapporté 4,08 dollars au groupe, l’européen 1,71 dollar tandis que l’asiatique n’a généré que 0,69 dollar. Dans le reste du monde, les revenus publicitaires ont à peine atteint 0,56 dollars.
Facebook compte s’appuyer plus fortement sur les mobiles, qui ont représenté l’an dernier 23% de ses revenus publicitaires. Son application pour smartphone était utilisée par 680 millions de personnes en décembre et le temps passé sur Facebook via cet outil a doublé sur un an à 69 minutes par mois.
Ces orientations stratégiques devraient être confirmées à l’occasion de la publication des résultats du premier trimestre,ce mercredi. Il faudra beaucoup d’effort pour rassurer les investisseurs: à 26,85 dollars, l’action du groupe affiche déjà une perte de près de 30% depuis son introduction en Bourse en mai 2012.
C’est la dame de fer du Sénégal, je l’ai connue avant que son mari n’était rien du tout, elle portait toujours un ensemble Jean c’est une vraie battante, elle ne sait que travailler dans les bons et mauvais moments, elle est toujours lucide, elle n’est pas une profiteuse, c’est une travailleuse avec ou sans le pouvoir.
Elle pouvait vraiment faire comme toutes les premières dames qui sont passées depuis Senghor jusqu’à Abdoulaye Wade qui est le plus mauvais et vulgaire président qui est passé au Sénégal mais elle ne l’a pas fait et pourtant elle est la plus petite mais aussi la meilleure de toutes. Merci.
Je la juge parce que je la connais et pourtant je suis apolitique. Encore Merci Bonne continuation Mme SALL.
Article de Nettali tire par les cheveux!!!!Comme une commande.La verite Nous avons elu un PR qui a une mission de bien donner la chance a tous.Que Sall Ngari retire a son beau-pere ce contrat sur les logements,c’est bien.l’ethique est est dessus de tout/Pas de Madame pantalon,monsieur pagne au palais.
Parcours très émouvant de cette brave femme, dont l’histoire devrait être mieux connue par nos compatriotes qui ne manqueraient pas de se débarrasser de quelques préjugés fabriqués par de méchantes langues!
Cet article m’a également permis de savoir qui sont réellement monsieur Seck dit Homère et Mansour Faye, ce qu’ils représentent dans le parti depuis les débuts.
Mon opinion sur ces personnes a complètement changé, et je m’en veux un peu de m’être fié à ce que les journaux nous racontaient.
La maxime qui dit : L’ignorance est la mère de tous nos maux » prend ici tout son sens.
Elle est d’une simplicité naturelle. Nous lui souhaitons une longue vie. Et qu’elle serve d’exemple à toutes les femmes du pays de par sa loyauté. Longue vie à Mariem.