Une camerawoman malmenée par des forces de l’ordre. Son tort : avoir osé être du rang de ceux qui faisaient leur devoir, au sein d’autres
qui se pensaient dans leur droit. Concomitamment, ou presque, un journaliste est interpellé manu militari et placé en garde-à-vue. Bien avant et
de l’autre côté où se situe Sonko « les menaces », pissepapiers, visages et voix de la presse ne sont pas non plus épargnés. Le « 4ème pouvoir »
est ainsi comme pris entre deux feux. Expression et indicateur des libertés et de la démocratie, la presse n’a qu’un choix : s’assumer ou se décrédibiliser. Et attention : ce choix sera à la fois individuel et collectif !
Le «4ème pouvoir» pris entre deux feux ! (Par Bathie le citoyen)
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