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Le cauri d’or de la personnalité politique de l’année 2012 au président Sall

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Le cauri d’or de la personnalité politique de l’année a été décerné dimanche au chef de l’Etat sénégalais, Macky Sall, par le Mouvement des entreprises du Sénégal (MEDS), lors de la 8-ème édition de sa soirée de gala, qui récompense chaque année les entreprises innovantes et les personnalités performantes en entreprise, constaté l’Aps.

Il l’ a reçu par l’intermédiaire de la ministre de la Justice, Aminata Touré, venue le représenter à la cérémonie.

Parrain de cette 8ème édition initiée par le MEDS, le président Macky Sall, élu le 25 mars 2012 dernier, a tenu par la voix de Mme Touré à ‘’ encourager l’entreprise’’ avant de demander à chaque Sénégalais de ‘’ mettre en avant le sérieux dans le travail pour développer le pays’’.

Le président du MEDS, Mbagnick Diop, dans son discours d’ouverture, a souligné l’importance de cet évènement qui se traduit par ‘’ une volonté de magnifier le savoir-faire de nos chefs d’entreprises et le génie de nos hommes d’affaires salués dans tous les continents, afin de servir de viatique aux générations futures’’.

Selon lui, pour les distinction, le choix a été porté sur ‘’d’illustres Sénégalais méritants, tous déterminés à peser de leur poids dans cette grande entreprise humaine que constitue l’émergence d’un Sénégal nouveau et du continent africain’’ .

Quant au Cauri d’or de la personnalité sportive de l’année, il a été décernée à un membre du gouvernement : il s’agit du ministre des Sport, El Hadji Malick Gackou.

Cette 8-ème édition a vu la présence de nombreux chefs d’entreprises, mais également celle d’autorités étatiques dont le ministre de la Culture et du Tourisme, Youssou Ndour, Abou Lô, ministre de la Communication, ou encore celui de la Femme et de l’Entreprenariat féminin, Mariama Sarr.

Voici les autres lauréats de la 8e édition :
-Cauri de l’entreprise la plus performante du continent : Maroc Télécom
-Cauri de l’entreprise leader : Sonatel
-Cauri du succes story : Hamoudé Charara propriétaire du restaurant ‘’La Fourchette’’
-Cauri du meilleur manager femme : Soukeyna Ndiaye Ba (FEDS)
-Cauri du meilleur manager homme : Mamadou Dia (DG SDE)
-Cauri de l’entreprise la plus performante : Société SOSETRA
-Cauri de l’entreprise du secteur audiovisuel : Groupe futur média
-Cauri de l’excellence : Mamadou Racine Sy, PDG King Fahd Palace
-Cauri d’honneur : Binta Diop, Ong Femme Africa Solidarité (FAS) ;
– Cauri d’or de l’action sociale : Le groupe D-Média
-Cauri de la bonne gouvernance : Ibrahima Diallo, DG SONES
– Cauri de l’entreprise émergente : Groupe CSI Wari
-Cauri de l’entreprise la plus innovante : Banque de l’Habitat du Sénégal –(BHS)
-Cauri de l’entreprise citoyenne : Crédit mutuel du Sénégal (CMS)
-Cauri de l’entreprise rurale : CCBM Serigne Mboup

2 Commentaires

  1. Ce n’est pas seulement une question de TVA mais d’impôts sur le revenu, quel qu’il soit et l’impôt sur les bénéfices des sociétés, commerces ! Le jour où cet imôt sera recouvré avec rigeur, le Gouvernement du Sénégal engrangera au oins 300 milliards par an ! Je ne cesse de le répeter depuis deux ans, et suis très heureux d’entendre monsieur le Professeur Meïssa Babou en parler sur le plateau de Dinné Ak Diamono du jeudi 04 Octobre. Comment un Etat organisé peut accepter qu’un commerçant qui s’active dans l’informel avec des revenus deux fois supérieurs à ceux d’un professeur de collège ne soit assujetti à l’impôt sur le revenu, ni sur les bénéfices ? Le Gouvernement d’Abdou M’baye ne doit pas laisser ce problème en l’état, c’est scandaleux ! Tous les Gouvernements du monde libre, sont à la recherche d’éfficacité pourt recouvrer de manière rationnelle et juste toutes les formes d’impôts ! Le Sénégal ne peut être en reste !

  2. Sauvons nos universités publiques du naufrage.

    Malgré les moyens substantiels mis à la disposition de l’enseignement supérieur de notre pays, les résultats sont qualitativement et quantitativement loin des normes de l’UNESCO. Nos instituions d’enseignement supérieur ont surtout un problème de management (mal gouvernance, corruption, népotisme, dépenses de prestige, gestion solitaire en lieu et place de la gestion démocratique et légale, non respect des lois et des règlements, etc.) avec la complicité active ou passive de la communauté universitaire (avantages indus, intimidations, etc.), des autorités étatiques qui, jusqu’à présent, feignent de ne rien savoir (n’ont-ils pas les moyens de savoir ce qui se passe ?) pour éviter la confrontation avec ceux (les amis politiques !) qui sont nommés à la tête de ses structures et qui agissent parfois comme des monarques en gérant la chose publique à leur guise.

    Face à la démission de l’État, nos universités croulent sous le poids de dettes dues aux créanciers (banques, hôpitaux, Sonatel, Senelec, SDE, fournisseurs divers) et chaque corporation s’évertue à demander toujours plus pour « améliorer ses conditions d’existence » et parfois au détriment des intérêts de la communauté. Ainsi donc, la crise est donc une conséquence logique de l’inaction de l’État.

    En effet quand les dirigeants (nommés par les autorités) gèrent la chose publique en dehors des normes établies sans être inquiétés le moindre du monde (pour ne pas dire promus à des stations plus juteuses), les syndicats demanderont des chosent hors normes et c’est le début du CHAOS.

    A l’État de faire l’état de la gestion de ceux qu’il a nommé, punir ceux qui se sont montrés indélicats et récompenser les autres, ensuite il serait facile de demander aux syndicalistes de faire preuve de mesure et enfin sévir dans le respect de la loi si de besoin. Il est temps de restaurer l’État de droit (et donc des devoirs) ; il est indispensable, avant toute promotion, d’étudier sérieusement la gestion présente et passée du pressenti.

    L’État ne peut continuer à protéger et promouvoir ceux qui mettent à genoux nos institutions d’enseignement supérieur et jeter en pâture les syndicats. Je pense que les responsabilités sont partagées.

    Des assises de l’Éducation avec ceux qui bloquent le système pour des raisons personnelles ou émotives ne serviraient à rien, je propose des assises des anciens (Recteurs, Professeurs ou hauts cadres à la retraites) du système pour faire des propositions objectives. Il est souvent difficile d’être juge et parti.

    Il n’est jamais trop tard pour bien faire un devoir citoyen.

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