Le Centre de gestion de la qualité de l’air (CGQA) annonce que celle-ci sera « de plus en plus dégradée », avec « des concentrations de particules très élevées », une situation qui devrait perdurer « jusqu’au 10 janvier » prochain.
« La qualité de l’air est de plus en plus dégradée. L’indice est rouge (très mauvaise qualité de l’air) avec des concentrations de particules très élevées », écrit-il dans un communiqué.
« Cette intermittence d’une qualité de l’air mauvaise ou très mauvaise pourrait aller jusqu’au 10 janvier ».
Le centre fait état d’un « risque sanitaire (…) réel » qui fait que « tout le monde devrait respecter les recommandations sanitaires » idoines.
Il évoque ainsi le respect scrupuleux de « tout traitement médical en cours, ou de l’adapter sur avis » du médecin traitant.
De même, conseille-t-il, la consultation d’un médecin « en cas d’aggravation ou d’apparition de tout symptôme évocateur (toux, gêne respiratoire, irritation de la gorge ou des yeux) »’
Le Centre de la gestion de la qualité de l’air appelle par ailleurs à « éviter toute activité physique ou sportive intense (notamment compétition) augmentant de façon importante le volume d’air et de polluants inhalés ».
Il recommande en outre de « veiller à ne pas aggraver les effets de cette pollution par d’autres facteurs irritants des voies respiratoires, tels que l’usage de solvants et surtout la fumée de tabac ».
« Chez les personnes sensibles l’exposition à ces fortes concentrations persistantes de particules dans l’air est un risque réel et peut déclencher des crises d’asthmes et des allergies respiratoires », note le centre.
Aussi, les enfants et les personnes âgées « devraient éviter de s’exposer longuement à l’air ambiant pendant la période » en question.
Aps