Le jorunal Libération est largement revenu sur l’affaire Cheikh Yérim Seck, avec le procès verbal qui donne la version des deux parties. Dans le Pv, « Cheikh Yérim a déclaré avoir rencontré A.Tall lors d’un débat qu’il animait à l’Université Gaston Berger où étudie la fille. La fille lui a tapé dans l’œil et il a envoyé l’un de ses amis Omar Lô lui demandé son numéro. A la fin de la conférence, le journaliste propose à la fille de la magistrate de la ramener. Cette dernière décline l’offre préférant s’accompagner d’une de ses copines. Durant la même soirée, le directeur de publication de Dakaractu lui envoi un sms pour lui souhaiter bonne nuit. Mais le journaliste récuse le viol et affirme que la victime était consentante, mais qu’elle aurait paniqué une fois arrivée chez elle. Le journaliste se dit à prendre d’ailleurs ses frais d’études et l’épouser comme troisième femme pour éviter tout malentendu. Mais cette version est différente de celle servie par la plaignante. Selon elle, Cheikh Yérim l’avait convié à un déjeuner, comme elle devait voyager. Une fois à la résidence « Madamel », on lui a fait comprendre que le journaliste était en haut. Il lui a demandé de monter. Quand elle est arrivée à la chambre numéro 9, elle dit l’avoir vu torse nu, dans la chambre en train de s’affairer devant un ordinateur portable. Le journaliste a commencé à la caresser et ils ont flirté. Avant qu’elle ne comprenne ce qui s’est passé, il avait enlevé son slip pour la pénétrer si violemment qu’elle a hurlé, sauté du lit avant de se réfugier dans les toilettes. Trois employés de la résidence, auditionnés ont affirmé avoir entendu des cris de la fille. Ils ajoutent que quand ils sont montés dans la chambre c’est Cheikh Yérim qui leur a ouvert leur disant qu’il n’y avait rien de grave et que la fille avait paniqué. Aissatou raconte qu’elle s’est enfermée à double tour dans les toilettes et Cheikh Yérim a insisté pour qu’elle ouvre, en la calmant, mais elle lui a dit à travers la porte que s’il ne la laissait pas partir, elle allait encore crier et ameuter les employés. C’est ainsi qu’elle a pu sortir de la chambre. Le gars lui a proposé de la déposer, mais elle a décliné l’offre pour prendre un taxi. Une fois dans le véhicule elle a immédiatement appelé sa sœur pour lui relater les faits et lui demander la conduite à tenir. Cette dernière lui a conseillé d’alerter ensemble leurs parents. Les gendarmes se sont transportés à la résidence pour mettre sous scellés un drap maculé de sang et de sperme. »
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Un homme ne peut suivre la voie du bien et délaisser celle de l’égarement s’il ne sait pas distinguer le vrai du faux. Connaitre le vrai visage du péché est la condition au repentir de tout Musulman…Une faute reconnue est à moitié pardonnée. Nous faisons des pêchés contre notre personne, contre Allah et à nos voisins. Pardonnons et Allah nous pardonnera. Qui peu jurer qu’il n’a pas fait de faute (plus grave même) qu’Allah à caché. Donc ce qui arrive au journaliste peut arriver à tout le monde. LES OLOFS DISENT QUE KOU DIALLA GOUL DEKH DO REETANE KOUYE LAPPE. Nous demandons au père de la fille de pardonner c’est très difficile mais allah est plus indulgent que nous tous.
de toute façon pour moi étant femme je pense y a pas de viol parceque la fille a cherché à voire cheikh yérim seck je l’a conné pas ni la fille ni seck mais le mot viol n’existe pas dans ce dossier pas » watane ba d’accord ».
Cheikh yérim n’a rien fait parceque la fille son papa est magistrat ,il devait éduquer sa fille 0
quiconque condanne la fille est ingrat vue la difference d’age la fille est tombe dans un piege mais l’epouser apres viol n’est que honte cheikh yerim faut mediter les 5 prochaine en prison de ne plus donner rv a des jeunes filles dans des auberges ayant deux femmes au coups honte j’ai honte en tant hommes tu merite peine de mort ou la lapidation devant la place publique quant aux filles senegalaise soyez mefiants un calebasse vide ne peut tromper points pers. du courage garder vos hymenes jusqu’au mariage vous en serrer fieres toutes votre vies