Ousmane Sène, père de la défunte soldate Ndèye Aïda Sène, a renoncé à voir, pour une dernière fois, le corps de sa fille qui a été exposé jeudi après-midi dans une morgue, peu avant son inhumation à Fatick, a constaté l’APS.
Habillé d’un grand boubou de couleur noire, le père de la défunte Ousmane Sène a éclaté en sanglots quand un officier de l’armée est venu lui dire d’aller voir sa fille, à son arrivé vers 13 heures à Fatick.
Une attitude qui a poussé certains proches, venus prendre part à la levée de corps, à éclatant en sanglots dans une ambiance lourde d’émotion.
Seule la maman, Adja Bineta Seck accompagnée de son fils ainé, s’est résignée à aller voir le corps de sa fille en compagnie d’officiers de l’armée.
Après quelques moments à l’intérieur de la morgue, elle en est ressortie en sanglots.
Par la suite, l’armée a autorisé les autres proches de la famille, qui le souhaitaient, à venir se recueillir devant la dépouille mortelle de Ndèye Aïda Sène, décédée à l’âge de 26 ans.
Ndèye Aïda Sène serait morte suite à un problème de manœuvre du parachute, qui ne s’est pas ouvert au moment de son saut jusqu’à la réception.
La victime était élève à l’École nationale des sous-officiers d’active (ENSOA) de Kaolack. Elle était l’unique fille d’une fratrie de cinq enfants.
Il n’y a aucun mystère, sinon celui de notre Seigneur ! Partout dans le monde, quand un parachute ne fonctionne pas dès la sortie largage, c’est que quelque a fait une faute lourde à l’atelier ! Ne cherchez pas ailleurs, en dehors du Destin voulu par Dieu ! Dieu ait son âme, mais je contin,ue à encourager le recrutement des feilles à tous les niveaux, dans tous les Corps. Notre beau pays ne sera pas en reste de la modernité et de la justice !
c’est l’armée qui est coupable de sa mort plus présisément le B A T para de minable instituteurs sont actuellement dans ces unités