La fugueuse violée et engrossée

M. D. D, 13 ans, a fui son domicile pour éviter de faire l’objet d’une correction de la part de son papa. Elle se réfugie alors chez un certain A. B, qui profite de la nuit pour entretenir des rapports sexuels avec l’adolescente. Mais, celle-ci a contracté finalement une grossesse des œuvres de son bon Samaritain.

Un vieil homme du nom d’A. B. a été interpellé et envoyé au gnouf pour viol suivi de grossesse d’une fille âgée de moins de 16 ans. Cette dernière – ayant l’habitude de fuguer – a trouvé refuge chez le vieillard. Mais, le vieux B, pour héberger la fille dans sa chambre, a proposé de coucher chaque nuit avec la gamine qui a accepté l’offre de son bienfaiteur lubrique. Mais, à force de subir les assauts de son bon Samaritain, la minette contracte une grossesse des œuvres du vieillard.

L’histoire s’est déroulée dans un quartier de la banlieue de Dakar où la fille, M. D. D, 13 ans, y vit avec ses parents. Un jour, la petite provoque la colère de son papa et prend la fuite. Du fait du tempérament de son père, la demoiselle refuse de retourner à la maison, erre longtemps dans les ruelles de la localité et décide de passer la nuit à la belle étoile. Mais, craignant d’être violée, elle sollicite l’aide de son voisin de quartier (A. B) qui accepte et conduit la fille dans la chambre. Le vieil homme rassure d’abord la gamine et promet de garder le silence.

À la tombée de la nuit, le vieillard rejoint la demoiselle dans la pièce et lui propose une partie de jambes en l’air en échange de son silence et surtout de son hospitalité.
La fille écarquille grands les yeux, décline l’offre et explique l’objet de sa fugue à son hôte. Lequel fronce les sourcils et menace de jeter dehors la mineure. Désemparée, la petite accepte et se plie aux quatre volontés de son bon Samaritain qui entretient chaque nuit des rapports sexuels avec l’adolescente. Mais, au fil du temps, elle constate une absence de ses menstrues et conclut à un début de grossesse.
L’affaire éclate et tombe dans l’oreille des parents de la fille qui conduisent cette dernière à l’hôpital où le médecin gynécologue confirme le début de grossesse (3 mois) et en fait la remarque au papa de la petite. Pressée de questions, elle craque et balance son voisin A. B.

«Dans le courant du mois de février dernier, mon père a voulu à deux reprises me corriger parce que je m’étais battue avec mon frère. J’ai pris la fuite pour trouver refuge au domicile du vieux B. afin qu’il aille parler à mon papa. Mais, il a refusé et décidé de m’héberger dans sa chambre pour quelques jours. Il a menacé aussi de me livrer à mon papa si je refusais de coucher avec lui. J’avoue que j’ai très peur de mon père qui est violent. Pour éviter d’être livrée, j’ai finalement accepté de coucher avec lui. Je me suis donnée à deux reprises à ce dernier. Mais, depuis lors, je n’avais plus vu mes menstrues et j’avais mal partout», affirme la mineure.

Convoqué et traîné devant le conseil de discipline des notables du quartier, le présumé violeur réfute les allégations et accusé la fille de vouloir tenir son image de sage et nuire à sa bonne réputation. Il a été toutefois cuisiné et manœuvré par les autorités coutumières locales en vue de lui tirer les vers du nez et éventuellement trouver un arrangement à l’amiable. Mais, face aux dénégations du vieil homme, les parents de la fille déposent une plainte contre lui et se constituent partie civile.

L’accusé a campé sur sa position de dénégations et propose en contrepartie un test Adn à la partie de civile en vue de tirer l’affaire au clair. Toutefois, il a justifié le motif du test d’Adn par le fait de son statut de notable du quartier. «Compte tenu de mon statut de notable dans ce quartier, je ne saurais accepter d’endosser la responsabilité de cette grossesse», dixit le vieux A. B.
WALF GRAND’PLACE via seneplus.com