Le dialogue national devient un outil de plus en plus populaire pour la résolution des points de divergence et la transformation politique. Au cours des dernières années, des dialogues nationaux ont été proposés ou menés dans de divers de pays et de circonstances. En élargissant le débat sur la trajectoire d’un pays au-delà du groupe habituel de décideurs d’élite, le dialogue national offre la possibilité d’un dialogue constructif sur les moteurs sous-jacents des divergences et les moyens d’aborder ces problèmes de manière holistique. Cependant, il existe un risque que les partis politiques de l’opposition fassent délibérément un mauvais usage du dialogue national en cherchant à consolider davantage leur position d’entêtement par rapport á la marche du pays. Il n’y a pas de modèle unique, mais nous émettons l’hypothèse que le dialogue national aura plus de chances de réussir s’il intègre les principes suivants, comme a fait le chef de l’état Mr Macky Sall: transparence et participation du public, programme de grande envergure, convocateur crédible, et des règles de procédure claires et un plan de mise en œuvre. Il est important de tempérer l’enthousiasme actuel pour les dialogues nationaux par une analyse critique des conditions nécessaires à un dialogue national réussi. Il existe de nombreuses circonstances dans lesquelles un dialogue national est peut d’être approprié et ou un outil de résolution des manquements plus approprié.
Un dialogue national doit mettre en place une action politique qui tient compte des thématiques de développement du Sénégal: consolider les institutions de l’État, lutter contre la corruption, promouvoir les logements sociaux pour notamment les enseignants, les policiers, intégrer et responsabiliser la jeunesse, mettre en oeuvre des politiques dans des domaines prioritaires (agriculture, tourisme, éducation…). Il est plus que temps pour nous les Sénégalais de comprendre que la solution de nos problèmes ne saurait venir d’ailleurs. Il nous faut miser sur le levier national dans le cadre d’une révolution tranquille… qui postule la permanence du dialogue social.
Toujours est – il que le chef de l’État Mr Macky Sall appelle les Sénégalais soucieux du changement à ne pas céder aux chantages et d’accepter les contraintes du dialogue et les défis devant conduire à ce qu’on peut appeler un développement durable oû chacun de nous se sent concerné. Défenseur de l’idéal du
PSE dont la « Caravane du Changement» dessine les principaux contours, Mr le Président Macky Sall se veut le promoteur et l’ acteur de la démocratie consensuelle dont l’ingénierie se précise dans la Constitution en vigueur, bien entendu en passant par le dialogue national ( Social et culturel.)
Alassane Sock pour la commission écrite et parlée APR/DSE/USA
Mais cela ressemble de la folie. Tu es confus et passes du coq a l’ane sans meme ordre des idees. En fin ton style est pedant et est ce que tu dois parler pour l’ Apr car tu ridiculises tout un parti. Tu ne comprends pas le Francais. Je ne sais pas pourquoi ce fou s’entete a ecrire.
Tout à fait d accord avec Anonyme. On ne sait pas de quoi parle Mr Sock tellement le texte est décousu et sans fondement. Oui dialoguer mais il y a un minimum de conditions à réunion et la moindre c est la sincèrite et franchise qui doit en être le soubassement. Il se trouve qu au Sénégal, les autorités actuelles quoique que vous puisse dire ne sont pas sincères et ne croient pas aux vertus du dialogue mais plutôt ce dialogue est juste une ruse de faire semblant d être. On ne saurait parler de dialogue sans faire une évaluation objective des élections bordéliques qui se sont déroulées au Sénégal tout récemment et la feuille de route du dialogue doit être rédigée de façon consensuelle. Mr. Sock dites ce que vous voulez de Macky Sall mais la triste réalité est qu il a perdu toute crédibilité. Qu a t il fait des résolutions des Asises Nationales, du rapport de l équipe de Mr. Mactar Mbow, etc qui sont des rapports issus de dialogue ou de concertation. Macky est juste une malediction pour le Sénégal et vivement qu il dégage pour enfin s expliquer sur la provenance de ses milliards
Pas de surprise. C’est l’un des apprentis gueulards aperistes. Ecrire n’est pas fait pour tous. Ca ridiculise, Il faut l’arreter.
Il nous faut miser sur le levier national dans le cadre d’une révolution tranquille… qui postule la permanence du dialogue social. Bravo pour ton si beau texte. Puissent le monde positif et ouvert au dialogue fructueux t’entendre et souscrire pour un pays meilleur en marche vers l’émergence
Merci Mr Sock pour tes belles pensees., tes interventions pour un devenir du Senegal.
Ne reponds a ces personnes mal intentionees qui ne voient que du mal durant toute leur miserale vie. c’est des gens qui ne penvent pas faire ce que tu fais. il faut qu’il essayent au moins.
Mr Sock vous faites un travail remarquable. Seuls les miserables de Senegalais qui pesent et parlent ainisi.
S’il est vrai qu’ils sont serieux en eux memes mais pourquoi sont ils anonymes, Pourquoi se cachent ils?
Merci encore une fois Mr SOCK.
Merci pour votre bon travail Mr SOCK.
Bonne continuation.
Good work Mr SOCK.
Brooklyn vous remercie et vous soutient.
VERS L’ÉMERGENCE D’UNE NOUVELLE OPPOSITION (CONFESSIONNELLE, DÉMOCRATIQUE ET RÉPUBLICAINE) POUR FAIRE FACE A LA ‘’DICTATURE LAÏQUE’’ !!!
