L’affaire Lamine Diack est douloureuse pour notre pays, au regard de la trajectoire honorable d’un compatriote qui a conduit, au nom de notre continent et la Nation, maintes missions de représentation, négociation, médiation et promotion.
De la manière dont elle est traitée par la presse, à y mêler de façon allusive le Président de la Republique, constitue une imposture.
Une preuve de la mauvaise foi chez certains acteurs de la scène politique et médiatique.
La justice établira assurément la cohérence des faits.
Mais, pourquoi cette précipitation à ciseler aux rayons laser un Chef d’Etat élu par 65% des sénégalais ?
N’est-ce pas une insulte à l’écrasante majorité des sénégalais ?
Des voix autorisées ont déjà clairement démenti toute probable connexion de Monsieur Diack avec le candidat victorieux du scrutin de 2012.
Il nous reste à poser des questions pour susciter la réflexion jà ce sujet.
Un candidat à l’élection présidentielle, peut-il refuser le soutien financier sous forme de don d’un compatriote nanti ?
Comment un homme politique peut connaitre de la provenance licite ou illicite d’un donateur de la dimension de Lamine Diack dont le parcours permet de le créditer d’une richesse honorablement acquise ?
Les moralisateurs et faux prêcheurs d’une éthique hors contexte doivent arrêter ce procès d’intention, car ce n’est pas bon !
Ils doivent commencer par s’interroger sur les châteaux de ces nombreux milliardaires spontanés.
Ne devrions-nous pas prêter davantage attention aux multiples dangers liés au financement et la prolifération des nouveaux réseaux de trafic humain ?
Oui, la problématique des fonds occultes dans le jeu démocratique doit être posée et résolue par l’Etat.
Mais vouloir nous faire croire que ces fonds avaient entaché la volonté populaire au cours de l’élection présidentielle, c’est malhonnête.
Le Président Diouf avait plus de moyens financiers que le Président Wade en 2000, il a été battu. De la même façon, Wade était plus riche que tous les candidats réunis en 2012.Avec ou sans une contribution de Lamine Diack, il serait battu.
Maintenant que ce vieux compatriote, trempe dans un scandale en milieu sportif, il faut lui souhaiter la meilleure issue et laisser la justice faire son travail.
Observer une bonne tenue comme la presse française par rapport au cas Platini.
Platini vaut-il mieux pour le football français que Lamine Diack pour l’athlétisme africain ?
Donald Trump, actuel candidat à la candidature républicaine, très critiqué pour sa propension à liquider de manière suspecte ses casinos, a de manière véhémente répliqué, clamant qu’il avait « financé les campagnes d’hommes politiques, allant des républicains aux démocrates y compris ceux présentement en lice ».
L’équation argent/politique est depuis toujours le nœud gordien de toutes les démocraties.
De la corruption active à l’achat des consciences, des pratiques nocives à extirper de nos compétitions électorales.
La frustration des philosophes comme le Pr Souleymane Bachir Diagne d’avoir la même voix égale dans les urnes que celui qui vend son vote aux enchères, vivra longtemps, malheureusement.
Dans ce scandale, c’est comme si l’opposition attendait une telle bouffée d’air pour respirer, la bulle puante !
Le style allusif qui sert d’arguments de fonds aux détracteurs ne laisse pas le doute sur leurs intentions.
Ecorner l’image d’une autorité, est devenu le jeu favori de nos paparazzis.
Autant pour les questions sensibles pour l’Etat, les mercenaires de la plume sont
à l’affut.
Jeter à tous moments le discrédit sur les institutions du pays, outre c’est un acte antinational, révèle des accointances sordides des auteurs avec ce « parti de l’Etranger »qui les entretient, à leur insu.
Il y a même pire que ce « parti de l’Etranger », c’est cette permanence dans la livraison inconsciente, au mieux offrant des études sensibles à la défense de son pays.
Les professionnels des tirs calculés, si allergiques au « 156eme parti »doivent d’abord nous édifier sur la dignité acquise à travers les aides devenues des accompagnements suivis et entretenues.
Rationaliser et assainir l’espace politique est bel et bien dans l’agenda du pouvoir.
Au Sénégal, une culture de la tolérance, oh combien bénéfique dans une démocratie a permis aux mercenaires de toutes sortes de s’épanouir et prendre en otage le débat politique.
Des intellectuels d’apparence libre-penseur versent quotidiennement dans une propagande néfaste, identitaire, sans considération des conséquences pour notre cohésion nationale.
Ils sont relayés par les brebis galeuses de la presse nationale et internationale, prompte à jeter les hommes intègres en pature, pour peu qu’ils n’aient pas répondu à leurs appels du pied.
Nous sommes dans le seul pays au monde, où on peut dire n’importe quoi, à propos de tout, sur n’importe qui, puis aller dormir tranquillement le soir.
