Dans « Le Populaire », le général Mansour Seck se prononce « sur l’équation gambienne et la Casamance » pour dire que « quand la diplomatie s’arrête, il n’y a que le bâton qui reste ».
« Il est très probable que ce n’est pas la première fois que des armes destinées à la Casamance aient transité par la Gambie (…) On a fait trop de diplomatie jusqu’ici, il faut régler le problème de la Gambie et de la Casamance », peste le général Niang dans « Le Populaire ».
« Kotch » parle des « conséquences de la violence » en Casamance pour dire que « l’économie se meurt à Ziguinchor ».
Nettali.net (extrait revue de presse)