Quoique non convaincus de la vision de nos dirigeants, encore moins de la pertinence de leurs programmes, les religieux qui sont les incontournables régulateurs sociaux se sont contentés, jusque-là, de prêcher la paix et le dialogue politique, en vue d’une réconciliation nationale – car c’est là, en vérité, la seule alternative pour sortir notre pays d’une campagne électorale perpétuelle, lourde de menaces et qui compromettra irrémédiablement toutes nos velléités d’émergence. Mais actuellement, la radicalisation de nos ‘’républicains’’ dans leur option laïque, exige une nouvelle démarche, afin de sauver la République d’une sécularisation définitive (constitutionnalisée) ; oui, il faut que les convictions religieuses et culturelles de l’immense majorité des sénégalais (musulmans à plus de 95%) soient réellement prises en compte dans les prochaines réformes constitutionnelles ; ce combat idéologique est un devoir pour tout croyant (toutes obédiences confondues) – et une exigence démocratique !!!
Malheureusement, la plupart de nos hommes politiques ont une conception très restrictive de la démocratie ; ils l’assimilent, à tort, à l’effectivité d’un multipartisme et à la garantie d’élections régulières et transparentes, oubliant très souvent que ce qui est déterminant, c’est surtout la prise en compte des aspirations et préoccupations du peuple par le pouvoir qu’il a élu, et ceci, dans une démarche constante d’équité et de justice – ce qui, au demeurant, nécessite, outre le respect des lois et règlements, une fidélité constante à l’éthique et à la morale ; mais, hélas, beaucoup d’entre eux sont des disciples de Machiavel, et donc adeptes de la ruse méchante, de la mauvaise foi, de l’invective et de la trahison.
Oui, la démocratie, ce n’est pas seulement une affaire d’élection ; il faut que nos hommes politiques le sache et qu’ils comprennent pour de bon qu’une élection n’est rien d’autre que l’arbitrage du peuple entre diverses approches, diverses visions, à priori inconciliables, pour conduire le pays vers le salut, et donc le développement durable. Ainsi, tous les protagonistes devraient respecter le verdict populaire – qui est, en vérité, le choix de Dieu – et se retrouver après, pour l’exécution du programme retenu – mais nécessairement amendé, en fonction de la représentativité des uns et des autres. Et ceci devrait être facile, s’ils sont des croyants, des démocrates et des patriotes sincères, mus donc que par la volonté de construire un pays juste, paisible et prospère, conformément à une vision infaillible, car inspirés des ‘’Textes Sacrés’’ (Coran, Évangile, Thora) qui convergent dans leurs principes fondamentaux. Et c’est dire que si nos hommes politiques n’étaient pas hypocrites et s’ils avaient réellement compris le sens véritable d’un scrutin, il ne devrait plus y avoir, dans notre pays, que des ‘’gouvernements d’union nationale’’ d’inspiration confessionnelle. Oui, il est tout aussi antidémocratique de ne pas rallier la majorité après le verdict du peuple que de s’acharner à neutraliser et anéantir une opposition ; oui, il faut savoir autant perdre que gagner : perdre et rallier, gagner et rassembler !
Et en vérité, seule une telle perspective permettrait de ré crédibiliser nos hommes politiques et de les réconcilier avec un peuple désabusé par tant de désillusions ; sinon, bienvenue au règne des ‘’religieux’’, d’autant plus que la radicalisation des ‘’républicains’’, dans leur option pour la laïcité, dans un pays musulman à plus de 95%, devient de plus en plus incompréhensible, et est à l’origine de l’émergence d’une nouvelle opposition, virtuelle pour le moment, et animée par des intellectuels musulmans (toutes obédiences confondues) convaincus qu’on ne peut pas véritablement réussir en politique (édification d’une cité juste), en mettant Dieu entre parenthèses ; et malheureusement telle est, jusqu’à ce jour, l’idéologie laïque, celle de notre République.
Et c’est dire qu’il urge de promouvoir une nouvelle façon de faire la politique, reposant sur l’éthique et la connaissance des ‘’Textes Sacrés’’ (Thora, Évangile, Coran) qui sont une ‘’explication de toutes choses’’, et d’œuvrer donc pour un véritable partenariat entre le temporel et le spirituel (Cor. 16 : 89-90 – Les Abeilles – An-Nahl). Oui, l’implication des religieux dans la politique est plus que nécessaire pour l’agencement d’une cité juste, car c’est avant tout un problème de changement de comportement moral (Cor. 13 : 11 – Le Tonnerre – Ar-Ra’d). Et là, les hommes politiques laïcs ont véritablement montré leurs limites. Oui, il urge donc de réformer la vision du monde que l’Occident nous a inculquée et imposée depuis plus d’un demi siècle – Une vision ‘’antéchristique’’ et donc ‘’borgne’’ ! Oui, nous devons fondamentalement revenir aux valeurs de notre noble religion – l’Islam, en l’occurrence, et qui ne sont guère différentes de celles prônées par les autres religions monothéistes (Christianisme et Judaïsme).
Oui, il est inadmissible que l’idéologie laïque (‘’anticléricale’’) que le colonisateur nous a laissée continue de prospérer dans notre pays, musulman à plus de 95%, alors que les religions ont vocation d’expliquer le monde (Cor. 6 : 154-157 – Les Bestiaux – Al-An’âm) ; cela est manifestement irrationnel et antidémocratique – car la démocratie, il faut le reconnaître, c’est essentiellement une affaire de rapports de forces (loi de la majorité), avec la garantie des droits fondamentaux pour les minorités – ce que garantit explicitement toutes les religions monothéistes. Et c’est dire que les réformes institutionnelles en vue devraient nécessairement intégrer cette importante donne ; sinon le ‘’Plan Sénégal Émergent’’ (PSE) ne sera que du vent !!! Non ! Comment nos hommes politiques pourraient-ils réussir, en mettant Dieu entre parenthèses ?
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