Le lendemain, se réveiller, demander pardon, et sans gène répéter la même chose le surlendemain.
Dans une démocratie ouverte comme la nôtre, avec des espaces multiples de dialogues, la violence ne saurait être une arme citoyenne.
C’est, reconnaissons-le, la violence verbale qui étouffe et pervertie le plus la démocratie.
Vivre dans la bêtise répétitive, permet aux agitateurs de brouiller notre mémoire collective.
Le trop-plein de frustrations et provocations d’une opposition sans objet autre que ralentir la marche vers le progrès, recommande vigilance et rigueur.
San quoi, les turpitudes d’activistes impénitents feront l’affaire d’un voisinage belliqueux et des criminels qui prétendent représenter Dieu par le sabre.
Nous ne serons jamais les porteurs de philosophies totalitaires, mais nous admettons, avec tous les patriotes sincères que notre pays est à un tournant délicat de son Histoire.
Le Sénégal est au cœur de toutes les sollicitations du monde, il est nécessaire de renforcer ses capacités de protection interne et externe.
C’est une attitude patriotique de le reconnaitre, l’ignorer relève d’une naïveté coupable !
Appeler le Président de la République à pardonner au nom de l’apaisement suite à chaque délit d’un récidiviste relève de l’hypocrisie.
Seulement trois années d’exercice du pouvoir, le Président Macky Sall a jeté les bases d’un saut qualitatif, propre à faire émerger notre pays.
Aucune promesse n’est trahie, sauf dans l’esprit des pouvoiristes irréductibles.
Sur le plan politique, de la bonne gouvernance, la juste redistribution des revenus, mieux, l’appui conséquent aux sénégalais les plus défavorisés ; la lutte contre la corruption ; la reddition des comptes ; une réorientation positive pour l’avenir des nouvelles générations sont mis en œuvre.
Le pays avance avec les difficultés héritées du règne du gâchis.
Les ingrédients de succès du PSE, la crédibilité sans cesse accrue auprès des populations et des partenaires internationaux, ne laissant aucune chance aux adversaires dépités, nous assistons de plus en plus à des actes délictueux de défiance de l’Etat.
Les initiatives délibérément provocatrices sont visibles dans les agissements du
quarteron de partis que sont le PDS, le REWMI, l’AJ version Decroix,Bokk Gis Gis et leurs groupes satellites.
D’anciens ministres tentent de remettre en cause le processus normal de la vie nationale. L’Etat du Sénégal n’est pas seulement laïc et démocratique dans sa conception : il l’est également dans sa composition. C’est ce qu’ils veulent remettre en cause, en toute irresponsabilité.
Mais aucune pression « politico-médiatique »d’opposants aigris ne peut brouiller cette réalité palpable d’une gouvernance sobre et vertueuse inaugurée par le Président Mack Sall.L’espoir est permis.
Le choix porté sur notre pays par l’administration Obama, pour un second compact du MCC, aura un impact certain sur les secteurs de l’énergie et l’agriculture.
La découverte et la mise en exploitation des ressources pétrolières ; la perspective d’une autosuffisance en riz, vont sans nul doute booster notre économie.
Le statut de membre non permanent du Conseil de Sécurité, la voix de forte tonalité de notre Président sur les tribunes africaines et mondiales, sont autant de motifs de fierté pour les citoyens senegalais, mais autant de motifs pour les ennemis du SUNUGAL d’attiser les querelles et créer des factions !
Notre stabilité et notre style de vie n’ont pas de prix et sont à préserver envers et contre toutes velléités de subversion.
Sous ce rapport, il n’y a pas 255 partis, mais la Patrie, qui est parti unique !
Le Président Sall continue de faire preuve d’ouverture, il tend la main à tous les patriotes pour la participation à l’œuvre du renouveau national.
Il y a de la place pour tous, des sacrifices à consentir dans la passion de faire avancer le pays.
Makkane, Porte-parole DSE/APR-USA
Enfin,une reflexion,d’accord avec ou pas ,c’est positif.C’est mieux que les accusations gratuites.
Va conduire ton taxi, c’est mieux
Hey bayil fenn.Kii torodo moussoul dawal taxi. Te bouko defoon sakh ,ana lou ciy gacce .Makan jarajeuf.Yaay ngannd.Les ennemis internes vont mourir dans l’internet.
Retournes en mauritanie
Rien de mal a conduire un taxi , un travail noble et honete , aux USA y a pas de sout métier , tu trouvait des intellectuals dans tout les secteurs. C est ca le pays de l’oncle Sam.
Merci Monsieur Kane, ta pertinence nous reconforte .il ya de c va nu pied et des m’as tu vu, des bons a rien qui vont toujours maigrir.
Mes parents pulaars auraient dit: « Wade wadhii lekki e jayngol » (Wade a mis un sortilège sur le feu). Et au vu de la fréquence avec laquelle ils parlent tous ensemble, contre eux même, il est difficile de ne pas penser à un sortilège sur le feu.
