Animatrice de la chronique Show-biz de l’émission matinale ‘‘Kenkéliba’’, de la chaine nationale, la Radiodiffusion Télévision Sénégalaise (Rts1), Léna Soukeyna Ndiaye est une étudiante en journalisme qui s’expérimente à la Télé. Découverte d’une étoile naissante, que Leral.net a lu son histoire pour vous dans le magazine Weekend .
«C’est une amie qui m’a parlé du casting. Elle m’a fait savoir que la Rts1 avait besoin d’une fille pour la nouvelle rubrique. A l’époque, je ne faisais rien. Alors, je me suis présenté avec un concept. Deux semaines après, les responsables de la Rts m’ont contactée », raconte-t-elle. Elle a été soumise à un test, et elle s’en est sorti. Non sans ‘problème’, puisque qu’elle a dû faire face à une dizaine de filles. « Ce n’était pas évident, d’autant plus qu’il y avait plein d’autres filles beaucoup plus expérimentées, car certaines avaient déjà fait de la Télé », se souvient-elle.
Premiers pas
Son premier jour à la Télé, la belle Léa s’en souvient encore. « J’ai passé un bon bout de temps à choisir une tenue qui ne devait pas choquer, parce que j’accorde un soin particulier à mon port vestimentaire. Je me suis couché ce jour-là assez tôt pour pouvoir me réveiller à 4 heures du matin et prendre le car de ramassage. A la télé, j’avais quand même le trac quand ce fut mon tour, mais c’est vite passé. Après, j’avais juste envie de revenir à l’écran », a-t-elle confiée.
« A la Télé c’est comme une famille »
« Tout le monde m’aime bien à la Télé, c’est comme une famille où tout le monde te critique, te fait des remarques. Et comme je ne me fâche pas quand on me fait des critiques, je suis bien dedans, avec des frères et des sœurs », raconte-t-elle toute joyeuse.
‘‘Telle mère, telle fille’’
Née dans la Capitale française, dans le 12ème arrondissement de Paris, où elle a grandi, Léa a obtenu son Baccalauréat à l’âge de 17 ans. Elle fréquentera par la suite le département des Langues Appliquées de l’Université de Nantes (France), mais pour quelques mois seulement.
C’est en novembre 2011, alors qu’elle était venu passer le reste de l’année avec son « papi », au Sénégal, qu’elle a tenté et réussi le concours d’entré au Centre d’Etudes des Sciences et Techniques de l’Information (Cesti), premier école de Journalisme au Sénégal.
De mère Journaliste (Ndlr : sa mère est Anne-Laure Marie, journaliste à Radio France Internationale (Rfi)), Léa Soukeyna est déjà une habitué du milieu. « C’est un milieu que je connais bien, à force d’aller voir ma mère dans son lieu de travail et de l’écouter à la radio. Cela a d’ailleurs même influencé mon choix de faire du journalisme », a-t-elle confessé.
Hobbies
Très ‘simple’ dans la vie, Léa est « une fille sage, gentille, sociable et qui garde la tête sur les épaules », comme en témoigne une de ses amies. C’est aussi une fille partagée entre son amour pour, les sorties entre copines, les soirées sénégalaises, l’équitation et l’athlétisme qu’elle maintenant arrêté, et autres.
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