Les uns se défendent intelligemment, l’autre terrorise. Les soupçons pèsent donc plus sur celui qui terrorise que sur ceux qui se défendent comme ils peuvent.
Cheikh Bamba Dieye (FSDBJ):
« Je rends grâce à Dieu, ce n’est pas une performance de ma part, mais c’est dû au fait que je n’ai pas reçu de l’argent de Lamine Diack par rapport aux élections législatives ou toute autre chose. »
Diouma Dieng Diakhaté (INITIATIVE DÉMOCRATIQUE « JUBËL »)
« Je tiens à préciser que j’ai financé personnellement ma campagne car j’étais à la tête d’un mouvement de chômeurs. J’ai utilisé mon propre argent pour payer les 65 millions de caution… »
Mor Dieng (YAAKAAR, LE PARTI DE L’ESPOIR):
« On n’a pas à démentir des histoires à dormir debout et c’est dommage que tout le monde tombe dans le piège de Lamine Diack. »
Déthié Fall (REWMI):
« Il m’est très facile de répondre à cette question, nous ne sommes concernés ni de près, ni de loin par rapport à cette affaire. »
PAPE DIALLO, DIT ZATOR MBAYE (AFP) :
« L’Afp n’a jamais bénéficié d’un quelconque soutient du président Lamine Diack. Notre parti a toujours fonctionné conformément à sa ligne directrice, ses idéaux, avec la participation de ses membres, des cotisations et contributions volontaires. Mais surtout un apport conséquent de son secrétaire général (Moustapha Niasse) »
Abdoulaye Wilane (PARTI SOCIALISTE) :
« Aucun individu : sénégalais, homme d’affaires, richard, ne peut dire qu’il a été sollicité par le parti socialiste pour le financement de ses activités. Je suis formel, cela ne s’est jamais passé. »
CHEIKH GUÈYE (PREMIER ADJOINT AU MAIRE DE DAKAR) :
« Je crois que Khalifa Sall est le plus habilité à répondre à cette question de financement des élections législatives de 2009. Je peux dire que le maire de Dakar est un ami, un frère, un compagnon de lutte. En 2009, j’étais en campagne avec lui mais on ne mangeait même pas. »
Alphonse Gaye est bien un apatride.Sans terre en veut aux africains de souchent les grands peres ont verse le sang pour le Senegal.Je suis frere a Mamadou Abou Karass Kane .dit Makane son grand-pere a mene la resistance contre Faidherbe pendant 7 ans.C sont pas les descendants des colloborateurs qui peuvent redessiner la carte de l’Histoire.Les ptfils de fuyards.
Mr Alfonse gaye est adepte de Donald Trump.lui et Makhan c’est comme les indiens d’Amerique et les toubab.Ces europeens venus occupier la terre d’autrui et pretendent etre plus authentique.Le Fouta etait sous le pouvoir de Alamamy Abdul Kader Kane pendant 30 ans,democratie,savoir et justice.
Bravo! Vous dites: »Commencez par vous interroger sur les châteaux de ces nombreux milliardaires spontanés ».
Commençons par Macky dont le patrimoine déclaré et acquis en moins de 8 ans fait de lui un milliardaire spontané.
Trop de faux types au Sénégal. Mange et protège tes privilèges. Sois encore et toujours de mauvaise foi. Mauvaise foi un jour, mauvaise foi pour toujours. J’ai connu la mauvaise foi de ce Kane sous Wade et ça continue, même après Macky il restera ainsi. Il y a des voleurs dans ce pays, et vous voulez en épargner Macky et l’APR ? Vraiment de mauvaise foi, qui plus est, nul, nul de chez nul.
Excellent analyse, Makkane! N’en déplaise aux détracteurs, cette réflexion est éclairée et bien inspirée …
Excellente analyse, Makkane! N’en déplaise aux détracteurs, cette réflexion est éclairée et bien inspirée …
Une belle et pertinente analyse. »Regardons et portons davantage l’attention sur l’argent qui sort du pays que sur celui qui rentre suggérait cette même opposition qui hier au pouvoir distribuait des valises de cinq cents millions fcfa en financement de campagnes extérieures.Aujourd’hui en embuscade et à l’affût pour aviver et attiser toute étincelle dans l’air à des fins inavouables.Donnons nous la main et serrons les coudes pour faire avancer le pays et l’Afrique,la seule énergie positive qu’il vaille la peine de promouvoir.Une belle plume,Une belle pensée,une belle plume au service d’une belle,vertueuse et sobre gouvernance.Djeureudjeuf
Bien dit!Maintenant on a besoin d’une loi sur le financement des partis.Vivement que les homes du pouvoir l’acceptent.Wade a trop de pognon en tout cas.Il faut que ces parents nous remboursent d’abord.